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244102 novembre 2011 – Nous sommes en train d’entrer dans une nouvelle période de la crise terminale d’effondrement du Système, autant dans les évènements comme il est loisible de le constater (suites et effets du “printemps arabe”, Grèce et Europe, OWS et situation aux USA, etc.), que, – surtout, et c'est bien l’essentiel de notre propos, – au niveau de la psychologie. Nous disposons d’indications assez précises pour tirer des enseignements généraux sur les effets dans les jugements de cette évolution psychologiques, ces enseignements disant que les échelons les plus élevés des systèmes généraux des directions politiques, notamment de sécurité nationale, dans divers pays du bloc BAO, réalisent l’entrée dans un domaine nouveau de crise, un domaine terrible et épouvantable, un domaine sans prévision possible. Il s’agit de la réalisation de la crise fondamentale d’effondrement du Système.
(Faut-il mettre dans ces constats nos directions politiques elles-mêmes, au plus haut niveau des dirigeants élus ? Comme nous le verrons, nous en doutons, pour nombre d’entre elles ; on connaît leurs psychologies exacerbées qui les poussent à des comportements grotesques et honteux, qui pourraient justifier le doute que nous exprimons à cet égard, ou simplement le désintérêt et l’incompréhension d’enjeux d’une telle hauteur et d’une telle puissance… Néanmoins, on peut envisager que se mélangent dans ces petits hommes qui sont ce qu’il nous reste de nos élites politiques, chez certains d’entre eux dans tous les cas, le pire et “le moins pire” où se glisse parfois une faible lumière leur faisant distinguer quelques éléments de la vérité du monde. D’autre part, on pourrait penser qu'il existe, pour eux, la capacité d’entendre, éventuellement d’accepter, voire même de comprendre une telle réalité nouvelle, à partir de ce qu’ils connaissent du jugement de certains de leurs conseillers ; mais rien n’est assuré à cet égard, et ce que considère sans aucun doute un Henri Guaino comme étant l’échappée dans une crise fondamentale et générale, ne figure pas nécessairement, et même sans aucun doute pas, dans l’esprit d’un Sarkozy, même instruit des mêmes analyses et des mêmes informations, sinon dans un coin assez retiré [on parle du cerveau de Sarko] où l’accès n’est pas facile, ni par conséquent assuré.)
Cette période nouvelle, nous la définissons pour ce qui est de la posture de plus en plus envisagée, par le terme de marine, que nous jugeons expressément réservé à la marine à voile, de se mettre “à la cape”. La définition de Wikipédia de ce terme ne nous satisfait pas par rapport à ce que nous en avons connu in illo tempore… Pour nous, se mettre “à la cape” n’est pas une disposition du gréement intermédiaire avant la tempête mais une disposition du gréement d’affrontement des gros temps autant que de la tempête elle-même. Wikipédia nous dit qu’il existe, par contraste avec la “cape courante” (notre cas) une “cape sèche” (sans aucune voile) et une allure de “fuite” qui consiste simplement à laisser aller le bateau au gré des éléments déchaînés, simplement avec la barre bloquée dans sa position initiale. Nous préférons, notre approche antique du concept (datant des années 1950 !) parce qu’il traduit mieux la situation politique générale, notamment dans les pays du bloc BAO… Ils sont en train de se mettre “à la cape”, pour tenter de continuer à tenir dans le très gros temps, et pour tenter d’affronter la tempête qui suit sinon se superpose d’ores et déjà au gros temps.
