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4248• Ouf, le “temple sacré de la démocratie”, – comme Mike Pence, Grand-Traître de service, a qualifié le Capitole après sa libération de la barbarie puante des ‘Deplorables’, – le ‘temple sacré’ dont les Grecs s’inspirèrent pour édifier le Parthénon est sauvé de la populace crasseuse et infoutue de se friquer. • Le monde entier a tressailli d’angoisse puis de bonheur extatique et de ravissement statufié dans le faux-marbre : l’Amérique existe toujours, l’American Dream enchaîne, la civilisation est sauvée, le Covid19 est terrassé, Jeff Bezos augmente ses avoirs de 5-10 $milliards. • Biden, le président le plus parfaitement corrompu de l’histoire d’un pays qui a inventé la corruption moderne et postmoderne (pourtant moins efficace parce que moins subtile que celle de la Chine), prendra donc sa place en jurant sur la Bible qu’il est bien ce qu’il est et que son fils Hunter est vraiment un type fantastique. • Les démocrates raflent toute la mise, tiennent tous les pouvoirs en main : ils vont donc pouvoir empiler les conneries et accélérer irrésistiblement la chute de l’Amérique. • Ainsi soit-elle.
7 janvier 2021 – Nous avons beaucoup parlé l’été dernier, dans le cas de la victoire démocrate à l’élection présidentielle (« En attendant le POTUS Kerenski »), puis plus précisément de Joe Biden lui-même lorsqu’il eût été nommé candidat du parti (« Joe devenant Kerenski »), de la réédition du schéma bolchévique. Après la chute du tsar, un gouvernement pseudo-démocratique (Kerenski) fut rapidement renversé par le coup d’Etat des bolchéviques. Lénine était stupéfait de la facilité avec laquelle s’était faite la chose, au point qu’il s’affala sur un divan, pris d’un vertige passager (« Es Schwindle », dit-il en allemand). Ici s’arrête l’analogie historique car, si Biden a bien la tête de l’emploi (Kerenski) nous ne voyons vraiment pas de Lénine à l’horizon américaniste apparaître, fût-il Black (Lives Matter).
Alors, plein d’élan et d’allant historiques, nous écrivions dans le premier texte cité, du 17 juin 2020, que les choses ne seraient pas si simple puisque Lénine, et si nécessaire, et mieux encore, un Lénine-Noir, – eh bien ce Lénine du XXIème siècle du post-antiracisme de Taguieff, manque à l’appel des USA-2021 ; qu’importe , ces USA2020 devenus USA2021 nous offrent de toutes les manières, et sur un plateau d’argent encore, une belle opportunité de renouveler l’espèce humaine dans le bon sens des aiguilles d’une montre...
« Et alors, et ensuite ? Les démocrates auraient accouché d’un Kerenski qui ferait le lit de la Révolution ? Nous referaient-ils le coup d’octobre 17, version postmoderne et pleine de surprises hollywoodiennes de l’AmericanDream ? Cela est loin d’être assuré, car nous cherchons en vain un Lénine, fût-il un Lénine-noir, à l’heure où plus aucun dirigeant africain-américain, désormais habitué à la bonne vieille corruption des “privilegied Whites people”, n’arrive à la cheville d’un Malcolm X ou d’un Docteur King. Mais pour nous, l’important dans cette perspective qui n’est pas une prospective, c’est qu’elle va, elle aussi certes comme les autres hypothèses envisagées, dans le sens de l’accélération constante de la GCES. Comme écrit également Alastair [Crooke] dans son texte cité, mais lui à propos des perspectives monétaires et financières aux USA (ce destin fatal est pour tous les domaines) : “C’est-à-dire que la Révolution peut venir de l’intérieur, – et pas nécessairement de l’étranger.” »
... Ou disons, “de l’intérieur” mais avec un peu d’aide de l’étranger ; mais dans tous les cas, et pour nopus rassurer, l’‘étranger’ ou TheRestOftheWorld, étant finalement conçu comme tout ce qui dépasse un petit peu des USA, mais qui fait tout de même partie des USA ; puisqu’on sait bien que le RestOftheWorld c’est un peu complètement l’Amérique bien entendu, comme l’American Dream qui nous est quelque chose de magique et de commun à tous, une sorte de mot de passe numérisé et encrypté permettant d’accéder au Nouveau-Monde, transgenrisé, transhumanisé, etc.
