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2941George Soros est toujours là et bien là. Alex Christoforou présente sa situation actuelle sur TheDuran.com et fait de l’abandon du TPP par Trump un revers majeur pour le parti globaliste que lui, Soros, représente, – interprétation selon l’avis de l’analyste Mitch Feierstein, manager de HedgeFunds à Wall Street (relayé par Sputnitk.News) :
« George Soros and Clinton Inc. were nearly able to declare ‘Mission Accomplished’ on their vision of establishing an opaque ‘New World Order’... [...] Forget Soros’s New World Order for now because a new sheriff, Donald Trump, the 45th US President arrived on in Washington promising to drain the swamp. TPP is a now history and it will be interesting to see who is naked at low tide... [...] The top-secret TPP free trade agreement was one of the worst trade deals ever crafted by Washington’s pay-to-play culture of corruption... »
Mais l’homme a une réelle opiniâtreté et ne s’avoue quasiment jamais vaincu, d’autant moins que le temps n’est plus au port de masque mais à l’urgence à visage découvert. Soros a déjà dépensé un $milliard pour USA-2016, à perte puisque Clinton a été battue, et surtout parce qu’il n’a pu empêcher l’élection de Trump. A Davos, Soros a juré sans ambages, et publiquement, que Trump n’irait pas au bout de son mandat et que lui, Soros, jouerait un grand rôle dans la machination conduisant à sa chute. La caractéristique de la situation présente est effectivement que les adversaires sont à visage découvert, et notamment Soros ne dissimule absolument en rien ses intentions putschistes (“révolutions de couleur”, et particulièrement la “révolution de couleur” ultime, aux USA). Il s’agit là d’un fait fondamental, qui a été provoqué par l’élection et l’installation de Trump. Si Soros et d’autres acteurs du parti du globalisme affichent aussi clairement leurs intentions, c’est moins par sens de l’impunité (sens qui vaut ce qu’il vaut, avec des fortunes diverses) que par la réalisation que l’on se trouve dans la phase finale de l’affrontement, c’est-à-dire dans la phase finale de la grande crise d’effondrement du Système.
C’est dans ce sens, par exemple, que Meyssan note le 24 janvier 2017 sur Voltaire.net : « Les millions de gens qui ont manifesté contre le président Donald Trump ont eu raison de dire leur frayeur. Non pas que le nouvel hôte de la Maison-Blanche soit misogyne, raciste et homophobe —ce qu’il n’est pas—, mais parce que nous arrivons au moment du dénouement. Il est plus que probable que le Pouvoir usurpé ne se laisse pas démettre sans réagir. Cet affrontement n’aura pas lieu cette fois au Moyen-Orient élargi, mais bien en Occident et particulièrement aux États-Unis. »
Bien entendu, c’est cette idée fondamentale de l’importance civilisationnelle de l’élection USA-2016 pourtant sortie d’une situation qui paraissait sous complet contrôle (du Système) que nous présentons sans cesse depuis plus d’un an, depuis que la candidature Trump est devenu un facteur politique crédible et qu’il est apparu parallèlement que cette candidature avait toutes les chances d’être antiSystème, voire même qu’elle ne pouvait être qu’antiSystème pour espérer arriver un terme. Cette analyse valait aussi, au départ de la séquence, pour Sanders tant que Sanders, qui commençait lui aussi à connaître un réel succès, pouvait encore apparaître antiSystème (cette idée se dilua très vite à partir d’avril-mai 2016) ; ainsi pouvions-nous écrire il y a quasiment un an à deux jours près, le 30 janvier 2016, nous appuyant comme toujours sur cette formule à la fois logique et fondamentale d’affrontement, entre antiSystème et Système :
« Si un Trump ou un Sanders est élu, il nous paraît impossible, selon notre appréciation, que les contrecoups de cet événement formidable, – l’élection d’un président chargé de l’image d’un antiSystème au cœur du Système, – en reste au seul changement de président et aux spéculations qui l’accompagneraient, c’est-à-dire à des discussions de programme, à des changements même spectaculaire des politiques. L’événement une fois accompli si c’est le cas secouera aussitôt tout le système de la communication comme un formidable bouleversement sismique ; avec les USA eux-mêmes et dans une mesure et selon des modalités inconnues, c’est tout le Système lui-même, c’est-à-dire le bloc-BAO, c’est-à-dire toute la modernité elle-même et par conséquent notre civilisation, et cela quoi qu’en veuille au départ le président élu, qui seront touchés de plein fouet. Les conséquences seront imprévisibles, inattendues et nécessairement considérables. »
La bataille est donc devenue ouverte, officielle, quasiment déclarée comme une guerre sans merci, et effectivement Soros y tient le rôle de général-en-chef et de trésorier principal. Cela conduit certaines autorités à prendre des mesures contre lui ou contre les associations qu’il finance. (La Hongrie a interdit la plupart des associations opérant dans le pays, qui reçoivent des fonds de Soros.) Mais le terrain d’affrontement essentiel et fondamental reste bien entendu les États-Unis dans la mesure où Trump ne montre aucun signe de rapprochement des consignes-Système. Il s’agit par conséquent d’un combat à mort, et nullement, comme certains étaient conduits à en faire l’hypothèse, d’une simple flambée de colère des opposants à Trump pour son élection et son installation.
