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2009Nous avons pour habitude de ne pas suivre l’actualité quotidienne de la communication dans ses moindres soubresauts, dans une époque où la communication domine absolument le champ des affaires publiques et où plus aucune référence (réalité pulvérisée) ne permet de fixer aussitôt un jugement à bonne distance et à la fois net et mesuré, selon nos propres références que sont nos vérité-de-situation. Hier, 11 janvier 2011, fut néanmoins si exceptionnel que nous jugeons nécessaire d’en donner un jugement avec le matériel disponible, notamment quelques réactions choisies selon nos références, et dont nous pensons qu’il (ce jugement) est malgré tout “à bonne distance et à la fois net et mesuré”.
La folie de communication de cette journée fut d’abord une “nouvelle”, c’est-à-dire une “révélation anti-Trump” de type-scandaleuse, aussitôt décortiquée comme un montage grossier réalisé par une connexion entre des espèces d’ex-agents de renseignement britanniques, les habituels mercenaires de l’IC (Intelligence Community) US notoirement anti-Trump, et le relais absolument déchaîné et hystérique, et aveugle par la même occasion, de la presse-Système US. La folie de la communication se poursuivit par la conférence de presse annoncée du président-élu Trump, qui se déroula dans une atmosphère d’une sauvagerie inouïe (selon le mot de l’aviation de combat décrivant une duel à mort, rapproché, tournoyant, entre deux chasseurs ennemis : un dogfight [littéralement “combat de chiens”]), où l’on put mesurer l’extraordinaire animosité entre Trump et la presse-Système. Il nous semble manifeste qu’on ne peut attribuer au hasard la diffusion de la FakeNews à l’heure et au jour où elle eut lieu, et la conférence de presse quelques heures plus tard : l’ensemble constituait une kolossal finesse des archers des “services”, aussi épais du bulbe que peut l’être un Brennan.
Tout cela est d’une grossièreté rare, mesurant l’hystérie complète de l’opposition anti-Trump et la tension formidable existant à Washington D.C. Par contraste, Trump s’est montré, lors de sa conférence de presse, à la fois d’un calme souverain et d’une fermeté intraitable face à ceux qui avaient diffusé les FakeNews du jour, refusant absolument les questions du représentant de CNN, l’un des deux opérateurs de la chose. On trouve les comptes-rendus sérieux de ces deux événements, dans divers médias (essentiellement antiSystème) et sous diverses plumes que nous jugeons pour notre compte acceptables et de bonne valeur.
Nous citeront notamment, parmi beaucoup d’autres des références habituelles que nous utilisons, Alexander Mercouris sur son site TheDuran.com, dans divers articles hier soir (dont celui que nous reprenons ci-dessous) ; un formidable article de Glenn Greenwald (que Mercouris cite et que nous citons également) qui démonte complètement, avec une documentation remarquable pour le temps font il disposait, la grossière FakeNews du jour ; un passage (ZeroHedge.com), qui devrait devenir fameux de la conférence de presse où Trump refuse obstinément une question de Jim Acosta, de CNN (« Not you,” Trump said. “Your organization is terrible!” ») ; enfin un article du New York Magazine (réglementairement anti-Trump, puisque de presse-Système) cité également par Breitbart.News, qui évalue le résultat de cette bataille...
Attachons-nous d’abord au dernier cité... Son verdict est intéressant puisqu’il tente de rester critique comme il se doit en séparant le domaine habituellement rationnel du fond (la “politique“ présentée lors de la conférence de presse), du domaine habituellement futile de la forme (la communication elle-même qu’a représentée cette conférence), – alors que, dans cette époque d’inversion et de pulvérisation de la réalité voulues par le système dont la plupart des anti-Trump subissent l’écrasante influence, c’est la forme dans ce cas qui a une réelle subsistance, qui est le véritable fondement de l’événement. (Le fond, lui, celui qui plaît à la presse-Système parce qu’il fait si “sérieux”, c’est l’exercice presque aussi courant que ses parties de golf, d’autosatisfaction et de détachement suffisant et arrogant des discours du président-partant, l’homme qui sait si parfaitement exprimer avec élégance et subtilité le vide catastrophique de la politique d’entropisation à laquelle il s’est soumis pendant huit ans.)