Et, chemin faisant, tout cela nous conduit à une autre citation, cette fois du deuxième texte cité, du 15 septembre 2020, où nous écrivions ceci : « Ce scénario d’une pression radicale irrésistible des gauchistes sur Joe Biden jusqu’à en faire ‘leur marionnette’, s’il est élu, ne cesse de se renforcer. On le lit par exemple dans cet extrait d’un texte d’un ancien officier de la CIA, Sam Faddis, qui fut en poste au Moyen-Orient et en Asie du Sud-Est. »
... Puis nous citions Faddis :
« Les groupes qui parrainent les émeutiers de 2020 sont hostiles aux États-Unis d'Amérique tels qu'ils existent actuellement. Ils ont depuis longtemps fait cause commune avec certains de nos ennemis les plus dangereux. Aujourd'hui, ce qu'ils veulent, ce n’est pas une réforme. Des expressions comme ‘Black Lives Matter’ sont un simulacre délibéré, une tactique bien connue des groupes de la gauche radicale, utilisée pour se rendre moins menaçants, faire en sorte que leurs objectifs paraissent moins menaçants.
» Ce que ces groupes extrémistes veulent vraiment, c’est quelque chose de bien plus profond. Il s’agit, comme vient de le dire un orateur de gauche, de rien de moins que de l’‘abolition’ des USA tels que nous les connaissons et de leur remplacement par un État marxiste.
» C’est pourquoi il est profondément illusoire de croire que les émeutes de ces trois derniers mois prendront fin avec les élections de novembre. Elles se poursuivront. Si Trump gagne, sa victoire sera immédiatement invalidée et délégitimée par la foule, et la violence montera jusqu’à l’explosion. Si Biden gagne, le peuple et les groupes qui déchirent cette nation le considéreront comme leur marionnette et accéléreront leurs poussée révolutionnaire. Si Biden se montre réticent ou incapable de les suivre, il subira le même sort que le maire de Portland, Ted Wheeler, qui subit un harcèlement Antifa de sa maison comme prix de son refus de se soumettre.
» Il ne s’agit pas de réforme. Il s’agit de révolution, et les révolutions ne se soucient pas des élections. »
Mais voilà que nous peignons tout en noir ! diront les beaux esprits qui, eux, ont au moins gardé de la haute moraline et savent bien que, tout au bout, il y a une blanche clairière pleine de lumière où tout le monde est vertueux. C’est en effet à ce point que les beaux-et-grand esprits, balayant la vision pessimiste de l’humeur bilieuse, celle des jamais-contents, ou bien des agents de Poutine qui sait (mais pas des Chinois, certes !), – c’est en effet à ce point que l’on ,nous sort, en, lieu et place de la révolution bolchévique, la révolution transgenrique, et transgénique, et transhygiénique, et transhumaniste, et trans-etc.
L’oeil vif et la plume bien acérée d’Alastair Crooke se chargent de la besogne, dans son texte du 30 novembre 2020 (traduction du Sakerfrancophone mise en ligne le 10 décembre 2020) :
« Qu’est-ce qu’un ‘rideau de fer numérique’ ? C’est lorsque le Big Digital, comme le professeur Michael Rectenwald appelle ces Goliath de la technologie occidentale, devient une “gouvernementalité”, en utilisant un mot inventé à l’origine par Michel Foucault pour désigner les moyens par lesquels les ‘gouvernés’ (c’est-à-dire “We, the people”) assimilent et reflètent extérieurement une attitude mentale souhaitée par les élites : “On pourrait citer le masquage et la distanciation sociale comme exemples de ce que Foucault entendait par sa notion de gouvernementalité”, suggère également Michael Rectenwald.
