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674531 août 2023 (14H20) – Nous venons d’être informés, il y a deux jours, de la mort de François Roddier, l’astronome, mais aussi observateur et commentateur des terribles évènements que nous traversons. Tristesse oblige, et temps implacable qui poursuit sa course... Roddier avait sa place parmi nous. Nous avons dans notre longue histoire cité Roddier, sinon repris l’un ou l’autre de ses textes, à différentes reprises depuis le 11 octobre 2012 (voir aussi le 27 août 2015, et d’autres auxquels vous mèneront notre moteur de recherche, malgré son caractère vieillot sinon antique).
Voici dans quels termes sa femme Claude Roddier annonce cette triste nouvelle :
« Il nous a quittés en ce mois d’août. Je vous remercie de l’intérêt que vous avez porté à ses travaux, et à travers lequel, en le (re)lisant, vous continuez à le faire vivre. S’il a marqué par sa recherche en astronomie et son lien avec ses étudiants, ses années de retraite ont été enrichies par les lectures et réflexions inscrites sur ce site au fur et à mesure qu’il les élaborait.
» Je dépose ci-dessous quelques liens aux présentations disponibles dans lesquelles il a résumé sa pensée post-retraite. [On trouve ces liens de référence à la suite de l’ensemble des textes de cette page (*).] D’autres liens, pdf, et autres documents sont présents dans les billets mêmes. »
Dans notre perception, François Roddier, – de cette catégorie de scientifiques qui ouvrent la science à la réflexion intellectuelle, politique et métaphysique selon leurs propres activités dans tels domaines, – était intimement lié au concept général d’eschatologie, si présent sur ce site dans sa signification la plus large, hors de toute emprise religieuse ou ésotérique. (Notre moteur de recherche, toujours dans les mêmes dispositions, renvoie à 76 textes catégorisés par ce concept, ce qui permet, j’en jurerais, de multiplier par trois ou quatre fois la présence de cette catégorie conceptuelle dans notre travail. La GrandeCrise elle-même, ou GCES, est selon nous, un concept eschatologique.)
Le 14 mai 2008, nous nous référions à cette définition offerte par une plume et un esprit depuis dénoncés comme insupportables par leur position “hors des clous” sinon “en-dehors des vis” mises pour renforcer la voie publique :
« [...N]ous voulons dire, si nous nous référons à cette définition pratique et concrète, et excellente en tous points, que donne Roger Garaudy de l’eschatologie (à côté de la définition théorique : ‘Étude des fin dernières de l’homme et du monde’) :
» “L’eschatologie ne consiste pas à dire : voilà où l’on va aboutir, mais à dire : demain peut être différent, c’est-à-dire: tout ne peut pas être réduit à ce qui existe aujourd’hui”. »
Pour nous, pour moi, “eschatologie” est donc aussitôt devenu un mot embrassant l’événement destinée (dans le ‘Glossaire.dde’) à être désigné comme la GrandeCrise. Du fait de l’énormité monstrueuse de notre civilisation-invertie, de sa monstrueuse obscénité qui demande réparation, son eschatologie (“qui ne peut être réduit à ce qui existe aujourd’hui”) ne peut être qu’un effondrement aux dimensions cosmiques puisque tant de choses qui la composent doivent être dispersées et vouées aux effroyables gémonies que descendent tous les criminels. Quant à la forme, les moyens, les caractères physiques de l’événement, c’est une autre affaire, et c’est pourquoi j’ai cru devoir continuellement me garder d’un prévisionnisme évènementiel, notamment par le moyen de l’inconnaissance.
Roddier, et quelques autres, avait largement développé cette approche catastrophique-nécessaire dans son travail théorique. Il s’était ainsi retrouvé, avec certains de ces “quelques autres” venus d’autres horizons et sans consultations d’aucune sorte, à estimer que l’évolution thermodynamique de la civilisation aux abois conduirait à une période effectivement catastrophique dont il fixa l’émergence à l’année 2023. On conviendra, je crois, que ce jugement, qui me parut si intéressant lorsqu’il fut développé, l’est encore plus aujourd’hui, où nous sommes en 2023. On concédera et on me laissera penser qu’il n’y a aucun mal à estimer que la chose est bien vue, et cela mérite une reprise de cet article du 19 juin 2019, sous le titre « L’année 2023 ? ». On le trouve ci-dessous.