Un phénomène important s’est produit durant ces derniers mois, plus généralement depuis le début de l’année 2011. Nombre de segments importants des directions politiques des pays du bloc BAO, au niveau de certains hauts fonctionnaires, des experts et des conseillers spéciaux, ont commencé à réaliser la gravité de la situation, notamment son caractère d’incontrôlabilité dans ce cas qui commence à être réalisé comme celui d’une crise centrale, la crise d’effondrement du Système. (Cette perspective était, selon notre perception intuitive, déjà appréciée d’une façon parcellaire mais parfois très affirmée depuis deux ans dans d’autres pays, – éventuellement la Russie et la Chine, – mais sans beaucoup d’effets et d’influences à cause du barrage que le système de la communication oppose à l’influence de ces pays.) Nous parlons d’un phénomène qui a tendance à se généraliser, disons qui est en cours de généralisation. Il n’atteint pas (voir plus haut) les plus hauts dirigeants politiques, parce que ceux-ci sont, eux-mêmes, sous l’empire du système de la communication et de leurs agendas électoraux, – bref qu’ils n’ont plus rien d’essentiellement politique dans leurs démarches et dans leurs comportements, encore moins certes dans leurs jugements. (Ce ne sont pas des pions ni des marionnettes, ce sont des créatures de communication, avec l’énergie de la représentation et la pauvreté de l’esprit qui vont avec.)
Quels sont les événements, les tendances, les déplacements de force et de tension, les poussées d’influence qui ont déterminer et déterminent ces changements littéralement tectoniques de conception ?
• Le “printemps arabe” reste le détonateur favori, autant dans sa soudaineté, dans son caractère incontrôlablement explosif malgré tous les dispositifs de contrôle, d’influence et d’ingérence du bloc BAO existants, sa rapidité et son “inconséquence déstructurée” enfin qui interdisent toute prospective ; et puis, paradoxalement, sa durée, son enracinement, sa paradoxale (encore ce mot) “structuration dans la déstructuration” (un peu comme Edgar Faure annonçant en 1956 l’“indépendance dans l’interdépendance” de la Tunisie…), avec des effets directs et surtout indirects extraordinaires.
• L’installation également structurelle de la crise financière-et-économique, qui fait penser que cet état de crise devient la normalité du domaine. Là aussi, on retrouve l’enracinement de quelque chose qui devrait être par définition impossible à enraciner, le même phénomène de “structuration dans la déstructuration”. De plus en plus, il s’agit d’une crise en tourbillon, tournant sur elle-même sans voie de sortie, destinée à ne pas s’arrêter, où l’on perd de vue les causes, comme dans une crise normale (linéaire), pour commencer à penser simplement que cette chose ne peut plus être redressée selon les outils disponibles.
• Les conséquences de ces deux événements, avec les excès qui les ont accompagnés et qui les accompagnent, se résument dans l’effondrement du concept de légitimité, ou de ce qui en faisait fonction. (L’effondrement d’un tel principe qui, en tant que tel, ne peut pas s’effondrer, fait réaliser que ce que nous tenions pour “la légitimité” était déjà devenu, rongée comme par des termites par les excès sans nombre de subversion et d’inversion du Système, en vérité un simulacre de légitimité.) Le résultat est l’effondrement à mesure de l’autorité de l’Etat, là aussi suivant la logique selon laquelle l’Etat postmoderniste est (était) devenu un simulacre d’Etat, et l’autorité de même ; l’un des résultats (suite) les plus spectaculaire est une révolte populaire générale, – des “indignés” au “printemps arabe”, à Occupy Wall Street, – qui est en réalité une “non-révolte” (on ne se révolte pas contre un simulacre d’autorité et d’Etat), qui est une posture nouvelle d’ignorance et de mépris de l’autorité-simulacre ; ce phénomène, lui aussi, s’enracine toujours selon le même schéma (“structuration dans la déstructuration”), en s’installant en position de défi sarcastique, de revendication méprisante et à peine détaillée, comme une sorte de contre-pouvoir d’un pouvoir qui n’existe plus, appuyé sur un désordre contrôlé qui refuse le pouvoir et choisit la voie de la pression par la communication.
