Lendemain de veille : gueule de bois des globalistes

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Lendemain de veille : gueule de bois des globalistes

Manifestement, les élites québécoises aux manettes sont encore plus déconnectées de la réalité que celles qui spolient la Ripoublique française. Guy Taillefer, un éditorialiste du quotidien Le Devoir commentait, le 21 janvier dernier, le discours d’intronisation d’un Donald Trump qui est dépeint comme un véritable imposteur. Notre tâcheron de l’information ne se gêne pas pour dénoncer les abjectes paroles d’un « discours bêtement électoral, conformément à l’ultrapopulisme dont nous assomme cet homme à la fois inquiétant et risible depuis un an et demi ».

Mauvais perdants, les salariés du monde médiatique « mainstream » vouent aux gémonies les patriotes qui sont en train d’opérer un vigoureux brasse-camarade au cœur d’une Amérique confisquée par ses élites transgressives. Taillefer éructe du fait que l’équipe du cabinet de Trump soit composée principalement d’hommes blancs. S’ils ne régurgitent pas la sempiternelle antienne globaliste où est le problème ?

Un nouveau maccarthysme

Même son de cloche au Journal de Montréal où les entrefilets nauséabonds foisonnent à telle enseigne que l’on se demande qu’elle mouche les a donc piqués ? La classe médiatique dégorge une telle quantité de fiel à l’endroit de Donald Trump qu’on se croirait revenu à l’aube du maccarthysme des années cinquante. De fait, il s’agit d’un maccarthysme politiquement correct qui correspond trop bien aux desiderata d’une poignée de financiers – George Soros et consorts –

présidant aux destinées des médias, des institutions parapubliques, des cercles de réflexion et des officines de ce « soft power » qu’on nous enfonce jusqu’au fond de la gorge. Les mauvais perdant de la globalisation de l’espèce humaine n’entendent pas concéder la victoire aux patriotes qui sont, ipso facto, assimilés à de viles crapules fascistes.

Isabelle Maréchal, autre diva qui sévit au Journal de Montréal, s’emporte contre un Trump qui « est le champion de l’affirmation arrogante qu’il projette avec une formidable assurance ». Maréchal fait montre, elle aussi, d’un « formidable assurance » lorsqu’elle assène, sans sourciller, que « … les Américains qui boivent ses paroles s’illusionnent. Leur nouveau président n’agira en fonction des intérêts du peuple que s’ils servent en même temps ses intérêts propres ». Nul besoin d’être un expert en sémantique pour comprendre que l’impudente accuse le nouveau président d’être, d’ores et déjà, en conflit d’intérêts avant d’avoir exercé une seule seconde de pouvoir. Ce n’est pas de l’arrogance ça ?

Décidément, c’est la totale : du New York Times jusqu’au très « respectable » Le Monde, en passant par Libération, le Journal de Montréal ou Le Devoir, « tout le monde en parle » sans mettre de gants blancs, avec une espèce de rage au ventre qui fait peur pour tout dire. Nous, les pestiférés du monde de la réinformation, sommes interloqués face à l’incroyable convulsion qui agite les tâcherons d’une presse en perte de crédibilité, autant que de chiffre d’affaire !  Mais, qu’est-ce que nos amis des « médias sérieux » ont à reprocher à « The Donald » ?

Les masquent tombent

Donald Trump ne provient pas du sérail des politicards et autres technocrates incrustés dans les petits papiers de l’état depuis des lustres et … des lucres. Démagogue populiste, certes et sans ambages, Trump ambitionne de mettre au pied du mur toute l’engeance globaliste qui, telle une colonie de chancres, s’engraisse sur le dos de la population tout en lui promettant les lendemains qui chantent un monde libertaire correspondant à l’avènement de l’homme nouveau. Pardon, du surhomme ou, pour être politiquement correct, de l’humanoïde du futur. Parce que toute cette colonie de parasites, hyperclasse de financiers apatrides et pervers, aura pris la décision de présider à la destinée d’une humanité comparée à un troupeau de vulgaires bestiaux. Allez lire, Mesdames et Messieurs des grands médias, « La ferme des animaux » d’Orwell et vous nous en donnerez des nouvelles.

Un discours sans fioritures

Dénonçant les privilèges de l’oligarchie aux premières loges de Washington, Trump a prononcé un discours d’investiture aux accents prophétiques et sans fioritures. Prônant un patriotisme économique et politique musclé, l’iconoclaste ambitionne d’instaurer, dès aujourd’hui, un sain protectionnisme qui mettra un frein à la délocalisation des usines, à l’exportation des cerveaux et au déferlement d’une immigration massive destinée à niveler vers le bas les conditions de vie du commun des mortels. Défendant « Main street » contre Wall street, « The Donald » s’engage à mettre au pas toute cette engeance de profiteurs qui s’est engraissée sur le dos du bon peuple pendant que les usines fermaient, les unes après les autres, et que des dizaines de millions d’américains étaient condamnés à se nourrir par l’entremise des banques alimentaires.

Désireux de s’adresser à tous les citoyens américains, Donald Trump a tenu à dissiper toute équivoque en affirmant « … que l’on soit noir, métis ou blanc, le même sang patriote court dans nos veines … ».

Contrairement aux mensonges assénés par la presse aux ordres, le discours d’investiture du nouveau président était éclairé et éclairant, surtout lorsque l’illustre trublion aura pris la peine de préciser que les États-Unis ne doivent plus chercher à imposer leur mode de vie ou leurs valeurs aux autres peuples, dans un contexte où les relations internationales du futur émaneront du concert de l’ensemble des « nations libres ». Et non pas sur le mode étriqué d’un globalisme qui détruit les frontières pour araser les nations et condamner leurs populations à vivre tels des ilotes sans patrie.

Pourquoi les médias nous bassinent-ils avec leur sempiternel appel à l’objectivité et au droit à l’information, alors qu’ils passent le plus clair de leur temps à dénoncer ceux et celles qui dérogent de la doxa globaliste ? La réponse ne se fait pas attendre pour quiconque connait la structure de l’actionnariat de nos média-mensonges : les oligarques qui possèdent la presse aux ordres ont fait d’un monde sans papiers, et sans frontières, leur antienne obligée depuis belle lurette.

Patrice-Hans Perrier