La rubrique Glossaire.dde a effectivement une fonction de glossaire pour dedefensa.org, pour les nombreux mots et expressions utilisés dans nos textes comme autant de concepts qui nous sont propres, et ainsi explicités. • Cette nouvelle rubrique n'a pas simplement une forme d'explication statique, elle a aussi une forme d'analyse dynamique. • L'explication elle-même a nécessairement une dimension d'initiation. • L’utilité de ce glossaire est de deux ordres constitutifs au moins, et d’un troisième, dynamique, qui doit donner tout son sens à la rubrique. • Cela apparaît d'une façon évidente à mesure du développement de la rubrique, qui se fait à son rythme bien entendu. • Le texte du 26 octobre 2012 donne une présentation complète de la rubrique.
• Le qualificatif “crisique” est un mot que nous employons beaucoup dans notre arsenal conceptuel. • Il caractéristique plusieurs évolutions du facteur événementiel fondamental qu’est la “crise” dans nos “époques” présentes (1999/2001-2007 et 2008-en cours). • Aujourd’hui, avec le concept d’“infrastructure crisique”, il semble que nous soyons parvenus à un terme de l’évolution. • Dans ce texte, nous examinons tous les concepts “crisiques” que nous avons développés, en favorisant bien entendu le nouveau-venu et le dernier de la série qui englobe tout le reste.
• On trouve souvent dans nos textes une allusion imagée aux “termites”, voire à l’image d’“une fable des termites et des conduites pourries”. • Développée à partir d’un cas bien précis, cette image est devenue un symbole d’un phénomène opérationnel caractérisant une activité essentielle de ce que nous désignons comme “la crise d’effondrement du Système”. • Il s’agit d’un phénomène constamment en action et en progression, qui sous-tend l’explication générale que nous proposons pour décrire l’opérationnalité de cette crise.
• Le concept d'“infraresponsabilité” a été introduit depuis quelques mois. • Ici, nous nous attachons à l'explorer dans tous ses composants, sa position historique, sa situation métahistorique, son opérationnalité. • L'infraresponsabilité est le cœur du processus d’emprisonnement par le Système des psychologies, essentiellement des élites du bloc BAO. • Il permet de développer la politique-Système et de participer à la destruction du monde. • Naturellement, selon l'équation surpuissance-autodestruction, il peut susciter une puissante inversion vertueuse.
• Analyse à propos d'un mot que nous employons, qui aboutit à un concept après avoir été construit à partir de son opérationnalité : le Mal. • C’est un aspect, un point essentiel de notre démarche, qui est toujours en développement, – si bien que ce texte sera suivi d’autres dans ce Glossaire.dde. • L’importance que nous accordons au Mal est directement liée à l’expérience que nous avons de cette époque (y compris la spécificité de l’«époque» commencée à l’automne 2008), complètement exceptionnelle par son omniprésence sous forme de Système.
• Nous avons une conception très spécifique de la psychologie. • Pour nous, son rôle est primordial, dans les prémisses du “déchaînement de la Matière”, de l’installation du Système et de l’affirmation universelle et totalitaire de la modernité. • Il s’agit donc bien de “notre” psychologie, bien plus que de la psychologie, et son importance dans la crise de civilisation devenue “contre-civilisation” est bien aussi grande aujourd’hui qu’elle ne le fut hier (au “siècle du persiflage”).
• A côté des définitions du système du technologisme et du système de la communication, qu'on donnera d'une façon spécifique pour chacun d'eux, il s'agit de la définition des positions relatives et des relations entre système du technologisme et système de la communication. • Ces deux systèmes sont les “outils” du Système en général. • Ils se trouvent à des moments cruciaux. • L'un est à bout de souffle, l'autre révèle de plus en plus une position très ambigüe par rapport au Système. • Il faut en effet mettre l'accent sur ce que nous nommons l'“aspect Janus” du système de la communication, qui fait que, souvent et même de plus en plus souvent, le système de la communication sert à promouvoir et à renforcer souvent décisivement la dynamique antiSystème. • Ainsi avons-nous un verdict intéressant : le système du technologisme, irrémédiablement lié au Système, coule avec lui. • Le système de la communication, lui, et alors que la communication est devenue la principale force de puissance indirecteùent politique de l'époque, constitue au contraire une force primordiale pour tenir un rôle essentiel dans la Grande Crise de l'effondrement du Système. • Exemple le plus remarquable du retournement des armes du Système contre le Système, ce fameux mouvement “faire aïkido” (retourner l'arme de l'adversaire contre l'adversaire) qui nourrit l'équation surpuissance-autodestrucion du Système.