Pour cela, Soros dispose d’un réseau puissant (56 de la centaine d’organisations impliquées dans la “marche des femmes” du lendemain de l’inauguration de Trump sont directement financées par Soros). Il est aujourd’hui tout à fait connu et documenté, sauf dans la presse-Système bien entendu, que Soros subventionne les meneurs et les agitateurs des diverses manifestations lancées régulièrement aux USA, toutes à coloration anti-Trump comme toute véridique “révolution de couleur”. (De $20 à $100 pour un mercenaire de base, pour une action dans une manifestation, selon l’importance du projet et le rôle tactique du mercenaire.)
Dimitri Sedov, sur Strategic-Culture.org, détaille ce 26 janvier la situation actuelle des forces dont dispose Soros, qu’il désigne comme “les coyotes” : la “révolution de couleur”-USA devient donc “l’émeute des coyotes”. Sedov est affirmatif : pour lui, Trump ne pourra espérer que cette insurrection finisse pas s’éteindre d’elle-même, justement parce qu’elle est animée par un homme et un projet qui jouent leur va-tout et ne peuvent accepter la présidence Trump sur la durée normale. Ce dernier point est largement confirmé par divers événements et déclarations partout dans les pays du bloc-BAO, jusqu’à cette extraordinaire intervention de l’Allemand Josef Joffé, pourtant, ou justement parce que relais bien connu et particulièrement choyé des thèse américanistes-atlantiques en Allemagne depuis plusieurs décennies : lors d’une table ronde à la TV allemande, alors qu’on discutait paisiblement et fort aimablement de la façon de se débarrasser de Trump par des voies “légales” [destitution, par exemple], on entendit clairement Joffe émettre sa propre hypothèse : « Un meurtre à la Maison-Blanche, par exemple. »
D’où la conclusion de Sedov : Trump ne pourra tenir et l’emporter qu’en lançant un appel à ses partisans pour descendre dans la rue et affronter les troupes de Soros encadrées par les mercenaires rémunérés : « Il semble que la seule façon que Trump a de lutter contre la “révolution de couleur” qui se développe est de faire appel à ses partisans pour qu’ils organisent leurs contre-manifestations, comme des dirigeants de nombreux autres pays ont fait. » La perspective semble logique et elle n’est évidemment pas particulièrement réjouissante dans la mesure où, aux USA, la possession d’armes est chose courante, et qu’il existe de nombreux groupes paramilitaires effectivement armés, qui participeraient évidemment à de tels affrontements.
