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2191• Notre goût de Satan est aujourd’hui, outre d’être envoûtant pour que ça passe bien, irréfragable et irréfrénable. • Nous en sommes très satisfaits, comme le montre Pierre-Émile Blairon dans un texte sur les emportements festifs de Toulouse qui s’est choisi, sous l’impulsion de son maire à cornes, le Minotaure comme protecteur bienpensant et d’influence sans pareille. • Ainsi en est-il de notre civilisation aujourd’hui. • Satan est notre référence extraordinaire et nous nous contentons de diaboliser tous ceux qui ne partagent pas cet avis si bien éclairé. • Satan est notre pote.
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Concernant ce “phénomène” qui ne cesse de se manifester de diverses façons, et certaines de plus en plus spectaculaires et surtout très visibles, notre tendresse et notre affection très ‘fun’ pour le satanisme est une marque extrêmement remarquable de notre époque . Naturellement, nous sommes conduits à lui accoler le qualificatif d’“envoûtant” pour définir sa puissance et les deux assez proches d’“irréfragable” et d’“irréfrénable” pour donner une mesure de la dynamique de son extension. Nous sommes tellement “fan de lui” que nous pourrions dire, avec un petit frisson d’excitation : “Satan est notre pote”.
Nous avons parlé du susdit “phénomène” pour la première fois dans le champ de la politique dans un article du 6 novembre 2016, à quelques jours, sinon quelques heures de l’élection présidentielle US (Trump-I). Un excellent article du philosophe Douguine, le 11 septembre 2023 (« A l’ombre de Satan »), montrait combien tous les événements en cours s’imbriquaient dans la logique métahistorique du satanisme ; qui avait littéralement explosé depuis 2014.
En fait, nous avions commencé à en parler d’une façon, dirions-nous, structurée, comme un “phénomène” devant cesser de l’être, et pouvant effectivement finir par prendre une place centrale dans l’explication des événements courants, – dans un texte datant du 27 août 2024 (« A la recherche du sens perdu »). Il y a donc un peu plus d’une décennie exactement, et déjà à propos des événements ukrainiens alors que venait de commencer la guerre de l’Ukraine Made In USA contre sa région russophone du Donbass.
Il nous est venu l’idée, en commentaire du texte de Pierre-Émile Blairon que nous présentons ci-dessous, de reprendre la conclusion de ce texte du 27 août 2014, qu’on pourrait dire comme concernant le “satanisme désormais opérationnel”...
« Résumons-nous pour conclure. Une sorte de phénomène d’une “influence maléfique” portant sur les affaires du monde, notamment par l’intermédiaire des élites-Système “sous influence”, nous semble de plus en plus devenir un constat autant qu’une évidence. L’hypothèse adjointe qu’une catégorie d’humains est responsable de ce phénomène nous paraît de plus en plus marginale, insoutenable, inacceptable et impossible. Enfin, le constat d’une “influence maléfique”, impliquant une intentionnalité morale, marginalise considérablement, si elle ne la supprime pas, l’hypothèse d’une influence extrahumaine à partir de quelque chose qui serait produit par seul et simple effet mécanique. (L’hypothèse d’un système mécanique, diamétralement opposée à notre emploi du mot “Système” avec majuscule. Notre conception du Système est l’application opérationnelle du phénomène du “déchaînement de la Matière”, qui ne peut en aucun cas se réduire à un processus mécanique ou matérialiste, et qui constitue une manifestation extrême du Mal.)
» La nécessité intellectuelle de tirer des conséquences de ces divers constats nous paraît alors inévitable, à plus ou moins longue échéance selon la formule consacrée, – mais très vite selon nous, car les événements vont très vite et ils ne souffrent pas d’attendre une explication satisfaisante pour la cohérence des choses. Il s’agit bien entendu d’une réflexion à la fois extraordinaire et effrayante, et il s’agit d’un débat qui ne peut faire l’économie d’hypothèses dépassant évidemment les seules conceptions rationnelles habituellement et actuellement considérées. Il va sans dire que, selon nos conceptions, nous ne considérons nullement cette sorte de problème vertigineux comme du seul domaine de la foi religieuse et de la religion elle-même, même si certains y apporteraient évidemment une réponse qui y fait référence. Il s’agit d’une question rationnelle qui est posée au sapiens aujourd’hui, par la force même d’une situation qui ne cesse d’être extraordinaire selon les références auxquelles nous sommes habitués. Elle doit être envisagée sans incantation rituelle, sans illumination trop voyante, sans limites conceptuelles, sans interdit doctrinal, sans dénonciation conformiste, etc., mais simplement dans le cours d’une réflexion normale, logique, – rationnelle justement... Comme l’on dit, il va falloir y réfléchir. »
Tout cela introduisant, on l’a dit, le texte de ce 13 novembre 2024, de Pierre-Émile Blairon. Journaliste, auteur, proche des courants de la droite traditionnaliste, né à Oran en 1948 et devenu un fameux spécialiste de la “Provence secrète”, du Graal païen et de Nostradamus. Blairon a donc choisi la Provence de ka Grande Tradition pour remplacer l’Algérie française” disparue, – d’une disparition qui semblerait bien annoncer celle de la France, soixante ans plus tard.
