Il n'y a pas de commentaires associés a cet article. Vous pouvez réagir.
322Les changements observés durant les trois derniers jours concernant la position des USA au sein de l’ensemble occidental, comme on l’apprécie dans divers textes que nous mettons en ligne aujourd’hui, se concrétisent par un développement politiquement important et symboliquement significatif. Le Guardian du 13 octobre annonce que les USA abandonnent leur pouvoir de nomination du président de la Banque Mondiale et, par là, le contrôle de cet organisme. Le supplément symbolique autant que politique à cet événement symbolique autant que politique est que la personne qui est au cœur de l’opération aboutissant à la capitulation des USA est le secrétaire au développement du gouvernement du Royaume-Uni, Douglas Alexander. Là aussi, on tracera un parallèle entre l’événement et la position prise par le gouvernement Brown vis-à-vis des USA durant la crise financière. A moins qu'il s'agisse d'une ruse.
«
»Washington has had the right to hand-pick the president of the World Bank since the institution was founded after the second world war, with Europe choosing the managing director of the International Monetary Fund. Alexander said: “The agreement provides the opportunity for candidates to be nominated regardless of nationality. It will ensure that the best-qualified candidate is selected.”
»Developing countries have grown increasingly frustrated at the stranglehold of rich nations on the two Washington-based multilateral bodies, with pressure for change accelerating after the controversial presidency of Paul Wolfowitz, who was forced to step down after a scandal involving his partner's promotion. Alexander said that more changes were needed: “It is a significant step forward, albeit on a much longer journey.”»
Mis en ligne le 14 octobre 2008 à 14H31