» Et quelle est cette ‘mentalité’ souhaitée ? C’est d’adhérer au changement d’identité et de mode de vie américain et européen. Le président élu présumé des États-Unis, les élites européennes et les élites ‘éveillées’ [‘woke’] de haut niveau sont d’ailleurs publiquement engagées dans cette “transformation” : “Maintenant que nous avons pris la Géorgie, nous allons changer le monde” déclarait Chuck Schumer, leader de la minorité au Sénat, en célébrant la ‘victoire’ de Joe Biden [Schumer parlait de la victoire de Biden à l’élection présidentielle, anticipant celle du 5 janvier des deux sénateurs démocrates] ; “La défaite de Trump annonce peut être le début de la fin du triomphe des populismes d’extrême droite en Europe également”, déclarait Donald Tusk, l’ancien président du Conseil européen.
» En bref, le ‘rideau de fer’ s’abaisse lorsque des entreprises soi-disant privées (Big Digital) s’interpénètrent mutuellement avec l’État ; et le revendiquent ensuite : Il n’y a plus besoins de persuader le non-croyant faisant face à cette métamorphose ; il peut y être contraint. Les valeurs régressives liées à l’identité, à la race et au sexe ont rapidement été étiquetées d’“hérétiques”. Et comme le répètent sans cesse les militants de Black Lives Matter : “Le silence n’est pas une option : Le silence est une complicité”.
» Avec l’avènement de l’omniprésence idéologique de la Silicon Valley, le diktat peut être atteint en utilisant l’Intelligence Artificielle (IA) pour en faire une arme de ‘vérité’ ; en fabriquant une ‘machine à enseigner ce qui est juste ou pas’ qui ne reflète que les valeurs de la révolution à venir ; et en utilisant l’IA qui ‘apprendrait’ à promouvoir cette version de la ‘vérité’ binaire contre une ‘non-vérité’ contradictoire (son opposé polaire)... »
Tout cela, qui doit rester dans le champ de l’hypothèse, montre la variété étonnante des options qui nous sont offertes par le formidable exercice de démocratie auquel nous avons assisté hier, face aux hordes déferlantes de la racaille nazie-blanche qu’on jugera ‘Deplorable’, voulant s’attaquer et s’attaquant effectivement au Parthénon de l’exemplaire démocratie postmoderne. Malgré les hordes, le trésor de la civilisation fut sauvée et le monde entier enfin respira.
C’est à peine ironiser, et certainement pas plaisanter, qu’écrire que “le Parthénon, [...] le trésor de la civilisation fut sauvée et le monde entier enfin respira”. Nous aurions pu entendre ce soupir de soulagement qui sortit comme une libération du confinement général ; nul doute qu’après cela, la liquidation de Covid19, face au sourire éclatant quoiqu’un peu figé de Biden, est une question d’heures et de quelques jours, c’est-à-dire de quelques années au moins... Tous les grands-beaux esprits du temps ont adressé leur soulagement intense aux gérontocrates-oligarques du Capitole (quelqu’un chuchote-t-il “du Kremlin” ?), de voir ce trésor préservé de la barbarie ‘déplorable’, en général mâle et blanche, qui l’a assailli hier.
... Car nous les entendîmes, certes, dès potron-minet, sur toutes les chaînes d’info, pour une journée de détente libéré de leur leçon quotidienne de près d’un an de petit-secouriste Covid19. Notre ami et confrère PhG s’est risqué à en écouter l’un ou l’autre, et horrifié, il n’a pas pu tenir plus d’une ou deux minutes à chaque fois.