En attendant, je reprends un extrait, présent dans l’article, d’un jugement prédictif de Roddier concernant l’année 2023. On comprend, au regard des tendances qui sont constamment suivies sur ce site en commentaire des événement, qu’il me semble magnifiquement confirmer le caractère exceptionnel de cette année 2023, ce même mois où les BRICS, d’inspiration russe avec toutes les réactions antimodernes de ce pays, ont pris l’orientation nouvelle qu’on leur voit ...
« Il est tentant d’extrapoler cette évolution aux prochaines années. La figure jointe à ce billet laisse présager un déclin de l’influence des sociétés inégalitaires comme les États-Unis en faveur de sociétés plus égalitaires comme celle de la Russie. La transition aurait lieu en 2023. »
Puisqu’il est question de ce qui est russe et bien russe, il n’est pas question justement de laisser échapper un autre signe de ces formidables agitations telluriques et cosmiques qui secouent notre monde. Il s’agit de la publication du livre qu’on pourrait désigner comme son “testament philosophique”, de la malheureuse et magnifique Darya Platonova Douguina, fille d’Alexander Douguine, assassinée il y a un an dans un attentat à la voiture piégée dont on ne dira jamais assez l’absurde et cruelle bêtise du nihilisme criminel qui a fait naître ce projet. Le livre de Douguina, publié le 10 août 2023, se nomme, – justement, oserais-je dire, – « Opimisme eschatologique ».
On donne ici un extrait de l’hommage rendu à Douguina, lors d’une conférence ‘En Mémoire’, la semaine dernière en Autriche, par Alexander Markovics. Il s’agit d’une appréciation du concept de l’“optimisme eschatologique” qui rencontre absolument mon sentiment à cet égard, qui est de ressentir l’appel à l’eschatologie comme une démarche de sauvegarde et de renaissance... On peut lire cela sans crainte d’être embrigadé dans une croyance qu’on jugerait dépassée, ou dans une foi dont on aurait un peu honte, etc. ; bref, lire cela sans crainte, en homme libre et en esprit libre, pour bien mesurer la lumière que cette conception dispense, nous qui sommes dans le trou du cul de l’histoire mise en poubelle par les convoyeurs de la bêtise du monde...
« Cette notion d'optimisme eschatologique est très importante pour nous, Européens, car elle décrit en quelque sorte notre existence actuelle. Une existence qui s'exprime par le fait que nous persévérons au plus profond de l'enfer. Nous voyons chaque jour notre identité détruite, nos traditions ridiculisées, Dieu et Jésus tournés en dérision, les dimensions du masculin et du féminin brouillées, déformées et détruites, tout cela au service d'une révolution schizophrénique qui s'est emparée de toute notre société et qui touche tous les domaines de la vie. Vladimir Poutine a sans doute eu raison de dire à ce propos que l'Occident est un royaume du mensonge parce qu'il est celui qui a le plus piétiné la vérité, c'est-à-dire Dieu, et qui s'en est le plus éloigné. Donc, si nous considérons que l'enfer est le lieu qui s'est le plus éloigné de Dieu, il ne fait aucun doute que nous nous trouvons dans celui-ci.
» Mais comment faire face à cela ? Comment faire face au fait de devoir séjourner chaque jour dans cet enfer et surtout de devoir le combattre ? C'est à cela que sert la thèse de Darya sur l'optimisme eschatologique, qui nous motive justement à continuer à nous battre, à aller de l'avant, à continuer à croire en Dieu, en la sainte tradition et en sa grâce, malgré les difficultés. Cette notion est surtout importante parce qu'elle nous fait comprendre que nous sommes dans une guerre spirituelle, une guerre de la lumière contre les ténèbres, des armées de Dieu contre celles du diable, de la Grande Prostituée, de l'Antéchrist. Dans cette bataille, il ne peut y avoir de neutralité. Car celui qui choisit de ne pas prendre parti dans cette lutte entre le bien et le mal se voit réserver, selon l'expression de Dante Aligheri, le coin le plus reculé de l'enfer. »
En attendant, voyons un peu voir ce qui se disait en juin 2019, dans ce même ‘Journal-dde.crisis’, avant le Covid et l’Ukraine, à propos de notre glorieuse années 2023.