Bref, tout cela est parfaitement conforme à ce que nous vivons à l’ombre de la lumière obscure, des ténèbres aveuglants, de l’inversion générale du simulacre, qui nous conduisent à embrasser avec une ferveur absolument impressionnante la satanisation de notre civilisation en lambeaux. L’article de Blairon s’attache aux frasques minotauresques organisées à Toulouse, sur « La Porte des Ténèbres est grande ouverte » (Son sous-titre est effectivement « Retour sur la Porte des Ténèbres ».)
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Nous pensions avoir déjà dit tout le mal que nous pouvions en dire, et qu’il fallait en dire, sur cette manifestation “festive” ouvertement satanique dans notre précédent article sur le sujet, daté du 29 octobre 2024 : “La Porte des Ténèbres est grande ouverte”. Mais, comme ses organisateurs, les médias et les divers organismes dédiés à la promotion de la ville de Toulouse n’en finissent pas d’en rajouter sur ce succès de masse, nous nous voyons obligés de continuer à traiter cet événement en mettant en lumière les véritables enjeux cosmiques en cours, sous forme d’une mise en perspective savante des fameux personnages “mythologiques” par l’intermédiaire d’un éminent symboliste.
Nous avons remarqué, en effet, que le nom du maire de Toulouse, Jean-Luc Moudenc, contient en anagramme le mot “démon”. Est-ce pour cette raison que les édiles toulousains ont souhaité se mettre sous la protection d’un monstre, le Minotaure en l’occurrence ?
Rappelons que les véritables organisateurs occultes de ces inquiétants spectacles sont issus de formes anciennes épuisées, ce qu’on appelle le bas-astral, qu’ils n’ont pas d’autre possibilité que de recourir au monde matériel à son degré le plus primaire [1] pour continuer à exister. Quant aux participants, aux spectateurs, les foules ; – tout aussi primaires et ignorantes, qui sont les victimes consentantes et “émerveillées” de ces programmateurs – elles ont été largement décérébrées et n’ont plus la possibilité de réagir autrement que par stimuli, comme un troupeau de moutons.
Ces manifestations organisées à Toulouse (le cru 2024 succédant au cru 2018) viennent s’insérer dans un vaste ensemble qui va en s’amplifiant, regroupant, seulement pour l’année 2024, de grandes manifestations placées sous le signe de Satan, comme l’Eurovision, les cérémonies d’ouverture et de fermeture des Jeux Olympiques, les divers concerts animés par des saltimbanques milliardaires qui sont présentés chaque jour quelque part dans le monde et qui sont eux aussi placés sous le signe du diable comme vous pouvez le voir, par exemple dans une vidéo de Mylène Farmer.
Jean-Luc Moudenc est le co-organisateur, le promoteur et le producteur de ces débordements diaboliques qui ont enfiévré sa ville, débordements onéreux qu’il a financés avec l’argent des contribuables de la métropole toulousaine, lesquels se révèlent quelque peu masochistes et en redemandent.
Qui est Jean-Luc Moudenc ? Il ressemble à tous les maires de grandes villes ; il est d’ailleurs Président de leur association.
Ces gens ont souvent le même profil de notables de province, pleins de rouerie, dénués de scrupules et de tout intérêt réel à l’égard de leurs administrés et de la ville qu’ils “administrent”, politicards expérimentés, la plupart étant intégrés à quelque loge locale du Grand Orient, suivant systématiquement toutes les instructions gouvernementales liées aux “modernités de genre”, aux “nouvelles mobilités”, aux “énergies renouvelables”, à “l’urgence climatique”, à “l’empreinte carbone” et autres désastreuses fariboles, histoire d’être toujours dans le courant progressiste, ou dans le vent, comme autant de feuilles mortes, ne songeant qu’à leur carrière et à ce qui peut leur permettre de rester le plus longtemps possible à leur poste bien rémunéré, en cumulant le plus possible de fonctions et de mandats.