• Historique et généalogie, rafraîchie et complétée par rapport à ce qui a déjà été écrit, de ce que nous nommons le “bloc américaniste-occidentaliste” (bloc BAO). • L’expression désigne une formation décisive des pays de l’Occident du monde, pour développer une politique-Système entièrement dévolue au Système. • Il s’agit d’une recette complètement caractéristique de notre époque, poussée de surpuissance vaine au son d’une narrative humanitariste plutôt qu'humanitaire, sans le moindre sens, simplement parce que le Système qui ordonne tout cela n'a lui-même aucun sens sinon celui de développer sa sirpuissance. • Les références sont des “valeurs” et non plus des principes, c'est-à-dire des références variables selon les circonstances, qui sont au service d'une pseudo-politique (la surpuissance du Système sans aucun sens) bien plus qu'elles ne guident une politiqu qui n'existe plus. • Le point le plus remarquable dans ce bloc-BAO qui semblerait selon nos conceptions regroupé autour des USA et au service des USA, c'est qu'il ne l'est justement plus : le bloc-BAO n'implique plus une domination écrasante et sans partage des USA parce qu'il est un ensemble qui n'a pas besoi de “dominant”. • Les USA comme les autres (les pays de l'UE essentiellement) sont regroupés derrière les “valeurs” telles que le “droitdel'hommisme”, taillables et corvéables à merci selon un but commun qui est la globalisation par nivellement psychologique et culturel.
• Ce que nous nommons “politique-Système”, désormais “politiqueSystème”, est un phénomène très récent, animé par la logique déstructuration-dissolution, d’une puissance impressionnante (surpuissance) et conduisant à l’autodestruction, et ainsi complètement enfantée par le Système. • La politiqueSystème telle que nous la concevons, a commencé à apparaître dans toute sa spécificité après l'attaque du 11 septembre 2001, bien entendu. • C'est ainsi qu'elle a pu paraître comme une politique spécifiquement américaniste, voire spécifiquement républicaine (avec coopération des démocrates-Système et une opposition des extrémistes et “dissidents” démocrates faussement identifiés pour la plupart comme antiSystème) ; sinon comme politique inspirée par un groupe d'influence (les neocons). • Depuis 2006 et surtout 2008-2009, le paysage a changé et la politiqueSystème est apparue pour ce qu'elle est : une politique unificatrice imposée par le Système à un certain nombre d'entités nationales et transnationales. • Elle est donc complètement affirmée depuis 2008-2009, elle a remplacé toutes les politiques maximalistes du bloc BAO (des USA) et se réalise hors de toute logique historique. • Si l'on accepte cette hypothèse, son explication ne peut être que métahistorique. • (Ce “chapeau” présente un sujet qui est à nouveau examiné dans cette rubrique, le 23 janvier 2017, selon une évolution radicale des événements et une évolution à mesure de l’analyse de nos conceptions.)
• L'expression de “déchaînement de la Matière” désigne un concept historique fondamental pour notre conception historique et métahistorique (conceptions historique devenant métahistorique). • Réunissant trois événements (la “Révolution américaniste”, la Révolution française, la “révolution du choix de la thermodynamique”) entre 1776 et 1825, elle rompt, selon nous, notre civilisation et crée la “contre-civilisation”.
• “Virtualisme” est l’un des plus anciens concepts à avoir été utilisé par dedefensa.org, puisque même antérieur dans notre emploi à la création du site. • Pour nous, ce concept a défini une partie essentielle de notre Histoire récente, de 1997-1999 à 2004-2008. • Depuis 2008, ce concept s’effondre sous les attaques de la réalité, piètrement défendu par son dernier avatar (narrative).
• dedefensa.org présente une nouvelle rubrique, le glossaire de dedefensa.org. • Glossaire.dde aura effectivement une fonction de glossaire, pour les nombreux mots et expressions utilisés comme autant de concepts qui nous sont propres, et ainsi explicités. • Cette nouvelle rubrique n'a pas simplement une forme d'explication statique, elle a aussi une forme de sens dynamique. • L'explication elle-même a nécessairement une dimension d'initiation.