• L’effondrement de la puissance US commence à être pleinement réalisée, y compris par certains segments de la direction américaniste (lire ce qu’en dit William Pfaff, le 28 octobre 2011). Cet effondrement est économique, financier, monétaire, militaire, et se concrétise par une paralysie de la volonté, et une paralysie du pouvoir. Occupy Wall Street vient là-dessus comme la cerise terrible sur le gâteau, nous signifier que ce qui était religieusement perçue depuis trois-quarts de siècle comme le système le plus stable du monde, menace de basculer dans un désordre-Système inimaginable. Ce désordre n’est pas nécessairement celui de la violence physique (armée, etc.), mais celui de la violence du désarroi psychologique, du désordre de la psychologie, des inversions de la perception, des paralysies suscitées par les manoeuvres autour des lois limitatives et protectrices innombrables de ce pays, etc.
• On ajoutera la permanence désormais acquise, comme en toile de fond eschatologique, de toutes les grandes crises du domaine, de l’environnement à l’énergie, aux matières premières, etc., qui donnent la sensation de l’impossibilité de trouver une issue à cet enfermement infernal. Tout se passe, de ce point de vue, comme si les psychologies (celles des dirigeants évoqués) commençaient à réaliser que la crise est générale, que c’est une crise du Système et que c’est une crise d’effondrement du Système, qu’elle se développe en une sorte de tourbillon en pleine accélération enfermé comme dans une muraille close dans un réseau de crises eschatologiques qui interdisent d’aller chercher des échappées sérieuses hors du domaine pourri délimité par le Système lui-même, donc dans l'impossibilité de trouver des échappées sérieuses.
Il est remarquable de constater, selon des sources diverses que nous avons consultées, que certaines des opinions les plus “catastrophistes” viennent d’un pays comme Israël (hors sa direction politique, classée comme les autres hors compétition). Ce pays a été absolument bouleversé par les évènements du “printemps arabe”. (On en a un exemple, depuis un certain temps, dans les commentaires d’un site comme DEBKAFiles, dont nous avons parlé également du point de vue de l’orientation de son commentaire et de ses appréciations des grandes questions stratégiques, notamment, du point de vue de l’orientation de sa communication qui rend compte effectivement du phénomène dont nous parlons ici. On peut mesurer cette évolution, notamment le 5 septembre 2011.) Si l’on fait si grand cas de cette évolution israélienne, encore une fois aux échelons supérieurs de son appareil de sécurité nationale (sa direction politique étant également dans la situation particulière de personnes prisonnières de forces et d’influences diverses qui les rendent bien peu aptes à comprendre la situation réelle), c’est parce qu’Israël, comme on connaît ce pays, est le plus dur, le plus déterminé dans une politique offensive et agressive de force et de puissance, sans retenue ni frein de quelque ordre conceptuel que ce soit (moral, diplomatique, légalité internationale, etc.). Qu’on trouve dans les milieux cités, dans ce pays, l’état d’esprit qu’on décrit ici, rend compte de la puissance et de l’universalité de cet état d’esprit… En un sens, on pourrait avancer que “si Israël est touché, en vérité tous sont touchés”.
Ces analyses générales que nous citons rencontrent principalement l’apparition et le développement de plusieurs phénomène que nous signalions dans notre commentaire du texte de William Pfaff, le 28 octobre 2011, notamment dans le paragraphe suivant…
«Les USA, comme tous les pays du bloc BAO, et d’une façon plus générale, à l’image de la situation du monde en général, voient leurs préoccupations intérieures prendre le pas, d’une façon de plus en plus impérative, sur tout le reste. Désormais, la crise générale du Système écrase tout le reste et impose ses priorités, et la priorité des priorités pour chacun se résume à la situation de désordre chez soi, à la délégitimation des pouvoirs dans chaque entité, à la colère populaire, à l’effondrement des structures de pouvoir, à l’effondrement des moyens financiers et budgétaires et à la catastrophe économique. La “politique extérieure” reflète cette évolution en étant réduite elle-même à une déroute pure et simple. On en arrive à un point où l’on ne saurait même plus s’en tenir à la caractérisation de telle ou telle politique, essentiellement américaniste-occidentaliste certes, d’être “en déroute”, mais bien à l’application de ce jugement de la déroute générale au fait même de la politique extérieure : tout se passe comme si la politique extérieure, d’une façon générale, exprimait en soi la déroute générale du Système lui-même.»