« On a vu à 09H30 dans L’Heure des Pros sur CNews que je tenais en une certaine estime, apparaître sur l’écran de télé-témoignage le visage grognon et un peu halluciné de Philippe Labro, qui porte bien son âge. Un peu agacé, Labro, qui nous confia d’abord qu’il avait un rendez-vous important, qu’il expédierait donc cette intervention... Et puis, brusquement, basculant dans l’affectivisme-turbo, nous disant qu’il venait de recevoir un e-mail d’un ami journaliste aux USA, et que l’ami lui disait, véritable révélation, qu’il pleurait. Là-dessus, qui est tout de même essentiel, Labro nous révèle qu’une partie des parlementaires qui voulaient qu’on revoit l’élection étaient du Sud et même de l’Ouest, donc que c’étaient des Sudistes comprend-on, parce que, dit encore Labro, la Guerre des Sécession, les Blancs contre les Noirs, cette affaire n’a jamais vraiment cessé... (*)
» ‘Les Blancs contre les Noirs’, est-ce cela la Guerre de Sécession ? Sympathique pour les mâles blancs yankees, Grant et Sherman, et ce Sherman qui pensait lors de la marche en Géorgie et en Caroline à dévaster chronologiquement, qu’un bon Sudiste est un Sudiste mort’, anticipant sur son fameux “un bon Indien est un Indien mort”... Enfin, Labro continue en nous parlant de la peine et de la honte des Américains, mais pas tous, car ceux qui ont fait ça, hier soir, oui ils sont contents d’eux...
« J’ai fait une autre incursion, vers 12H15-12H20, en temps réel, sur LCI, pour entendre un monsieur répondre à une question du présentateur (‘Trump doit-il être poursuivi pour ce qui s’est passé hier soir ?’), et disant ceci à peu près : ‘Je ne sais pas mais je l’espère bien sûr... Le monde entier a les yeux braqués sur le trésor sacré de la démocratie comme a dit Mike Pence” ... Je me suis demandé, dit encore PhG, qui est donc ce Pence ? Le Grand-Prêtre du Parthénon ? Et comme je ne sais pas résister à une tentation de cette perversité infâme, j’ai rectifié pour moi-même, mais n’en parlez à personne : ‘non, le Grand-Traître du Parthénon’ par rapport à son pas de danse avec Trump... Euh, mais en fait, il faut préciser que nous parlons bien du Capitole, parce que le Parthénon, finalement hein, ce n’est jamais que le Capitole-DC de la civilisation grecque, copié par une extraordinaire anticipation par la civilisation grecque, c’est tout... »
Nous avons cité PhG à ce point pour disposer enfin d’un témoin d’une incroyable partialité, ce qui nous est nécessaire pour poursuivre notre propos en toute partialité. En effet, il nous a paru bon d’illustrer ce déferlement extraordinaire d’encens fumant comme un incendie de plein été de canicule, d’idolâtrie absolument hébétée, stupéfiée, fascinée comme une apparition à Lourdes ou du côté de Fatima, soudain, de par le monde de la communication globalisée et globaliste, pour la sacralité absolue de l’Amérique, avec son symbole évidemment sacré ('What Else ?’) de la Démocratie.
Il nous paraît complètement inutile de faire le procès trop gros pour être vrai, pour cette manifestation extraordinaire de l’empire absolu que l’Empire continue à exercer sur nous ; “sur nous”, c’est-à-dire sur nos psychologies, sur notre affectivisme exacerbée, sur notre arrogance et notre servilité à la fois, nos obsessions suprémacistes (multiculturelles et diversifiée, certes) et agenouillées à la fois, – cela qui n’a rien à voir avec les conquêtes, la domination, l’hégémonie, etc. Cette domination de l’encens de l’influence du système de l’américanisme comme courroie de transmission du Système, c’est le fait de nos psychologie ‘Sous le [regard] de Satan’, comme aurait pu écrire Bernanos.
C’est pour cette raison que nous sommes plus que jamais en désaccord avec ceux qui jugent qu’on peut arranger un monde sans les USA, même si les USA, dans un processus accéléré de déclin, existent encore. L’on sait bien que les USA ne font que 4% de la population mondiale, et 10% la ‘civilisation européenne’, mais cet emprisonnement des psychologies dont nous parlons concerne tout notre univers conceptuel.