« Trump being Trump, he didn’t show any interest in directly answering questions. He opened with a rambling monologue that included the pronouncement: “I will be the greatest jobs producer that God ever created.” When asked by a reporter if Russia aided his win, Trump said, “Well, if Putin likes Donald Trump, I consider that an asset.” Questioned whether the American people wanted him to finally release his tax returns, he replied, “No, I don’t think they care at all.” Challenged on the potential conflicts of interest for his cabinet appointees, Trump explained that Rex Tillerson and Jeff Sessions were “brilliant.”
» Judged on a policy basis, it was a disaster. Trump came across as just as unprepared and unfocused as he did during his shambolic campaign. [...]
» But observed as spectacle, Trump came away with a resounding victory. That’s because Trump won even before he stepped before the microphone, by making the media the story. Last night, BuzzFeed published a salacious 35-page oppo-research dossier on Trump that alleged Russia possessed sexual and financial dirt on Trump that could be used to blackmail him. BuzzFeed justified reporting the unverified oppo-research document — which had been compiled during the presidential campaign by a political operative working for Trump’s Republican rivals — by stating that intelligence agencies had briefed Trump on a summary of the findings last week. But BuzzFeed’s article boomeranged back on the website as journalists were quick to denounce its decision to publish unconfirmed claims and errors. (CNN broke news of the intelligence briefing, but did not print the sensational details.)
» Trump exploited this wedge. From the outset, he worked to isolate BuzzFeed and CNN. “I want to thank a lot of the news organizations for some of whom have not treated me very well over the years — a couple in particular — and they came out so strongly against that fake news and the fact that it was written about by primarily one group and one television station,” he said. Trump also deflected attention from the urgent questions at hand by taking aim at the intelligence agencies, which he accused — without proof — of the leak. “It was disgraceful that the intelligence agencies allowed any information that turned out to be so false and fake out … [T]hat’s something that Nazi Germany would have done, and did do.”
» For the most part, Trump remained calm and jocular (except when he refused to call on CNN reporter Jim Acosta, yelling “You are fake news!”). He invited reporters to the White House the week after his inauguration. He left the bad-cop routine to his press secretary, Sean Spicer, who called BuzzFeed “a left-wing blog” and said the decision to publish was “outrageous and highly irresponsible.”
» The cumulative result is that Trump turned what should have been a serious examination of his incoming administration into a debate over journalistic practices and Michael Cohen’s travel itinerary. BuzzFeed deserves some of the blame for this. Journalists receive oppo research frequently during political campaigns, but publish only what they can verify. By amending this standard for Trump, BuzzFeed handed him an opening to play the victim. Trump thrives in a world where facts are fungible. As the journalist Masha Gessen, who’s covered Putin’s Russia for years, tweeted: “We are now fully immersed in the anonymous, the unverified, and the unverifiable. And he hasn’t even taken office. Trumpism sure is fast.” [...] »
Nous comprenons bien la critique du New York Magazine sur l’aspect “désastreux” du fond et sur “la victoire éclatante” de Trump sur la forme ; mais qui l’a fait roi dans ce cas ? Qui a institué la “société du spectacle” (Debord n’avait pas prévu Trump qui excelle justement dans cette “société du spectacle”), pour mieux appliquer une entreprise totalitaire de subversion totale, de destruction de l’espèce et du monde, essentiellement par la communication (la forme), sinon pour le rôle d’instrument-producteur en bonne partie cette presse-Système qui gémit aujourd’hui parce que Trump ne répond pas à ses questions, d’ailleurs totalement faussaires, ou lui répond à côté, histoire de lui faire un “bras d’honneur de communication” en passant, pour se jouer d’elle et encore plus mettre en évidence sa vanité et son imposture à elle ? ... Encore que, enfin, il y ait beaucoup à dire sur le “désastre” de la politique-Trump, et l’on verra ce qu’il en sera ; en attendant, la presse-Système ne mérite pas plus que ces non-réponses ou ces réponses “à côté”, lorsqu’on voit la façon dont elle évolue, véritable zombie au service du Système : elle ne mérite donc ni plus ni mieux que ce que Trump lui donne et les bras d’honneur qu’il lui fait.