Ce sont ces idées qui sont développées désormais dans ces sphères des directions politiques que nous avons identifiées plus haut, qui se caractérisent essentiellement par une contraction accélérée de la politique extérieure et une attention en augmentation très rapide portée aux questions de la situation intérieure. D’autre part, ces questions de politique intérieure, on peut même parler de “crises” constantes, sont exacerbées, suscitées, aggravées, etc., par un effondrement de la légitimité et de l’autorité des Etats, des gouvernements et des pouvoirs publics. Sans doute s’agit-il même du point central, du point de référence absolu, du point de rencontre si l’on veut de toutes les tensions et angoisses ressenties dans ces jugements, cette quasi-disparition de l’autorité des structures étatiques et de direction gouvernementale. (A côté se situe, bien entendu, une raréfaction dramatique des moyens de ces Etats, notamment pour les forces militaires et de sécurité garantissant leur légitimité ou pseudo légitimité, ou simulacre de légitimité, et assurant leur autorité ; on trouve également, dans le même registre, le constat de la perte de contrôle de certaines forces dans les conditions “spéciales” de tant de conflits, et la montée en puissance de forces irrégulières, indépendantes de toute légitimité constituée, conquérant pourtant leur autorité de facto. D’autre part, et sur ce même sujet, on peut se demander comment envisager de lutter contre cette pénurie alors que, justement, s’effondrent légitimité et autorité. Tout se tient, bien entendu, dans cette chaîne vertigineuse d’effondrement.)
Un corolaire à ces points structurels qu’on signale renvoie à l'une des causes signalées plus haut de l’évolution des jugements, mais une cause qui est aussi perçue comme un événement déstabilisant profond qui participe à l’installation de cette situation de dissolution de l’affirmation politique, de désordre incontrôlable. L’effondrement de la puissance américaniste, outre d’être un des événements “en soi” signalés plus haut, est aussi un fait également fondamental de la nouvelle situation telle que la perçoivent ces échelons supérieurs des bureaucraties et systèmes de direction politique. Elle s’effectue au niveau des structures, des capacités de mouvement et d’adaptation, même si le Pentagone s’appuie sur un réseau innombrable de bases qui témoignent désormais plus de sa paralysie que de sa puissance. (Ceux qui continuent à envisager des scénarios apocalyptiques à partir de ces données quantitatives de la soi-disant puissance US feraient bien de tenir compte de tels facteurs qualitatifs d’effondrement.) Dans ce cas, l’effondrement de la puissance US est perçu comme l’effondrement d’un des facteurs structurants des anciennes activités politiques et géopolitiques du bloc BAO. Cet effondrement est perçu, comme le reste, comme très rapide, selon une logique d’enchaînement irrésistible.
La conséquence de tout cela est, là aussi, l’évolution vers l’adoption d’une allure “à la cape”. Nous allons évoluer vers une situation où la pusillanimité de plus en plus paranoïaque et terrorisée sera de rigueur, le repli là où il peut être effectué sera envisagé avec la position défensive impliquée, l’abstention là où elle peut être observée, tout cela pour permettre de mieux se concentrer sur les crises intérieures et pour ne pas mettre la situation de légitimité et d’autorité perdues des Etats à l’épreuve des faits. La politique extérieure devrait perdre de plus en plus sa planification structurée, sans parler de la réalisation d’une telle planification qui n’est dès aujourd’hui plus réalisée. Les scénarios de “grande guerre” (contre la Chine éventuellement, qui est la nouvelle “grande menace” favorite) peuvent séduire les esprits aventureux mais ils se heurtent aux réalités des capacités militaires pulvérisés par les récents conflits et les restrictions budgétaires des trois puissances militaires du bloc BAO (France, et surtout USA et UK) ; cette situation est aggravée par des paralysies technologiques et des désordres d'organisation dans la production des armements. D'une façon générale, il s’agit de l’entrée dans la phase active de la crise générale d’effondrement, ou de la phase ultime de la crise d’effondrement, où la crise, avec tous ses effets et ses contraintes sans nombre, devient le moteur et l’inspirateur de toutes les “politiques”, – “politiques” qui, par définition, se réduiront à des réactions ponctuelles selon les possibilités.