Pour le rompre, comme on brise un envoûtement et comme on se libère d’une emprise magique, – Satan vaut bien, cela, – il faut une brutale secousse cathartique, un choc tellurique énorme ; et alors, “plus rien ne sera jamais comme avant”, comme il est coutumier de dire, et de cela nous ne savons rien ni ne pouvons rien savoir. Ceux qui parlent de la fin d’un cycle ont l’approche qui nous importe et l’expression que nous employons souvent de “la Fin des Temps” représente à notre usage une grande valeur symbolique et nullement une précision chronologique, sinon spatiale ; au reste, il s’agit de la Fin des Temps successifs du cycle, avant le recommencement. (“Éternel Retour” dit l’athée absolu et si paradoxal qu’on en vient à s’interroger avec raison, qu’est Frédéric Nietzsche.)
Certes, nous ne cessons de rappeler cela, que nous martelons depuis plus de dix ans ; comme ici, dernier coup de marteau en date :
« Car Bacharan dit justement que l’effondrement de la démocratie américaniste qu’elle juge désormais inévitable, a de fortes (mal)chances d’emporter l’effondrement du reste, si ce n’est déjà en cours. En effet, l’événement considérable qui concerne le sort de la matrice et le bras armé du Système n’est qu’un avant-goût des effets terribles et très rapides qu’il entraînera dans le reste, selon l’enchaînement des fascinations défaites et humiliées affreusement, selon cette analyse que je partage notamment avec moi-même depuis quelques si longues lunes...
» “Nous l'avons déjà écrit et nous le répétons avec force : il ne peut y avoir, aujourd’hui, d’événements plus important pour la situation du monde qu’une dynamique de dislocation des USA. [...]
» “La fin de l’American Dream, qui interviendrait avec un processus de parcellisation de l’Amérique, constituerait un facteur décisif pour débloquer notre perception, à la fois des conditions de la crise, de la gravité ontologique de la crise et de la nécessité de tenter de chercher une autre voie pour la civilisation – ou, plus radicalement, une autre civilisation.
» “L’alternative n’est pas une évolution des arrangements politiques, économique ou géostratégiques (par exemple, la Chine remplaçant les USA comme n°1, mais toujours dans le même système). [...] L’alternative est une poursuite catastrophique de la crise vers des situations inconnues de désordre... »
... C’est aussi “pour cette raison” que, malgré le dégoût et la nausée éprouvés pour un Biden, sa ‘Famille’, l’establishment, le monument de puanteur fétide constituant l’essence même du Capitole, et la Grande-Fraude, et le reste, – malgré tout cela nous devons montrer notre très-démocratique satisfaction que Biden soit élu et que les démocrates bouclent la majorité au Congrès (dans les deux Chambres). Ainsi vont-ils pouvoir appliquer en mode-turbo leur programme, dans l’extrême de l’extrémisme, avec l’aide des trotskistes, des BLM et des indigénistes du cru qui font tous d’excellents auxiliaires du Très-Grand Capital, lequel participera aussi à la fiesta, tout cela pour accélérer considérablement le rythme et la vitesse de l’effondrement.
Ainsi soit-elle/Ainsi soit-il (les dames d’abord), – pour répondre au remarquable “Amen-Awoman” du pasteur du très bon cru.
(*) « La Guerre de Sécession qui n’a jamais cessé ça c’est sûr », disaient Roger Pierre et Jean-Marc Thibault dans leur sketch des années cinquante, époque encore partie des maudites années du “temps bénis des colonies” ; lorsque Roger Pierre disaient, faisant le Sudiste passé du côté Nordiste, « Eh bien, si les Sudistes avaient été plus nombreux, ils nous auraient bel et bien mis la pâtée... » Et pas un mot des Black Lives Matter ! Triste et vilaine époque sans moralité.
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