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323214 janvier 2022 – Écoutez, chers lecteurs, ce que je crois être un trait de lumière extraordinaire porté sur le comportement de l’immense simulacre dont l’information officielle est la porteuse, – ici, pour le cas du Covid, mais valable pour tout le reste, bien évidemment, car nous parlons ici d’une époque, de l’ère des temps-devenus fous... Voici l’affaire.
Certains s’en étonneront avec ravissement, et fort justement, – et ce fut notre première réaction mais je recommande d’aller au-delà. Il s’agit d’un très grand journal danois qui demande à ses lecteurs de l’excuser pour avoir, pendant deux ans, suivi “hypnotiquement” et validé sans le moindre sens critique les informations officielles sur la pandémie-Covid.
Pour plus de détails, allez voir ‘ZeroHedge.com’ et ‘Summit.News’ de Paul Joseph Watson. J’imagine que d’autres ont repris la chose, y compris le journal danois en question, ‘Ekstra Bladet’, mais j’en reste là pour les sources. C’est suffisamment ‘chécké’ anti-‘FakeNews’, ces incroyables gamineries enfantines de chercheurs de la vérité chez les sources postvérité issues du Système.
Donc, ‘ZeroHedge.com’ nous dit :
« “Nous avons échoué” : Un journal danois s'excuse d'avoir publié les récits officiels du COVID sans les remettre en question. [...]
» “Nous avons échoué”, lit-on dans le titre de l'article du tabloïd ‘Ekstra Bladet’, qui poursuit en admettant que “Depuis PRESQUE deux ans, nous, – la presse et la population, – nous sommes concentrés de manière presque hypnotique sur les chiffres quotidiens des autorités sur les coronavirus.” »
De son côté, l’héroïque Paul Joseph Watson, qui publie son ‘Summit.news’ malgré une censure systématique dans les grands réseaux et des problèmes économiques récurrents, écrit à propos de cette affaire :
« “NOUS N'AVONS PAS été assez vigilants dans la lecture de leurs informations lorsque les autorités devaient répondre à ce que signifiait réellement le fait que des personnes soient hospitalisées avec le corona et non à cause du corona. Parce que cela fait une différence. Une grande différence”, peut-on lire dans l'article.
» L’article affirme également que les politiciens et les autorités ont “menti” sur d’autres aspects de la pandémie et que cela a entraîné une perte de confiance de la population à leur égard.
» Le journal souligne également que l'efficacité des vaccins pour mettre un terme à la pandémie a été largement exagérée par les autorités sanitaires... »
Etc. etc., la litanie de leurs mensonges, de cette communication qui n’est faite que de mensonges, dont l’ontologie même est le mensonge évoluant dans un simulacre immense, comme si le simulacre était en fait notre univers entier, celui qui est né avec le ‘Big Bang’, il y a un peu plus de 13 milliards d’années.
J’arrête là les citations directes et autres de la chose ; juste une dernière précision, une autre nouvelle que je n’ai pas vue tant nous sommes submergés par la marée de l’exposition continuelle de leur imposture infâme et cosmique, si infâme et cosmique qu’effectivement leurs zélotes en hypnotisme ne cessent de balbutier religieusement “Credo, Credo, Credo”, – jusqu’à nous faire par instant nous boucher les oreilles de crainte que la folie nous envahisse... Voici donc la dernière information rapportée par les sources citées, ratée par votre serviteur submergé par instant mais toujours recommençant :
« En août [2021], le plus grand quotidien allemand, ‘Bild’, avait présenté ses excuses à ses lecteurs pour son traitement des informations Covid destinée à alimenter la peur, – avec un message spécial pour les enfants, à qui il fut répété “qu’ils étaient en train d’assassiner leurs grands-mères”. »
Là-dessus, et après nous avoir laissé le temps de mesurer la signification très-profonde de ce (ces) mea-culpa, je fais une première remarque en forme de question, la même question redoublée en fait :
• Depuis le mois d’août de l’an 2021 , ‘Bild’ a-t-il traité différemment les informations, notamment en passant au crible d’une critique de sens commun et d’honnêteté les informations du gouvernement, notamment en cessant de faire peur aux petits enfants avec des affirmations telles que : “à cause de toi, ta grand’mère va mourir” ?
• Depuis le 10 (ou le 9, je ne sais) du mois de janvier de l’an 2022, ‘Ekstra Bladet’ a-t-il “traité différemment les informations, notamment en passant au crible d’une critique de sens commun et d’honnêteté les informations du gouvernement”, et tenant à distance l’hypnose où ces informations l’ont mis jusqu’ici ?
