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3452George Soros, l’ogre des Carpathes, projette de faire du Canada un théâtre d’opération pour son projet d’Open society. Non satisfait d’avoir orchestré une révolution de couleur qui menace la sécurité des États-Unis d’Amérique, Soros a jeté son dévolu – et son pognon – sur ce Dominion nordique qui n’est qu’un vaste camp de prospection des matières premières au service des joyaux de la Couronne. Royaume chimérique, ayant érigé le multiculturalisme au rang d’une doctrine d’état, le Canada maintien entre ses serres un Québec qui n’arrive plus à véritablement s’émanciper.
Justin Trudeau, fils d’un expert en casuistique qui s’est servi de la Charte des droits de la personne afin de dissoudre l’identité nationale des Canadiens français, consolide l’œuvre délétère de son paternel en s’accoquinant avec le plus grand spéculateur de tous les temps. Soros, profitant du Forum économique de Davos pour recruter de nouveaux poulains, a été surpris en train de mener des entretiens privés avec le Premier ministre canadien et Chrystia Freeland sa très sémillante ministre des Affaire mondiale. Depuis lors, la fine équipe mène à bâtons rompus une politique de dressage de l’opinion publique qui coïncide avec l’ouverture béante des frontières d’un Canada qui est devenu la voie de service des flux de migration qui participent à ce « grand remplacement » mis en œuvre par Soros et ses affidés.
Version nordique de la Chine maoïste – feu P-E. Trudeau était un ami intime de Mao –, le gouvernement canadien maquille ses politiques ultra-libérales au moyen d’un véritable théâtre d’ombres mettant en scène toutes les déclinaisons de la théorie du genre. Les questions identitaires étant interdites d’office, il n’est plus possible de se référer aux différences sexuelles, culturelles ou linguistiques qui fondaient la charpente de la nation et qui permettaient au peuple de pouvoir résister à la montée en puissance d’un mondialisme qui, désormais, ne fait plus de quartier. George Soros, à travers sa puissance de feu financière et médiatique, mousse une autre révolution de couleur qui menace de pulvériser le fragile équilibre de cette société multiculturelle canadienne qui pourrait s’effondrer tel un château de cartes. C’est ainsi que la ministre du Patrimoine canadien, Mélanie Joly, a été mandatée par les huiles du Forum économique de Davos pour s’occuper de policer l’information qui circule à travers Internet et ses médias virtuels. Véritable inquisition 2.0, cet effort d’encadrement de l’opinion publique se traduit, dès maintenant, par le tristement célèbre projet de Consultation sur la discrimination systémique et le racisme mis de l’avant par le gouvernement québécois.
La machine de guerre de Soros travaille sur plusieurs tableaux afin de disloquer cette société québécoise qui gêne le parachèvement de la construction canadienne : ouvertures des frontières, adoption de lois liberticides, et financement à outrance d’organismes communautaires qui tirent sur la couverture au point que les payeurs de taxe sont traités comme de véritables délinquants s’ils n’obtempèrent point. La guerre civile n’est pas bien loin et on sent que Soros est pressé d’en finir. Mais, il est à craindre que le jupon ne finisse par dépasser … dans un contexte où un média torontois vient de révéler que George Soros aurait versé de généreux émoluments à la ministre Chrystia Freeland pour qu’elle s’attèle à la rédaction de sa propre biographie. Ce pacte faustien aurait été passé entre les deux complices à une époque où Freeland avait perdu son boulot au sein du Financial Times et de Reuters. Il appert que la principale intéressée aurait indiqué avoir perçu de tels émoluments dans la déclaration d’usage que tous les membres du parlement canadien doivent compléter afin de prévenir d’éventuels conflits d’intérêt. Cette dernière, toutefois, n’a jamais mentionné le nom de son benefactor.
L’Open society de George Soros – et ses autres satellites – serait-elle en train de carrément sponsoriser certains membres du gouvernement Trudeau ?
Journaliste et écrivain québecois