perceval78
31/12/2015
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Lou si je meurs là-bas souvenir qu’on oublie
- Souviens-t’en quelquefois aux instants de folie
De jeunesse et d’amour et d’éclatante ardeur -
Mon sang c’est la fontaine ardente du bonheur
Et sois la plus heureuse étant la plus jolie
Ô mon unique amour et ma grande folie
Ecrivains au Front
Christian Feugnet
01/01/2016
Apolinaire a su donner de la beauté à l'horreur . Mais je ne sais comment fait P Grasset pour supporter Verdun .
Je perçois çà comme un grand Moloch qui a englouti notre jeunesse , sa meilleure partie , nos réves . Je ne supporte pas cette vision . Verdun je ne pas croire que celà a existé , je ne veux pas savoir de peur de m'y engloutir aussi .
Apolinaire , Peguy , c'est supportable , mais ni pour l'un , ni pour l'autre ce ne fut Verdun .
Dont Acte
02/01/2016
Votre réflexion sur l’éternité est passionnante, mais je la crois invalide pour nos petites personnes. En effet, elle s’inscrit dans l’absolu et ne prends pas en compte une donnée fondamentale : notre propre finitude.
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