Pour renforcer le texte de Sedov en s’attachant à la personnalité de Soros, nous reprenons également un texte qui donne diverses précisions intéressantes sur lui en même temps qu’il aliment la même hypothèse (« George Soros Declares War on President Trump »). Tout ce matériel est en général plus ou moins connu, mais il est bon de pouvoir en disposer à nouveau, surtout avec des détails intéressants et parfois inédits. On y trouve par exemple le détail de l’interview de Soros qui s'avère être de décembre 1998, dans l’émission 60 Minutes de la CBS, qui a depuis été le plus souvent possible escamotée. Soros y détaille son activité en Hongrie en 1944, alors qu’il était adolescent, et qu’il se mit au service des forces fascistes et des occupants allemands du pays, pour participer à la récupération des biens Juifs hongrois déportés par les Allemands vers les camps d’extermination. Juif lui-même, et ne manquant jamais de brandir l’anathème de l’Holocauste, Soros commente son rôle avec une extrême désinvolture, du type “il fallait bien que quelqu’un fasse ce travail, alors pourquoi pas moi plutôt qu’un autre”... Ce personnage étrangement proche de ce qu’on imagine être un caractère diabolique sinon le Diable himself, a cette remarque qu’il juge “amusante”, de comparer le rôle de récupérateur des biens juifs (dont certains durent sans doute lui permettre de lancer sa fortune) à celui de trader-spéculateur : « Mais je n’avais en aucune façon l’idée que je n’aurais pas dû être là, parce qu’en fait ... d’un point de vue assez amusant, c’est comme sur les marchés spéculatifs ... l’idée que si je n’avais pas été là, bien sûr je n’aurais pas fait ces choses mais quelqu’un d’autre les aurait... enfin, de toutes les façons, elles auraient été faites... »
Le texte de Sedov est donc sur Strategic-Culture.org ce 26 janvier. Le second texte est de “Harper”, sur le site Sic Semper Tyrannis (SST), le site du colonel Lang, le 26 janvier également.
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Coyotes are small American wolves that live in large numbers throughout the country and are not much liked by the general population. They attack defenceless passers-by, children and cyclists. They scavenge in rubbish bins and steal food from farmers. A coyote's howl fills people with disgust. They also have a habit of mating with large, stray dogs, which produces a hybrid known as a 'coydog'. This hybrid is even more dangerous.
The American media has turned against new US President Donald Trump, and such an act could boldly be referred to as a coyote uprising. Those who work in the media live on whatever they can find to survive and have gotten wind of fat pickings. The political corpse of the new president promises a sizeable reward. From whom? From the celebrated master of the 'colour revolutions', the illustrious financial speculator George Soros, who has announced that the secret war against Trump is moving into its open phase.
The new president's main opponents are global financial movers and shakers, primarily American, for whom the safeguarding of national manufacturers through protectionist measures is a deadly poison. Wherever there is better protection of national interests, with international channels for the movement of capital being stopped or restricted, they see themselves in mortal danger. This is why Soros gave an interview to the Bloomberg news agency at Davos 2017 aimed at dashing Trump's hopes for America's industrial revival. America's fat cats do not need this kind of revival, and that’s why protests broke out all over the country.
The two leading forces of the forthcoming revolution have emerged:
• the American media, which is on the payroll of these fat cats; and
• the mobilised claque, the size of which the media unashamedly exaggerates.
On 22 January, the media coyotes organised yet another fake news story stating that 2.5 million people came out in protest around the world. One or two zeros could safely be added to this. Nobody counted the number of people protesting around the world, so it is possible to lie with impunity.
The media is also lying about the number of people protesting on the streets of American cities, just as it is lying about the number of people who were at Trump's inauguration. Photographs appeared in America's major newspapers showing the area reserved for guests in front of the Capitol Building virtually empty during the president's speech.
Trump has so far confined himself to sending his PR spokesperson to a press conference in order to remind the press of their responsibility to the country.
Not everything is so harmless, however. Ideas are being fed to a mobilised crowd that really could bring large groups of people out onto the streets. It turns out that: Trump is hostile towards women in general because he intends to restrict the right to abortion and stop health care companies from providing free birth control pills; he advocates violence; he's racist; he doesn't like homosexuals, lesbians or transsexuals; he has shown religious intolerance; he is against immigrants; he is opposed to climate agreements; he is against 'coloureds' ;and so on.
The American coyotes are tirelessly howling out this stuff on every television channel in the US. And after hearing their howls, entire groups of people are beginning to say to themselves: this is a conspiracy against us.
At one of the 'women's marches', the pop singer Madonna shouted into her microphone: «Are you ready to shake up up the world?» And the crowd hesitates in embarrassment as the pop singer screams out her armour-piercing «F..ck you!» It is striking that many of the protests are being lead by celebrities. For them it is also a business, and a pretty good one at that.