Moudenc est un champion en la matière, poursuivi en 2021 par Anticor, l’association anticorruption, qui l’a assigné en justice ; mais la procédure n’a pas pu suivre son cours parce que l’agrément du ministère de la Justice (agrément qu’elle a retrouvé depuis) a été bien opportunément retiré à Anticor à ce moment-là et le Procureur général de Toulouse a classé l’affaire sans suite…
L’idée que la ville de Toulouse s’est placée d’elle-même sous l’influence (ou la “protection” ?), non pas du démon, mais d’un monstre mythologique (le Minotaure) ne vient pas de nous, elle vient des organisateurs, promoteurs et producteurs de cette manifestation (dont, peut-être, Moudenc lui-même), idée qui paraît saugrenue, abondamment relayée par une presse servile, mais qui correspond bien à un véritable palier dans un projet maléfique plus global initié de longue date dont très peu de personnes ont perçu la nocivité et l’ampleur et qui atteindra son paroxysme de bruit, de fureur et de toxicité lorsque les mondialo-satanistes auront réalisé qu’ils sont en train de perdre la partie, ce qui est inévitable.
Cette occasion de déchaîner leur barbarie pourrait très bientôt leur être donnée, par exemple, par l’accession de Trump au pouvoir aux Etats-Unis. Ils voudront peut-être alors, par dépit, provoquer le chaos par toutes sortes de crimes plus horribles les uns que les autres et de destructions abominables.
René Guénon (1886-1951) est l’un des plus importants auteurs français dont la production littéraire s’est consacrée essentiellement à l’ésotérisme, la métaphysique, le symbolisme, les traditions et religions indoues, musulmanes, chrétiennes, juives, et autres spiritualités des anciens peuples.
Il a établi, à la suite des recherches de l’indou Tilak, le concept de Tradition primordiale, source unique de la connaissance issue du monde originel dont se sont ensuite inspiré toutes les sociétés traditionnelles depuis le début des temps.
Il est aussi l’un des premiers penseurs européens, avec l’Allemand Oswald Spengler, à avoir analysé avec une grande acuité les effets négatifs de notre fin de cycle sur le comportement de nos sociétés modernes (‘Le Règne de la quantité’, ‘la Crise du monde moderne’).
René Guénon a influencé de nombreux penseurs et chercheurs de haut niveau comme Mircéa Eliade, Simone Weil (à ne surtout pas confondre avec la sinistre Simone Veil), André Breton, Antonin Artaud, Jean Phaure, Alain Daniélou, Julius Evola, Paul-Georges Sansonetti, etc.
Dans l’un de ses ouvrages posthumes, Symboles de la Science sacrée, dans le chapitre XXII, intitulé « Sur la signification des fêtes carnavalesques », article publié la première fois en 1945, Guénon évoque une origine plutôt récente de ces fêtes, il s’agit des Saturnales des anciens Romains.
« Pendant ces fêtes , les esclaves commandaient aux maîtres et ceux-ci les servaient ; on avait alors l’image d’un véritable “monde renversé” où tout se faisait à rebours de l’ordre normal. […] Il s’agit d’un renversement des rapports hiérarchiques et un tel renversement constitue, d’une façon générale, un des caractères les plus nets de « satanisme » […].
Nous avons signalé dans notre article précédent ce même renversement opéré par les organisateurs des “fêtes” de Toulouse concernant les pseudo-personnages “mythologiques” qui fait d’un monstre assoiffé de sang et en manque de chair fraîche, le Minotaure, le gentil patron de la ville de Toulouse qui va “protéger” ses citoyens (au lieu de les dévorer tout crus) et d’une belle et douce princesse (Ariane) venant au secours de son bien-aimé (Thésée) une horrible araignée.
Redonnons la parole à René Guénon qui écrivait, voici 80 ans:
« On voit par ces exemples qu’il y a invariablement, dans les fêtes de ce genre, un élément “sinistre” et même “satanique” et ce qui est tout particulièrement à noter, c’est que c’est précisément cet élément même qui plaît au vulgaire et excite sa gaieté : c’est là, en effet, quelque chose qui est très propre, et plus même que quoi que ce soit d’autre, à donner satisfaction aux tendances de l’“homme déchu”, en tant que ces tendances le poussent à développer surtout les possibilités les plus inférieures de son être ».
Cette description archétypale jungienne de la psychologie des foules formulée ici par René Guénon est de nature à expliquer que plus d’un million de personnes se sont précipitées avec enthousiasme dans les bras de Satan lors de ces fêtes toulousaines.
La satanisation de notre société a débuté avec l’apparition du personnage de Satan issu des religions du Livre, « l’ange déchu », appelé aussi Lucifer ; il n’est donc pas uniquement un produit du catholicisme, comme le croient la majorité des gens mais aussi du judaïsme et de l’islam ; et il est donc d’une apparition récente, comparé à celle de Titan, qui est l’homologue de Satan pour les religions traditionnelles anciennes non-monothéistes, et qui serait d’origine antédiluvienne (donc avant 12.000 ans).
Nous aurions donc pu tout aussi bien parler d’une titanisation de notre monde.
