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Dans notre message du 28 octobre 2013, nous parlions de quatre jours («Quatre jours pour la fin du mois...») ; cette fois nous parlons de deux jours, parce que nous sommes précis et que nous sommes poussés par l’urgence... Ce sera le premier changement dans ce message que nous remettons en ligne à la date de ce jour ; pour les arguments, puisqu’il y a reproduction du même (message) il s’agit des mêmes (arguments). Ils ne sont pas foudroyants, ces arguments, parce qu’en fait nous ne croyons pas qu’il y ait des arguments foudroyants. Nous ne tenons pas à “bien vendre”
Voici donc le texte répété du 28 octobre, remis au goût du jour, c’est-à-dire des deux derniers jours, par une correction ou l’autre soulignée par la mise [entre crochets].
« [Deux] jours pour la fin du mois, et notre [dernier] message à ce moment du mois... [...] Voyez la barre de comptage, en tête de notre page d’accueil. [...] Vous noterez [...] qu’elle n’est pas [assez] avancée, cette barre, vers le domaine de notre sauvegarde mensuelle qui commence avec le seuil-plancher des €2 000.
» Vous vous rappelez que, le même 24 octobre 2013, nous vous annoncions ou vous rappelions quelques nouvelles qui nous paraissent importantes pour l’avenir entreprenant et conquérant de la presse antiSystème. («Voyez le triomphe qui marche sans hésiter de ce que nous nommons désormais la presse-antiSystème, qui vient prendre sa place au moins au même niveau que la presse-Système, et sans doute la dépassant déjà. Dites-vous bien que sans elle [...] l’aventure Snowden-Greenwald, qui part de la confiance née chez le premier (Snowden) pour le second (Greenwald), n’aurait pas eu lieu comme elle est en train de se dérouler sous vos yeux, dévorant littéralement le Système.»)
» Cette sorte de constat nous pousse à penser que vous ne pouvez pas laisser tarir, d’ailleurs pour nombre d’entre vous sans y penser vraiment croyons-nous, votre soutien à cette entreprise, c’est-à-dire au site dedefensa.org pour ce qui est de ce message. Nous faisons partie de cette presse antiSystème qui a besoin de votre soutien et de votre aide. Certains d’entre vous se sont déjà manifestés et nous leur devons notre chaleureuse reconnaissance en même temps qu’un sentiment de solidarité qui conforte la résolution. Ceux qui ne l’ont pas encore fait doivent y songer dans la mesure de leurs moyens, et agir en conséquence. Nous persistons à ne pas douter une seule seconde qu’ils seront au rendez-vous. »
(Re)mis en ligne le 30 octobre 2013 à 05H45