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19 juin 2019 – On se rappelle que nous citions François Roddier le 11 mai 2019, dans une certaine concordance avec Orlov. Notre intérêt concernait l’identification des signes et des perspectives visibles de l’effondrement du Système. L’intérêt de la chose était qu’une date apparaissait : 2023 pour Roddier, 2022 pour Orlov, c’est-à-dire quasiment identique. Nous citions des cas spécifiques (France et USA), mais il va de soi que la dynamique décrite, – globalisation oblige, – concerne tout le monde...
« Il faut noter que les avis convergent également dans le détail des localisations culturelles politico-géographiques. Roddier parle implicitement du cas français comme exemple en évoquant les élections présidentielles et Orlov parle très précisément de la situation américaniste (avec la possibilité, déjà évoquée, qu’un coup de force de type-téléréalité de Trump reportant l’élection de deux ans dans la même époque, autour de 2022). Dans ces deux exemples, les situations évoquées conduisent à des hypothèses, dans tous les cas dans notre chef, de “guerre civile culturelle” tant les fractures de cet ordre culturel, notamment dans les deux exemples évoqués, sont grandes, beaucoup plus grandes même que les fractures économiques (inégalités de revenus). Pour nous, effectivement, les affrontements culturels, même s’ils sont moins quantifiables et moins “porteurs” d’apparence que les fractures économiques, sont beaucoup plus explosifs alors qu’ils ont acquis une vélocité extraordinaire.
» C’est aussi cette vélocité nouvelle qui nous arrête, qui est entièrement due au système de la communication. C’est le point principal où nous voulons en venir. La puissance du système de la communication est telle qu’il ne véhicule plus l’évolution culturelle, il l’impose et même il la crée au-delà même des points que voudraient atteindre de ceux qui veulent cette évolution, introduisant chez eux des déséquilibres psychologiques graves de type schizophrénique et paranoïaque. Autre élément d’une importance absolument considérable, cette puissance et cette vélocité du système de la communication renforcent avec une même force ceux qui s’opposent, le plus souvent en tant qu’antiSystème, à cette poussée incontrôlable. »
Avant ce texte, Roddier avait cité 2023 à plusieurs reprises, simplement selon la logique d’une théorie cyclique dont il explore les effets ; par exemple le 15 janvier 2019 (billet 117, « Évolution d’une société au cours d’un cycle séculaire ») :
« Il est tentant d’extrapoler cette évolution aux prochaines années. La figure jointe à ce billet laisse présager un déclin de l’influence des sociétés inégalitaires comme les États-Unis en faveur de sociétés plus égalitaires comme celle de la Russie. La transition aurait lieu en 2023. »
Ou bien encore, le 12 février 2019 (billet 136, « Peut-on prédire l’avenir ? » :
« Comme pour les trois premières phases, on s’attend à ce que la phase de crise dure 30 ans. Elle irait donc de 2008 à 2038. Vers le milieu de cette phase, on peut s’attendre à un effondrement économique important. L’italien Ugo Bardi le qualifie de falaise de Sénèque. Centré sur l’année 2023, cet effondrement pourrait avoir lieu vers la fin du mandat présidentiel français actuel. Il nous faudra toutefois attendre l’année 2038 pour voir arriver la fin des crises. »
Récemment, et sans aucune démarche de recherche ni même ayant à l’esprit ces dates précisées ici, c’est-à-dire sans esprit de nuire si l’on me comprend, je tombai littéralement, comme lorsqu’on flâne sur internet, sur un site dont je ne goûtai guère le graphisme type-New Age mais sur lequel je m’attardai tout de même. Il s’agit du site de la Spiritual Science Research Foundation, avec un article intitulé : « Le combat entre le Bien et le Mal ». Je parcourus la chose d’un œil distrait, jusqu’à ce que mon attention fût attirée par un chiffre... Je donne ici trois extraits, un peu en vrac, où apparaît ce chiffre :
« La bataille subtile entre le bien et le mal est régulièrement menée depuis les premiers temps. Elle est à nouveau combattue dans le monde subtil pendant les années 1999 à 2023. Une bataille sur Terre s’ensuivra entre 2015 à 2023. Par la suite, le monde connaîtra une période de fluctuations pour se récupérer de la bataille sur Terre et se préparera à une nouvelle ère. Cette nouvelle ère sera connue comme le Royaume Divin et avec elle, l’humanité connaîtra mille ans de paix et de droiture (Dharma). Les temps dans lesquels nous vivons sont très importants car les ramifications de cette bataille seront ressenties dans tout l’univers. Cependant, les temps actuels sont aussi très propices pour la pratique spirituelle pour atteindre la réalisation de Dieu (l’état spirituel le plus élevé). [...]