It seems that the organisers of America's Maidan intend to see it through to the bitter end. They will generously reward those coyotes and 'activists' who are bringing the people out onto the streets.
For the time being, Trump is relying on the sober judgement of Americans and hoping that the fire will not spread throughout the country. After all, most of the accusations against him are far-fetched or exaggerated disproportionately. It is more than likely that his administration will bring legal proceedings against the major US news outlets for disseminating knowingly false information about the US president. American courts are unpredictable, however.
It seems that the only way Trump will be able to fight against the emerging 'colour revolution' is by calling on his supporters to organise counter demonstrations, as the state leaders in a number of other countries have done.
Either way, relying on his own luck and the prudence of Americans may not be enough. If the president gives free reign to George Soros and his coyotes, chances are he'll be shoved to the sidelines of American history.
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On December 20, 1998, 60 Minutes aired an interview with George Soros. At one point, Steve Kroft asked the Hungarian-born speculator about his teenage years in Budapest, under the Nazi occupation. Soros freely admitted that he had been protected by a Nazi collaborator. Kroft asked: "My understanding is that you went out with this protector of yours... went out, in fact, and helped in the confiscation of property from the Jews." Soros answered: "Yes. That's right. Yes." Kroft: "That sounds like an experience that would send lots of people to the psychiatric couch for many, many years. Was it difficult?" Soros: "Not at all. Not at all. Maybe as a child you don't see the connection. But it created no problem at all." Kroft: "No feeling of guilt?" Soros: "No." Asked how he could have watched fellow Jews be sent to the slaughter, Soros elaborated: "Well, of course I could be on the other side, or I could be the one from whom the thing is being taken away. But there was no sense that I shouldn't be there, because that was--well, actually, in a funny way, it's just like in markets--that if I weren't there... of course I wasn't doing it, but somebody else would... would... would be taking it away anyhow. And it was the... whether I was there or not, I was only a spectator, the property was being taken away. So the... I had no role in taking away that property. So I had no sense of guilt."
In the early 1990s, Soros famously made a $2 billion killing in a 48 hour short-selling spree, on the breakup of the European Rate Mechanism. Asked on December 19, 1992 by the Guardian newspaper whether he had any guilty feelings about bringing ruin to a long-standing source of European financial stability. Soros answered, "I'm sure speculative actions have had some negative consequences. But that does not enter my thinking at all. It cannot. If I abstained from certain actions because of moral doubts, then I would cease to be an effective speculator. I have not even a shadow of remorse for making a profit. I did it only to make money."
This is the George Soros who is behind the financing of many of the hysterics being directed against the new U.S. President. Through front organizations like MoveOn.org, Soros bankrolled the "spontaneous" protests across the country after the results of the November elections were announced. Soros' charitable foundation (sic), the Open Society Fund, poured money into many of the organizations that turned out on Saturday to protest that Donald Trump is "not our President." Soros' main "philanthropic" passion has been to finance movements to legalize all illicit drugs in the United States.
Back in 2001, Senators John McCain and Lindsey Graham founded the Reform Institute to promote their political agenda. McCain and Graham never seem to have met a war that they did not wish to promote, regardless of whether it served or damaged U.S. interests or national security concerns. McCain's top aides, including his 2004 campaign chairman Rick Davis, received hefty financing from George Soros, as did the Reform Institute itself. At least 56 of the organizations that protested on Saturday, January 21 against the Trump inauguration were on the Soros foundation payroll. Roger Stone, a long-standing Trump political adviser and confidant, told the New York Post that "while there were many sincere women there, it [the Saturday march] was also a large AstroTurf operation paid for by Soros designed to destabilize the new president."
Another Soros-funded outfit, Citizens for Responsibility and Ethics in Washington (CREW), has already filed a law suit against Trump, challenging the Constitutionality of his presidency, on the grounds that his hotels take in revenue from foreign governments. Soros' Open Society Foundation and the Tide Foundation, which received an undisclosed amount of Soros funding, are two leading financiers of CREW.
Soros has made a name for himself internationally by funding "Color Revolutions" in Eastern Europe, the Caucasus, the Middle East and Southeast Asia. Judging by the level of Soros-funded hysteria since November 8, Soros' next "Color Revolution" target might be right here in the U.S.