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764Une curieuse conséquence de l’ouragan Katrina et des énormes coûts qu’il va occasionner est un changement d’humeur à l’égard de la France dans les milieux financiers occidentaux, notamment anglo-saxons. C’est l’observation du chroniqueur financier John Keegan, aujourd’hui dans The Observer.
Keegan évoque au début de sa chronique sa rencontre d’un Américain de La Nouvelle Orléans, en Provence au début août, et l’évocation par cet Américain de l’inévitabilité d’un désastre causé « one of these days » par un ouragan s’abattant sur sa ville. Keegan observe alors: « He was one of many Americans who had opted for Provence rather than risk encountering bombers in London. Disapproval of the French for being “cheese-eating surrender monkeys” over the Iraq war has given way, in certain circles, to recognition that they were right. The irony that flood prevention and rescue work in New Orleans suffered from a diversion of resources to Iraq has been noted. »
Mis en ligne le 11 septembre 2005 à 10H05