Que la première conférence de presse de Trump ait été un succès (pour Trump), Alexander Mercouris n’en doute pas une seconde. Mercouris examine la situation de Trump, sa position tactique d’une façon plus générale, notamment par rapport à l’IC, enfin l’effet du “dossier Trump” (le dernier FakeNews en date, sortie pour la conférence de presse), notamment pour la conférence de presse...
« The claims of the ‘Trump dossier‘ are so bizarre and so obvious false that its publication is working to Donald Trump's advantage, as he showed in his news conference. That the ‘Trump dossier’ is working to Donald Trump’s advantage, and that he is a far more skilful politician than some people suppose him to be, found confirmation from his press conference today.
» The ODNI report which was published on Friday proved to be so empty of evidence that in my opinion it did more long term harm to the reputation of the US intelligence community than it did to Donald Trump’s legitimacy, or to his policy of detente with Russia. However the very vagueness of the ODNI report also meant that it is next to impossible to prove its claims untrue. It is notoriously difficult to prove a negative, making it difficult for both Trump and the Russians to refute claims that it was Russian intelligence which was behind the Clinton leaks, especially given the almost complete media blackout on Craig Murray’s revelations.
» However the ‘Trump dossier’ is a different matter. Its contents are so lurid and improbable, and many of its factual assertions are so demonstrably false, that it is easy to deny and take apart. That is precisely what Donald Trump did in his press conference. Wisely he focused on denouncing the ‘Trump dossier’ as ‘fake news’, whilst casually saying that the Russians probably did hack the DNC though pointing out other states have hacked the US also.
» This appears now to be the agreed line within the Trump team. An early though unfortunately somewhat garbled version of it was expressed by Reince Priebus a few days ago, and variations of it are now being repeated by Trump’s picks for cabinet posts including Rex Tillerson, Trump’s nominee for Secretary of State, in his Senate confirmation hearing today. This approach avoids a head on clash with the US intelligence community, whilst downplaying the significance of the whole issue. It is consistent with the line Trump took in his statement on Friday, which whilst conciliatory towards the US intelligence community, admitted nothing of substance.
» One other effect of the ‘Trump dossier’ is that it has finally convinced many skeptics that the US intelligence community and the CIA especially are indeed engaged in an attempt to delegitimse and box in Donald Trump. Consider what Glen Greenwald has said about the conduct of the CIA in his exceptionally fine article about the ‘Trump dossier’ today... »
Ces derniers mots nous invitent donc à lire l’article de Greenwald, effectivement remarquable selon plusieurs aspects. Le premier tient bien entendu dans la démonstration, l’abondante documentation soutenant cette démonstration, selon l’habitude de Greenwald. Le second aspect est que Greenwald est un progressiste, voire un progressiste-sociétal (il est lui-même homosexuel), et par conséquent, – paraît-il, selon les anathèmes qu’on lance contre Trump, – un adversaire affirmé de Trump selon ce que Trump est censé être. Greenwald ne le cache nullement dans son article, en rappelant et en soulignant sa position de principe (« The serious dangers posed by a Trump presidency are numerous and manifest... »). A côté de cela, il fait remarquablement la part des choses, n’oublie pas ce qui s’est passé depuis 2001, ne se trompe pas une seconde sur le désastre-Système qu’a été la présidence Obama, et prend comme ligne de réflexion et de développement de son article que Trump est la victime d’une attaque furieuse et sans aucun frein de ce qu’on nomme “l’État profond”. Cela figure d’ailleurs dans le titre, en même temps qu’il remet les démocrates à leur véritable niveau de bassesse et de corruption tant vénale que psychologique : « The Deep State Goes to War with President-Elect, Using Unverified Claims, as Democrats Cheer »).