N’étant coutumier ni de l’allemand ni du danois, n’étant lecteur ni de ‘Bild’, ni de ‘Ekstra Bladet’, je ne peux répondre en conscience et toute bonne foi à ces questions. Je vous ferais part, pourtant, en conscience mais selon une foi que je ne sais ni bonne ni mauvaise, d’une sorte de doute m’invitant à répondre par la négative ; mais bon ! L’on comprend ce qui m’anime, et combien il y a de raison d’être dans ce doute de parti-pris néanmoins nourri d’une expérience déjà chenue.
Passons outre pour en venir à un autre propos... Celui de l’intérêt extraordinaire que je manifeste pour le concept d’“hypnose” que le quotidien danois a utilisé pour s’expliquer de sa déplorable conduite : « [N]ous nous sommes concentrés de manière presque hypnotique... ». J’ignore le sérieux et la conviction qu’a mis ‘Ekstra Bladet’ dans cet “argument” placé là comme s’il voulait plaider l’innocence d’avoir été victime d’une force qui l’a dépassé et qu’il n’a pas perçue, mais dans ce cas je le tiens fermement pour la vérité même, si vous voulez comme une sorte de vérité-de-situation psychologique qui les a frappés (et les frappe encore ?).
Cela signifie que je leur accorde le bénéfice de la sincérité, pour pouvoir mieux avancer une explication correspondant à ma conviction que le phénomène extraordinaire du mensonge permanent enveloppé dans un simulacre est imposé, effectivement “à l’insu de leur plein gré”, à tous ceux, à toute cette presseSystème, qui suivent aveuglément la narrative-Système que dispensent les pouvoirs effectivement au service du Système. C’est dire si, d’une façon générale, j’écarte les explications tourmentées sur un “complot” permanent les conduisant à diffuser en conscience et cette fois en toute mauvaise foi, des informations qu’ils savent fausses, mensongères, bidouillées, tordues et haïssables. Je ne les crois ni assez infâmes, ni assez sophistiqués dans la tromperie pour cela. Ils mentent mais, Seigneur, “pardonnez-leur parce qu’ils ne savent pas ce qu’ils font.
Littéralement, c’est plaider que ces étranges nigauds se sont effectivement « concentrés de manière presque hypnotique... ».
J’en viens donc à apprécier à ma manière ces forces d’influence qui anesthésient tout sens critique, qui pulvérisent le sens commun, qui subvertissent toute raison privée d’intuition haute pour la protéger. Le résultat est effectivement une sorte d’“hypnose” évidemment diabolique. Le qualificatif m’invite par ailleurs à développer l’appréciation que j’ai à l’esprit, qui confirme l’hypothèse de forces qui dépassent les êtres placés dans les réseaux essentiels de la communication qui règne, forces à l’influence desquelles certains, très rares, échappent, à l’influence desquelles les autres succombent, comme “hypnotisés”.
Que dire de ces “forces” sinon que l’on est en situation de justement ne pouvoir rien en dire parce qu’elles dépassent les entreprises humaines en conception et en capacités, et que l’essentiel est alors d’accepter l’hypothèse de la possibilité de leur existence ? Je ne fais que me répéter à cet égard, mais je ne crois pas cette répétition inutile, même s’il faut nécessairement céder à l’inconnaissance en sachant qu’il s’agit d’une posture vertueuse, parce qu’il y a dans cette répétition l’essence même de la résistance. Les autres, ceux qui font les esprits forts et ne cessent d’être bernés, sont comme cela, alignés devant les narrative dont ils croient qu’elles sont l’enjeu d’une bataille humaine, trop humaine.
Et le plus drôle dans le sens de l’ironie, le plus heureux pour les âmes poétiques c’est de voir que, des rangs de ceux qui les acceptent sans en rien savoir, parfois l’un ou l’autre, qu’il se nomme ‘Bild’ ou ‘Ekstra Bladet’, soudain fait un pas en avant, franchissant la très-fameuse “ligne rouge”, pour dire un instant, comme frappé d’une illumination, “Je crois que nous racontons n’importe quoi car nous sommes hypnotisés”. Même si cela ne dure qu’un instant, je suis assuré que cela réconforte, et pour mon cas, sans une seconde prétendre que j’ai ainsi compris le ressort de cette mécanique infernale (cette prétention, l’hybris inverse de celle des perroquets hypnotisés) ; cela réconforte dans le sens de ce que je vous ai dit sur mon “essence même de la résistance”, sans en savoir plus, sans en demander plus, simplement comme on est attiré par un secret destin.
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