Les autorités citées ne formulent pas la situation de cette façon, car elles n’ont pas une perception aussi absolue, certainement pas cette perception eschatologique, mais elles en mesurent les effets comme s’il s’agissait bien de cette sorte de situation générale. Les situations qui s’ensuivront, particulièrement au niveau intérieur, ne seront pas des situations de durcissement, policier, militaire, policier, etc., parce que les moyens, et surtout la volonté appuyée sur la légitimité, font cruellement défaut ; mais, de plus en plus, des situations de compromis, d’arrangements, de dissolution. L’exemple des réactions face au mouvement OWS fait déjà figure de “modèle”. Ce mouvement représente une menace sérieuse aux USA, justement parce qu’on l’a laissé se développer sans rien tenter contre lui d’une façon coordonnée (par exemple, avec un rôle très réduit des agences fédérales type FBI et CIA, – pour cette dernière, malgré l’apparence légale de limitation de son rôle hors des USA, – notamment par rapport à ce que furent le rôle de ces agences face aux troubles des années 1960). (Il faut noter que l’accaparement des agences fédérales contre les représentations exacerbées des mouvements terroristes joue son rôle dans cette absence de réactions, la souplesse de redéploiement n’étant pas leur point fort.) Les réactions sporadiques, inefficaces, alternant des répressions et des violences inutiles et sans effet et des mouvements de compromis, de reculs, d’arrangements, etc., ouvrent un champ très vaste à l’exploitation de communication de la situation par ces mouvements, jusqu’à représenter une véritable menace contre la stabilité générale du Système.
A notre sens, l’un des mystères des indications qui nous ont été données est de savoir quelles réflexions fondamentales ces dirigeants, ou ces échelons élevés des ensembles de sécurité nationale tirent-ils de ces constats qu’ils font de l’aggravation générale, voire eschatologique des conditions de la crise générale ? Tirent-ils des jugements fondamentaux sur le Système et sa responsabilité ? Jugent-ils que le Système est réellement perdue même s’ils sentent qu’il s’agit de la crise fondamentale d’effondrement du Système ? (Les deux idées peuvent cohabiter sans pourtant s’influer décisivement l’une l’autre.) Nous n’avons pas de réponse, et nous vivons sur l’impression qu’ils ne font que dérouler des constats prospectifs généraux, y compris les plus définitifs, sans nécessairement chercher une cause fondamentale, une “cause première”.
Le point intéressant qui nous paraît en suspens dépend d’une remarque que nous faisions en début de texte. Il s’agit de savoir ce que seraient les réactions des directions politiques les plus hautes, si l’information parvenait à les écarter de leurs préoccupations électorales et de communication, si vraiment, à un moment ou l’autre, ils comprenaient et se persuadaient qu’il s’agit bien de cette sorte de crise que nous décrivons. Il n’existe aucun précédent à ce type de situation, qui permette d’avancer une hypothèse acceptable. A l’inverse se pose la question de savoir combien de temps pourrait durer la cohabitation entre une direction politique supérieure dont l’essentiel des membres continueraient à ignorer ces réalités, et leurs échelons immédiatement inférieurs de conseillers et de chefs des organismes à leur disposition, ressentant de plus en plus le poids de cette conviction de se trouver effectivement au cœur de cette crise de l’effondrement.
Tout cela, pour aller vers où, pour déboucher sur quoi ? La marche vers l’inconnu, - à la cape, c'est la seule mesure qu'on puisse prendre...
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