» L’état dans lequel le monde est aujourd’hui ne peut être corrigé que si le mal dans le monde subtil est surmonté. C’est la raison pour laquelle les Divinités et les Saints et les aspirants spirituel à un certain niveau ont été engagés dans une bataille subtile, combattant les sorciers subtils supérieurs des régions les plus profondes de l’Enfer (Patal), avec leur force spirituelle dans les années 1999 à 2023. [...]
» La période comprise entre les années 1999 – 2023 ci-dessus représente une période crépusculaire entre deux époques que nous passons d’un âge sombre (mini-Kaliyug) à un spirituellement meilleur (mini-Satyayug) dans l’ère principale de Kaliyug. Pendant cette période de crépuscule durant 25 ans, toute pratique spirituelle entreprise par l’un selon les principes de base de la spiritualité bénéficiera immensément. C’est parce que Dieu graciera les aspirants spirituels avec un progrès spirituel, faite dans des moments difficiles. »
Evidemment, cette année 2023, rencontrant d’autres sources qui n’ont vraiment aucune connexion ni proximité avec cette fondation hindoue éveilla bien entendu mon intérêt. Je fis quelques recherches très rapides sur ce groupe connu en Inde sous la dénomination de Sanatan Sanstha, qui a une réelle importance. Wikipédia lui consacre une rubrique importante, le présentant comme un groupe extrémiste
... « [U]n groupe extrémiste hindou […] fondé en 1999 par l“hypnothérapeute” Jayant Balaji Athavale… […dont] le principal objectif est de présenter la spiritualité dans un langage scientifique pour les curieux autant que pour ceux qui cherchent une voie… ».
Le groupe a été impliqué dans des attentats, dans diverses occurrences incertaines et doit être en général l’objet de soupçons, sinon d’accusations formelles d’être d’une extrême-droite détestable. (On arriverait bien à y fourrer Tulsi Gabbard dedans.) Les articles mentionnés, eux, n’ont rien de politique, et développent des approches spirituelles diverses, notamment sur des événements s’apparentant à l’Armageddon de la culture occidentale.
Mais, je l’avoue, tout cela m’importe assez peu sinon absolument en rien. Je me sens totalement étranger à ce domaine polémique qui concerne les affaires terrestres, et essentiellement les affaires terrestres d’un autre temps, puisque traitées selon la dialectique des années 1930 ; cela, dès lors que nous entrons dans la soupe politico-sociétale peuplée de soupçons, de dénonciations, de batailles idéologiques des plus habituelles à cette époque pleine de confusion crisique, de simulacres, de narrative et de mises à l’index. J’espère que l’on m’épargnera les observations, révélations, supputations, sur les rôles divers des uns et des autres dans le désordre infâme et la basse folie qui marquent le chaos politique où nous évoluons aujourd’hui.
La seule chose qui m’importe et qui importe objectivement est cette année 2022-2023, autant identifiées dans un “groupe extrémiste hindoue” que dans les thèses que présentent Roddier et Orlov, des gens sans la moindre connexion ni rapport entre eux, qui, me semble-t-il, ne doivent pas se lire très souvent (dans tous les cas, le groupe hindou par rapport aux deux autres sources). A côté de cela, pour mon compte et pour ce que j’en juge, les occurrences terrestres de la chose n’ont aucune importance, simple écume des jours...
Si je ne suis pas un fanatique partisan de l’intérêt pour les choses de l’ésotérisme ou qui sembleraient s’en rapprocher, ou être interprétées comme telles, pour les interprétations du Mystère du monde, les prévisions insolites et qui se voudraient, et pourraient être éclairées, je n’y suis pas pour autant complètement indifférent dans certains cas ni de la sorte du sceptique destructeur avec ricanement. Bref, je laisse venir et je vois, – éventuellement plus, s’il y a à voir... Il faut ajouter bien entendu, et c’est un argument d’une puissance absolument considérable, que l’époque justifie sans discussion cette sorte de comportement, l’intérêt qu’on peut porter inhabituellement à de telles matières, d’autant plus que la raison-pervertie (pervertie par le Système) repousse la chose avec horreur quoiqu’en faisant grand usage elle-même.