On reprendra ci-dessous l’extrait cité par Mercouris lui-même (le début à trois paragraphes près de l’article), suivi d’un autre extrait, le dernier de l’article et sa conclusion, – le reste constituant les démonstrations techniques et la documentation qui va avec. L’intérêt du texte de Greenwald est bien qu’il donne une assise très solide, technique et éthique à la fois, à la perception d’une attaque concertée de l’establishment, ou bien de l’“État profond” contre Trump (ou bien, du complexe militaro-industriel [la mention du discours d’Eisenhower de 1961 commence le texte de l’article : « In january, 1961, Dwight Eisenhower delivered his farewell address after serving two terms as U.S. president; the five-star general chose to warn Americans of this specific threat to democracy: “In the councils of government, we must guard against the acquisition of unwarranted influence, whether sought or unsought, by the military-industrial complex. The potential for the disastrous rise of misplaced power exists and will persist.” »]).
Voici les extraits du texte de Greenwald du 11 janvier 2016, dans The Intercept :
« The serious dangers posed by a Trump presidency are numerous and manifest. There are a wide array of legitimate and effective tactics for combatting those threats: from bipartisan congressional coalitions and constitutional legal challenges to citizen uprisings and sustained and aggressive civil disobedience. All of those strategies have periodically proven themselves effective in times of political crisis or authoritarian overreach.
» But cheering for the CIA and its shadowy allies to unilaterally subvert the U.S. election and impose its own policy dictates on the elected president is both warped and self-destructive. Empowering the very entities that have produced the most shameful atrocities and systemic deceit over the last six decades is desperation of the worst kind. Demanding that evidence-free, anonymous assertions be instantly venerated as Truth — despite emanating from the very precincts designed to propagandize and lie — is an assault on journalism, democracy, and basic human rationality. And casually branding domestic adversaries who refuse to go along as traitors and disloyal foreign operatives is morally bankrupt and certain to backfire on those doing it.
» Beyond all that, there is no bigger favor that Trump opponents can do for him than attacking him with such lowly, shabby, obvious shams, recruiting large media outlets to lead the way. When it comes time to expose actual Trump corruption and criminality, who is going to believe the people and institutions who have demonstrated they are willing to endorse any assertions no matter how factually baseless, who deploy any journalistic tactic no matter how unreliable and removed from basic means of ensuring accuracy?
» All of these toxic ingredients were on full display yesterday as the Deep State unleashed its tawdriest and most aggressive assault yet on Trump: vesting credibility in and then causing the public disclosure of a completely unvetted and unverified document, compiled by a paid, anonymous operative while he was working for both GOP and Democratic opponents of Trump, accusing Trump of a wide range of crimes, corrupt acts and salacious private conduct. The reaction to all of this illustrates that while the Trump presidency poses grave dangers, so, too, do those who are increasingly unhinged in their flailing, slapdash, and destructive attempts to undermine it.
» For months the CIA, with unprecedented clarity, overtly threw its weight behind Hillary Clinton’s candidacy and sought to defeat Donald Trump. In August, former acting CIA Director Michael Morell announced his endorsement of Clinton in the New York Times and claimed that “Mr. Putin had recruited Mr. Trump as an unwitting agent of the Russian Federation.” The CIA and NSA director under George W. Bush, Gen. Michael Hayden, also endorsed Clinton, and went to the Washington Post to warn, in the week before the election, that “Donald Trump really does sound a lot like Vladimir Putin,” adding that Trump is “the useful fool, some naif, manipulated by Moscow, secretly held in contempt, but whose blind support is happily accepted and exploited.”... [...]
» There is a real danger here that this maneuver [against Trump] can harshly backfire, to the great benefit of Trump and to the great detriment of those who want to oppose him. If any of the significant claims in this “dossier” turn out to be provably false — such as Cohen’s trip to Prague — many people will conclude, with Trump’s encouragement, that large media outlets (CNN and BuzzFeed) and anti-Trump factions inside the government (CIA) are deploying “Fake News” to destroy him. In the eyes of many people, that will forever discredit — render impotent — future journalistic exposés that are based on actual, corroborated wrongdoing.