Contrairement à ce que nous pourrions penser, c’est le plus ancien des deux compères, Titan, qui est tourné vers les « nouvelles technologies » [2] et n’a de cesse de prôner la robotisation de l’humain grâce à laquelle les transhumanistes espèrent accéder à l’immortalité. On sait que le rêve des transhumanistes est de remplacer Dieu et ils le manifestent concrètement à la mesure de leurs capacités toutes matérielles comme par exemple, ce qu’ils appellent “l’intelligence artificielle” qui, comme tout ce qui est artificiel, est appelé à disparaître parce qu’éphémère.
A l’origine, les Titans étaient des géants et leurs successeurs ont gardé la nostalgie de ce qui est grand, fort, qui peut monter haut dans le ciel pour rivaliser avec Dieu. Le rêve de la tour de Babel s’est concrétisé dans notre période contemporaine par la construction de tours plus hautes encore qui grattaient le ciel et venaient titiller la plante des pieds de Dieu ; les premiers de ces gratte-ciels ont été construits à la fin du XIXe siècle à New-York et à Chicago.
Les roitelets arabes ont continué l’érection (sic) de ces tours dans leurs déserts en rivalisant entre eux pour savoir qui aurait la plus haute, et qui aura le portefeuille le plus épais. C’est exactement la manifestation de ce qu’on appelle l’hubris, la vanité qui ne tient qu’à des prouesses d’ordre matériel à défaut de pouvoir être compétitifs dans d’autres domaines plus spirituels.
De même que ces roitelets ont apprécié la principale qualité titanesque qui consiste à être grand, gros et fort et à briller, à être rutilant comme leurs véhicules de luxe et à cracher si possible du feu (par les tuyaux d’échappement), histoire d’en imposer au voisin de tente. Titan est aussi celui qui brille comme Lucifer.
Satan, lui, à l’inverse, excelle dans un autre domaine, celui des ténèbres ; il est le maître des anciens grimoires, des chemins tortueux peuplés de créatures étranges, des cris d’angoisse dans la nuit, des opérations occultes qui se pratiquent encore de nos jours et même avec plus d’intensité qu’auparavant, comme le sacrifice d’enfants, les chasses à l’homme, aux enfants ou aux femmes dans des forêts impénétrables, les tortures les plus inimaginables, la consommation de sang humain, les cultes à des dieux zoomorphes (comme le Minotaure ou Lilith), les orgies zoophiles, etc.
Vous avez compris que les machines qu’ont tellement admirées les Toulousains participent à la fois des rêves titanesques : elles utilisent des technologies de pointe, elles sont gigantesques, énormes, produisent toutes sortes d’effets spectaculaires, crachent le feu et l’eau et, en même temps, elles font référence à toutes les superstitions, à tous les monstres, à toutes les horreurs qu’ont pu inventer toutes sortes d’inquisitions religieuses ou étatiques afin d’effrayer les populations tout au long des siècles passés ; vous avez cru que ce temps était révolu ? Eh bien non, il revient de nos jours avec encore plus de cruauté et d’indicibles souffrances.
Guénon, à l’époque où il écrivait ce texte que nous citions plus haut, pensait que ces manifestations de type satanique allaient aller en se raréfiant car, disait-il,
« cette disparition constitue, quand on va au fond des choses, un symptôme fort peu rassurant, puisqu’elle témoigne que le désordre fait irruption dans tout le cours de l’existence et s’est généralisé à un tel point que nous vivons en réalité, pourrait-on dire, dans un sinistre “carnaval perpétuel”. »
Or, actuellement, en 2024, au moment où nous vivons les pires moments de ce cycle qui n’en finit pas de mourir, ces manifestations se sont, au contraire, multipliées et ont investi la totalité de la société mondiale à tel point qu’on pourrait penser, dans la logique de ce que disait Guénon en 1945, que les titano-satanistes craignent tellement de disparaître qu’ils font tout pour masquer leur irrésistible déclin et pour faire croire qu’ils pourraient encore avoir quelque influence mais, trop, c’est toujours trop !
A la fin du cycle et des terreurs que produit cette fin, il y a toujours un retournement salutaire qui rétablit l’ordre cosmique et qui voit réapparaître l’Âge d’or ; ce retournement intervient toujours d’une manière très brutale afin qu’il ne reste aucune trace, ni de ces êtres maléfiques qui ont proliféré comme de la vermine sur le corps de la Terre, ni des zombies qui les ont adulés.
[1] « Se dit de quelqu'un qui a un horizon intellectuel borné, qui juge de façon dogmatique en raison de son manque de culture » (Larousse)
[2] C’est ce que Guillaume Faye, qui avait choisi la Voie des Pères contre la Voie des Dieux, appelait l’archéofuturisme ; c’est ce que Julius Evola résumait ainsi :
« D’une manière générale, avec l’avènement de l’humanisme et du prométhéisme, il a fallu choisir entre la liberté du souverain et celle du rebelle, et l’on a choisi la seconde. »
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