(C’est l’accusation de “complotisme”, comme un anathème épouvantable depuis 9/11, de la part d’autorités qui ne cessent de faire des constructions complotistes pour expliquer les comportements les plus évidents d’opposition, voire de colère, de fureurs ô combien justifiées, des citoyens soumis à des oppressions considérables et iniques de la part de ces autorités.)
Par conséquent, je juge peu ordinaire et d’un intérêt certain que des sources qui me semblent être sans aucune connexion, qui me semblent utiliser des méthodes de travail différentes, sinon aux antipodes les unes des autres, qui sont d’une moralité différente, se retrouvent sur un point aussi précis que la mention d’une année fort peu éloignée de nous, où se déclencheraient des événements d’une importance considérable pour rompre la crise, pour transformer d’une façon fondamentale, par des voies et des moyens qui sont inconnues et que nous ne pouvons pas connaître, une époque catastrophique qui approche de la rupture, justement de son potentiel catastrophique. Certes, les références qui sont faites à des événements terrestres (les présidentielles françaises) pourraient sans nul doute inspirer à certains des scénarios extrêmement terrestres et rationnels, mais je ne m’y attarderais certainement pas, ni même ne m’attacherais une seconde. Je parle ici d’une conjonction des perspectives dont l’inspiration, si elle existe, ne vient certainement pas des événements terrestres, mais au contraire les inspire et, surtout, les oriente dans des directions certainement inattendues et imprévues.
Plus généralement dit, je ne m’empêcherais certainement pas de penser autant, sinon de croire en espérant qu’il y ait là une intervention de l’intuition, qu’une telle rencontre des observations prospectives est grosse d’un événement d’une immense importance. C’est ainsi, en orientant sa conviction, qu’on fait peser sa psychologie sur le sens des événements et l’interprétation qu’on en recueille en général.
2023 ? Eh bien, voyons pour 2023...
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Quelques conférences qui existent sur YouTube:
‘La thermodynamique de l'évolution : du Big Bang aux sciences humaines’ (Institut d’Astrophysique de Paris, 5 octobre 2010) 90'
‘La thermodynamique des transitions économiques’ (Shift Project, 12 mars 2015), 77'
‘Thermodynamique et évolution’ (Observatoire Midi-Pyrénées, 19 septembre 2017), 74'
‘Thermodynamique et économie’ (École des Mines Paris Tech, 12 avril 2018), 30'
Ces trois articles disponibles en ligne publiés dans la revue Res-Systemica de l’AFSCET:
“Thermodynamique et économie, Des sciences exactes aux sciences humaines” (2014)
“La thermodynamique des transitions économiques” (2015)
“L'équation de van der Waals appliquée à l’économie” (2017)
Ses chapitres publiés dans ces collections:
Sous la direction de Pablo Servigne et Raphaël Stevens, “Aux origines de la catastrophe: Pourquoi en sommes-nous arrivés là ?”(Les liens qui libèrent, 2020)
Sous la directions d'Agnès Sinaï et Mathilde Szuba, “Politiques de l’Anthropocène: Penser la décroissance. Économie de l'après-croissance. Gouverner la décroissance” (Les Presses de Sciences-Po, 2021)
Ses livres sur la thermodynamique, disponibles aux éditions Parole:
Le pain, le levain, et les gènes (2007)
Thermodynamique de l’évolution: un essai de thermo-bio-sociologie (2012)
De la thermodynamique à l’économie (2018)
The Thermodynamics of Evolution, trans. Steve Ridgway (2020)
et cet article récent en anglais, co-écrit avec Mireille Roddier qui répondait à la question de Didier Pillet, « Alors que l’accès à l’énergie se restreint, l’économie mondiale est-elle à la veille d’un changement systémique ? »:
“Energy flows and the self-organization of societies as dissipative structures” (Annales des Mines, 2023)
ainsi que ce bel article de Matthieu Auzanneau dans Le Monde, lors de la parution de Thermodynamique de l’évolution:
"François Roddier par-delà l’effet de la Reine Rouge” (Le Monde, 30.10.2013)
(Pour ceux que l’astrophysique intéressent, voir plutôt ici.)
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