Eric Gaillot
18/11/2013
La manière dont vous structurez vos articles incite probablement vos lecteurs réguliers à aller directement à la conclusion sans forcément lire l’article dans son entier car c’est dans la conclusion qu’on vous retrouve en entier.
Ce n’est pas tout à fait mon cas, car j’aime votre style et j’aime vous lire comme on lit un poème. Ceci dit, je commence toujours par lire la conclusion de vos articles avant de les lire en entier.
Cela veut dire que parfois, après avoir lu la conclusion, je ne lis pas votre article.
Ce fut presque le cas pour “Crise de confiance et “néo-populisme” car votre conclusion indique clairement que nous, Européens, nous sommes OUT. A partir du moment où nous n’avons pas notre mot à dire dans les affaires du monde, pourquoi s’intéresser à ces affaires?
mumen
18/11/2013
“ le legs fondamental que BHO aimerait, ou aurait voulu laisser à lhistoire ”
Obama aurait-il quelque chose à dire ou à être en dehors de la marionnette de l’oligarchie ? Les soins de santés ne devaient-ils pas s’accompagner d’une grande avancée de l’ordre : le puçage pour tous ? Il reviendra demain, d’une autre façon bien plus efficace, soyez en sûrs.
Obama, cet homme n’existe pas en tant qu’homme véritable tant qu’il porte l’habit de POTUS. C’est un acteur qui dit son texte, même s’il doit parfois improviser. Les sondages ne testent pas sa popularité ou sa crédibilité, ils testent uniquement l’efficacité de la narrative.
La politique traditionnelle, celle qui veut gouverner pour gouverner, met des bâtons (antiobamacare) dans les roues de ceux qui veulent gouverner pour la puissance personnelle. Mais pas parce qu’elle est antisystème, non. Les modérés et même les extrêmes de tous bords deviennent antinomique avec ces goinfres sans esprit et se retrouvent involontairement alliés, étrangement unifiés contre le pillage sans états d’âme de ces inhumains supérieurs, mais pas pour les bonnes raisons. Le politique traditionnel perdure à se croire dans le jeu alors qu’il a quitté le plateau depuis des décennies, discrètement d’abord et sans fards aujourd’hui. C’est la ça, la force de la COG (Continuity of government).
Tant qu’il n’existera pas un front commun objectif pour faire autre chose que de nourrir ce cancer d’oligarchie, rien ne servira à rien. Les partis sont des lambeaux qui pendouillent vaguement au gré du vent. Il suffit de les aider à se battre entre eux pour assurer le guignol et faire croire que le processus démocratique fonctionne comme il le doit. Pendant ce temps là, les choses se décident et se font *de toutes façons*.
Si le système tombe, ou plutôt quand le système tombera, les gens du système ne tomberont pas. Ils ont évidemment prévu le coup. Ils seront là pendant et après la chute, sans plus de scrupules. Ils auront *encore* plus de pouvoir tant les moyens seront à reconstruire… en mieux, n’est ce pas ?
En attendant…
Voter demain comme hier ! Voter comme s’il y avait des règles justes, des choses comme la démocratie ! Voter pour que continue la farce !
Ou bien…
Montrer les choses comme elles sont.
Démasquer.
Dénoncer.
Tous les jours.
Francois DESBORDES
27/11/2013
500 millions de lignes de code, pour healthcare.gov :
Voici qui devrait parler aux familiers de dedefensa, habitués aux déboires du JSF !
Stephane Eybert
09/12/2013
Bonjour,
Je vois que Dedefensa utilise souvent la comparaison de principe (que le bloc BAO n’a pas) et de valeur (que le bloc BAO utilise).
DeDefensa expliquet’il quelque part ce qu’ilf aut entendre par principe et par valeur ?
Je vois mal ce qu’il entend par principe.
Merci.
Stephane
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