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Article : Manufacture des crises : cette fois à Ferguson, Missouri

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Que faire ? il faut vivre

perceval78

  14/08/2014

Le vent se lève!... Il faut tenter de vivre!
L’air immense ouvre et referme mon livre,
La vague en poudre ose jaillir des rocs!
Envolez-vous, pages tout éblouies!
Rompez, vagues! Rompez d’eaux réjouies
Ce toit tranquille où picoraient des focs!

Paul Valery. Le cimetière marin.

... et notre vie deviendra calme, tendre, douce, comme une caresse,je crois, je crois, mon pauvre, pauvre oncle Vania,
tu pleures ? tu n’as pas connu de joie dans ta vie,mais attends oncle Vania, attends, nous nous reposerons, nous nous reposerons ...

Anton Tchekov. Oncle Vania.

http://www.leventseleve.fr/poeme.htm

http://www.youtube.com/watch?v=gkRwE0nTxIo

Dislocation

Nestor LELONG

  14/08/2014

Bonjour,

Vous n’évoquez plus,ce, depuis quelques temps déjà (2011), le risque que connaîtrait les USA de se disloquer en plusieurs entités.

Qu’en est-il à ce jour de ce risque ?

2014, fin de la préhistoire

jean marie vrignaud

  15/08/2014

Il est aisé pour tout un chacun d’assimiler, au travers de l’amoncellement des faits courants, que l’année 2014 est l’aboutissement d’un processus de liquidation de ce qui était notre paradigme en vigueur.

Il faut bien entendre par paradigme la direction prise par notre expérience d’évolution depuis l’autre préhistoire, celle que nous ressentons de par les ‘‘contractions’’ scientifiques comme un brouillard compact inséré au sein de la vision qu’elle pourrait impacter sur notre culture.

Cet ancien paradigme étant occulté pour que celui-ci soit ‘‘entier et unique’‘.

En ce sens, l’évolution d’un paradigme ressemble à une succession de couches d’expériences dans laquelle une mémoire de résultat ‘‘s’ajoute’’ ou ‘‘s’emboîte’’ à la précédente afin que, toutes options exploitées, elle ‘‘mue’’ par cause de non répétition de ces-dits résultats.
(L’histoire ne peut se répéter infiniment, car elle engendrerait une non-histoire)

L’Histoire telle que nous la percevons est un processus permanent basé sur la création, l’évolution et la destruction.

Or nous y voici.

2014, est cet instant de fin de paradigme ou la destruction est permanente et dans tous les domaines, comme un solde de tout compte de ce qu’il faut bien appeler déjà ‘‘notre civilisation finissante’‘.

Dire que le rôle de l’homme au sein de cette aventure est d’être la courroie qui permet le fonctionnement du moteur paradigme est une image extrêmement séduisante.
A ce jour, le paradigme était qu’il ne pouvait qu’en être l’acteur.

Car changement il y a, l’évolution tangible passe certainement par celle du statut de l’homme au sein de l’expérience.
Nous en sommes arrivés à cet instant ou l’élite ne représente plus le système mais ou chaque homme ayant développé la capacité d’auteur-compositeur-interprète de son potentiel s’élit de fait élite.

Un dessein prometteur, porteur et vierge.
Un age ou l’expression des potentiels créatifs individuels sera la base de la structure de ce nouveau paradigme.

2014 ressemble singulièrement à une arrivée… sur la ligne d’un nouveau départ.
La préhistoire de cette nouvelle humanité ne peut se terminer que par l’extinction de l’homme des casernes.

Are you raidit ?

Le Pentagone prépare la guerre dans les villes

Jean-Paul Baquiast

  15/08/2014

Voyez la seconde partie de cet article du WSWS
http://www.wsws.org/en/articles/2014/08/14/pers-a14.html