Un commentaire est associé à cet article. Vous pouvez le consulter et réagir à votre tour.
2037On connaît Georges Soros : archétype de l’homme qui s’est bâti une fortune sur la seule spéculation, sans aucune vertu économique essentielle, il est devenu un personnage énigmatique en se plaçant à la tête des forces du monde de la finance et de l’entertainment qui constituent la plus puissante capacité du frappe du Système au niveau de la dissolution sociétale en mariant l’argument de la modernité (de la postmodernité), de la morale et du capitalisme. Nous disons “énigmatique” car nous pensons que ce n’est ni l’appât du gain ni même la fièvre de l’idéologie qui pousse Soros, tant il montre de passion pour le fait même de la déstructuration. Cet homme a, pourrait-on dire, une connexion directe avec le Mal, et nous sommes persuadés que cette connexion peut être intuitivement ressentie par ceux qu’il veut convaincre de ses bonnes intentions (sauf ceux qu’ils subventionnent)
... Par conséquent, sa prise de position anti-Trump subreptice mais solennelle, dans The Guardian qui est le moyen préféré de l’adoubement de la vertu libérale-moderniste-Système, est certainement, à notre sens, une excellente nouvelle pour The Donald. D’une part, elle le renforce dans sa fonction anti-establishment et renforce son électorat à mesure. D’autre part, elle signale l’importance considérable de la panique du même establishment : comme tous les grands formats, Soros n’intervient que lorsque la gravité de la situation l’impose.
C’est par ZetoHedge.com du 28 décembre que nous avons été alertés à propos de ce texte de Soros. Le site présente le texte de Soros, effectivement comme un signe d’une très grande nervosité de l’establishment devant la position de leadership de Trump dans les élections présidentielles. On y lit cité cette phrase de Soros qui sert de titre à son article, où la démagogie est mis en équivalence avec le terrorisme, c’est-à-dire “Trump = Daesh”, ce qui ne laisse pas de plonger dans des abîmes de perplexité lorsqu’on sait d’où vient Daesh, qui arme et fiunance Daesh, qui protège Daesh et ainsi de suite ... « It appears The Establishment has decided to bring in the big guns to dislodge The GOP's nightmare scenario as Donald Trump goes from strength to strength in the polls. Writing in an op-ed for The Guardian, billionaire puppet-master George Soros urges Americans “to resist the siren song of the likes of Donald Trump, adding that “the terrorists and demagogues want us to be scared. We mustn’t give in.” » Le texte de Soros est dans le Guardian du 28 décembre. Son sujet apparent est le terrorisme et les peurs qu’il provoque chez nous, avec les réflexes antimusulmans puisqu’aujourd’hui on équivaut “terrorisme” et “musulmans”. Son sujet essentiel, c’est Trump...
« ...How can it be stopped and reversed? Abandoning the values and principles underlying open societies and giving in to an anti-Muslim impulse dictated by fear certainly is not the answer, though it may be difficult to resist the temptation. I experienced this personally when I watched the last Republican presidential debate; I could stop myself only by remembering that it must be irrational to follow the wishes of your enemies. To remove the danger posed by jihadi terrorism, abstract arguments are not enough; we need a strategy for defeating it. The challenge is underscored by the fact that the jihadi phenomenon has been with us for more than a generation. Indeed, gaining a proper understanding of it may be impossible. But the attempt must be made.
» Consider the Syrian conflict, which is the root cause of the migration problem that is posing an existential threat to the European Union as we know it. If it was resolved, the world would be in better shape. It is important to recognise that Isis is operating from a position of weakness. While it is spreading fear in the world, its hold on its home ground is weakening. The United Nations security council has unanimously adopted a resolution against it, and the leaders of Isis are aware that their days in Iraq and Syria are numbered.
» Of course, the outlook for Syria remains highly uncertain, and the conflict there cannot be understood or tackled in isolation. But one idea shines through crystal clear: it is an egregious mistake to do what the terrorists want us to do. That is why, as 2016 gets underway, we must reaffirm our commitment to the principles of open society and resist the siren song of the likes of Donald Trump and Ted Cruz, however hard that may be. »
Mis en ligne le 29 décembre 2015 à 10H46
Forum — Charger les commentaires