» Beyond that, the threat posed by submitting ourselves to the CIA and empowering it to reign supreme outside of the democratic process is — as Eisenhower warned — an even more severe danger. The threat of being ruled by unaccountable and unelected entities is self-evident and grave. That’s especially true when the entity behind which so many are rallying is one with a long and deliberate history of lying, propaganda, war crimes, torture, and the worst atrocities imaginable.
» All of the claims about Russia’s interference in U.S. elections and ties to Trump should be fully investigated by a credible body, and the evidence publicly disclosed to the fullest extent possible. As my colleague Sam Biddle argued last week after disclosure of the farcical intelligence community report on Russia hacking — one which even Putin’s foes mocked as a bad joke — the utter lack of evidence for these allegations means “we need an independent, resolute inquiry.” But until then, assertions that are unaccompanied by evidence and disseminated anonymously should be treated with the utmost skepticism — not lavished with convenience-driven gullibility.
» Most important of all, the legitimate and effective tactics for opposing Trump are being utterly drowned by these irrational, desperate, ad hoc crusades that have no cogent strategy and make his opponents appear increasingly devoid of reason and gravity. Right now, Trump’s opponents are behaving as media critic Adam Johnson described: as ideological jelly fish, floating around aimlessly and lost, desperately latching on to whatever barge randomly passes by.
» There are solutions to Trump. They involve reasoned strategizing and patient focus on issues people actually care about. Whatever those solutions are, venerating the intelligence community, begging for its intervention, and equating their dark and dirty assertions as Truth are most certainly not among them. Doing that cannot possibly achieve any good, and is already doing much harm. »
Laissons Greenwald à sa désolation de voir son camp (anti-Trump) se ranger derrière toutes les manigances du système, de la CIA type-Murder Inc. à l’extrême de la presse-Système productrice de FakeNews comme dans un état diarrhéique. Le vrai est que, dans la situation présente de l’état catastrophique du monde, il faut savoir distinguer entre l’essentiel et l’accessoire, – le danger essentiel (en essence) que pose le Système, et le danger que recèle une présidence Trump selon certains, qui n’est qu’accessoire et qui, en s’opposant au Système pour s’affirmer, devient dans un impeccable retournement, une inversion vertueuse, complètement antiSystème. Nous connaissons cette évidence depuis longtemps et n’avons jamais fait de Trump le Messie qui nous sauvera, mais nous savons distinguer l’“ennemi principal” de celui qui, malgré ses avatars personnels et autres, devient nécessairement et essentiellement (en essence) notre allié dans la bataille antiSystème qui est essentiellement (en essence) la nôtre.
Il reste de cet épisode absolument échevelé, presque magique (magie noire et magie tout court) dans son énormité et dans sa fabuleuse résonnance de communication, que Trump est pour l’instant ce fantastique obstacle posé devant la surpuissance du Système, et qui, à cause de la pression qui est exercée sur lui, est conduit à radicaliser sa position de communication dans une mesure qui fait de lui-même un non moins fantastique antiSystème. Tout cela ne nous promet rien d'assuré sur les posiutions des uns et des autre mais beaucoup dans le champ de l'agitation extrême et paroxystique. Nous avons donc bien compris qu’avec USA-2016, déjà soigné aux petits oignons, nous n’avons encore rien vu ; USA-2017 nous en réserve de bien plus extraordinaires, comme un bouquet d'une durée considérable succède au feu d’artifice, avec comme probabilité du diagnostic l’entrée dans leur crise d’agonie des USA américanistes, c’est-à-dire le moteur et le cœur grondant du Système, c’est-à-dire le Système lui-même... « Vous avez aimé USA-2016 ? Vous adorerez USA-2017... »
Mis en ligne le 11 janvier 2017 à 10H55
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