Ce “19 courant…” et son rythme languissant

Ce “19 courant…” et son rythme languissant

Quelle idée nous est venue de penser que la seule Chronique du 19 courant… suffirait à articuler l’argument non-dit, ou plutôt qui ne serait plus à dire, que la Chronique rappellerait, par sa seule publication, notre besoin de votre soutien et cette date, du “19 courant”, comme un moment clef du mois pour manifester ce besoin, et que c’est le moment... Nous-mêmes d’ailleurs, et l’ineffable PhG en premier, répugnons à insister, à rappeler cet aspect “promotionnel” sans gloire ni hauteur, ni nécessité autre que la piètre opportunité, que prétendrait avoir ce texte. Bref, c’est plutôt raté.

Alors, nous nous en remettons régulièrement à cette technique “message” direct, sans trop de fioritures et de fausses habiletés. Il est vrai que nous étions, le 18 octobre, à €645 (ce qui était un bon niveau, par rapport à l’habitude), mais que nous sommes, ce matin du 21 octobre, à €765 (ce qui est un rythme de progression exécrable, par rapport à la simple logique arithmétique et aux habitudes que nous espérions établies de cette mobilisation du “19 courant…”). Si nous remercions chaleureusement ceux qui sont déjà intervenus comme ceux qui vont le faire, et cela en pensant à certains messages qui nous touchent, il est vrai aussi qu’il nous faut rappeler à nos lecteurs que nous avons vraiment besoin de leur soutien.

Il est vrai enfin que nous aussi, nous avons tendance à considérer que l’intendance, c’est fait “pour suivre”, et basta. Mais le “19 courant”, nous découvrons en général que l’intendance, c’est plutôt rétif, et que cela n’en fait qu’à sa tête. Nous découvrons alors la nécessité urgente de nous assurer de votre soutien. Nous y sommes.

Rappelez-vous que nous avons besoin de €2.000 à €3.000 chaque mois, entre l’“intendance limite” et l’“intendance confortable”, et que nous sommes bien loin de ces comptes-là. Alors, ne nous oubliez pas et rappelez-vous que notre existence a ses impératifs. Soignez aussi notre intendance, pour qu’elle suive, sans rechigner, et au galop. Merci pour elle, d’avance.

dedefensa.org

Mis en ligne le 21 octobre 2012 à 04H57