Il n'y a pas de commentaires associés a cet article. Vous pouvez réagir.
965Une théorie persistante à Washington est que le scandale Cunningham vaut bien le scandale Abramoff en intensité et en gravité, et que l’on aura des échos considérables lors des deux procès (Cunningham et Abramoff) qui se dérouleront parallèlement au printemps.
Bien que dans des positions différentes (Abramoff est lobbyiste tandis que Cunningham est parlementaire), les deux hommes ont accepté la même procédure de coopération avec la justice, les plaçant tous les deux en position d’accusateurs. (Cunningham l’a fait dans conditions particulièrement humiliantes.)
La courte analyse de Progress Report, intitulée « The Other Mega-Scandal », en date du 6 janvier, reste d’actualité. En voici deux extraits :
«
» It is conventional wisdom that the government agreed to a plea deal with Jack Abramoff — one of the most powerful lobbyists in Washington — only after he agreed to provide information about people higher up the food chain, powerful members of Congress. The government also gave Rep. Duke Cunningham a plea deal. Why? It stands the reason that he will cooperate in efforts to prosecute more powerful members of Congress, possibly including Hunter and Lewis. »
[Pour compléter cette nouvelle, nous mettons en ligne ce jour, dans notre rubrique de defensa, un extrait de la rubrique “Journal” de l'édition du 10 janvier 2006 de notre Lettre d'Analyse de defensa consacré à l'affaire Cunningham.]
Mis en ligne le 12 janvier 2006 à 16H14