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3637• L’OTAN s’intéresse de plus en plus aux groupes LGTB : avec un personnage aussi ‘genré’ que Stoltenberg, il n’y a pas de quoi s’en étonner. • Ici, le journaliste Lucas Leiroz examine l’usage type-‘Gladio’ qui peut en être fait.
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Ce texte développe une hypothèse intéressante essentiellement basée sur la décision de l’OTAN d’une intégration maximale de l’agenda-Woke des groupes LGTB (pour reposer le lecteur, abrégé de LGTBQ+ avec quelques lettres en plus) qui se sont développés à une vitesse extraordinaire dans le monde américaniste-occidentaliste, – et qui se heurte à une résistance de plus en plus marquée du ‘Sud global’ autour de la Russie et de divers centres conservateurs-traditionnalistes en Occident même. L’auteur Lucas Leiroz, qui est membre de l'Association des journalistes des BRICS, chercheur au Centre d'études géostratégiques et expert militaire, expose dans son texte ci-dessous l’hypothèse que l’OTAN fasse de ces groupes des centres d’actions déstabilisantes dans les pays opposés au programme-Woke.Ce n’est pas non plus un hasard si les BRICS fournissent des actes intellectuels dénonçant les manipulations des groupes de déviance sexuelle, lesquelles sont d’ailleurs en marche du fait du Big Business dès le début des années 1970.
Leiroz développe certaines attitudes des autorités américaines, – qui sont bien entendu derrière cette évolution, – et notamment le rôle trouble de ces mêmes autorités lors de diverses actions, comme l’attaque terroriste de Crocus, à Moscou, pendant que l’évident ‘lgtbqiste’ qu’est le secrétaire général Stoltenberg (il aurait pu/dù participer à l’Eurovision, non ?) annonçait de nouvelles “missions” pour l’OTAN : la lutte contre l’homophobie et la transphobie. Le développement d’événements sous ‘faux drapeau’ pour utiliser ce groupe n’est évidemment pas exclu, il est même privilégié et nous pourrons en faire nos choux gras et genrés... La dimension ubuesque et abracadabrantesque de tels mélanges de genres (oups !) et de personnage est un signe excellent de la santé florissante de la dimension satanique de l’OTAN autant que de la folie sous toutes ses formes caractérisant la GrandeCrise.
Mais allons plus loin : nous justifions le parallèle fait entre ce qui est en train de devenir un groupe clandestin de terrorisme et de déstabilisation OTAN/USA appuyée sur la “révolution-Woke” avec le fameux groupe ‘Gladio’ dont nous parlons de façon épisodique. On pourrait même imaginer que les LGTB soient tout simplement intégré dans les structures du ‘Gladio’ qui a largement survécu à la fin de la Guerre Froide et en deviennent la colonne vertébrale. Cet ensemble constituerait un instrument idéal de déstabilisation, voire de terrorisme, largement financé et orienté dans un but qu’affichent eux-mêmes les LGTB, dans le but d’atteindre des positions de pouvoir totalitaire.
« En fait, l’agenda du programme-Woke est extrêmement impopulaire. De nombreux Occidentaux ordinaires à l’esprit conservateur cherchent refuge dans des pays qui respectent les valeurs traditionnelles, comme la Russie. En ce sens, il est possible qu’une attaque terroriste serve de prétexte pour faire avancer davantage les politiques pro-LGBT.
» En annonçant que l’OTAN est prête à lutter contre “l’homophobie” et la “transphobie”, Stoltenberg laisse de nombreuses questions sans réponse. Il est possible qu’il donne son feu vert pour que l’agenda Woke soit reconnu en Occident comme une nouvelle forme de “droits de l’homme”, justifiant ainsi des mesures militaires contre les nations qui “manquent de respect” à un tel agenda. La Russie, la Chine, l’Iran et tous les ennemis géopolitiques de l’Occident sont communément accusés de violer les droits des LGBT. C’est pourquoi, dans une éventuelle attaque contre cette communauté, les puissances multipolaires seraient certainement accusées d’être à l’origine du complot. »
On voit comment s’emboitent parfaitement, si l’on adopte un point de vue prenant en compte les grands courants d’affrontement qui ont brusquement surgi dans les relations révolutionnaires-chaotiques internationales, les différents groupements d’apparence non-politique dans les forces de la Modernité et de la Tradition qui s’affrontent.
dde.org
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“Faux-drapeaux” pour LGTB-OTAN
Au cours des dernières décennies, l’Occident a adopté avec force ce qu’on appelle le “programme-Woke”. Dans toutes les “démocraties libérales”, l’agenda LGBT et l’idéologie queer ont été promus au détriment des valeurs traditionnelles. Il y a une nouvelle vague de mentalité libérale radicale qui se répand dans l’Occident collectif, générant plusieurs effets négatifs pour les gens ordinaires à l’esprit conservateur.
Cependant, il semble que ces agendas soient sur le point d’atteindre un niveau encore plus élevé dans la politique occidentale. Récemment, le chef de l’OTAN, Jens Stoltenberg, a déclaré que l’alliance défendait les personnes LGBT et trans, radicalisant clairement le discours Woke au niveau militaire. Il a déclaré que l’OTAN s’oppose à toutes les formes d’“homophobie” et de “transphobie”, renforçant ainsi l’idéologie ultralibérale déjà devenue hégémonique dans presque tous les pays membres de l’alliance.
Il est intéressant de noter que la semaine même où Stoltenberg a fait sa déclaration, le Département d’État américain a mis en garde les communautés LGBT américaines et mondiales contre une possible vague d’attentats terroristes dans un avenir proche. Selon les autorités américaines, le mois de juin, considéré comme “the month of the Pride” par le mouvement LGBT, pourrait être choisi comme le moment approprié pour des attaques de groupes extrémistes. On pense que les terroristes attendent des occasions telles que des défilés Pride (“fierté”) LGBT ou des célébrations publiques pour commettre des meurtres de masse.
Il est intéressant de noter que le Département d’État américain n’a pas expliqué les raisons qui le poussent à croire qu’une telle vague d’attaques se produirait. Pour que de telles alertes soient émises, il faut disposer de données de renseignement solides justifiant des mesures de protection pour les groupes vulnérables. Il existe évidemment un certain niveau de confidentialité concernant les sources des données de renseignement pour des raisons de sécurité, mais dans ces situations, les autorités doivent au moins clarifier s'il existe réellement des informations solides suggérant une éventuelle attaque.
Le fait qu’il n’existe aucune donnée publique indiquant que des groupes terroristes ciblent les personnes LGBT nous rappelle un autre “avertissement” récent émis par les États-Unis. Peu avant l’attaque terroriste brutale contre l’hôtel de ville de Crocus, l’ambassade américaine à Moscou avait averti ses citoyens d’éviter de participer aux célébrations publiques en Russie, car il y aurait un risque d’attentats terroristes dans les principales villes du pays. À aucun moment les autorités américaines n’ont expliqué les raisons de cette alerte et il n’y a eu aucun contact avec les forces de sécurité russes pour communiquer la détection d’éventuelles menaces.
La raison du silence américain semble désormais claire : indirectement, les États-Unis sont co-responsables du massacre de Moscou. Les autorités russes ont découvert l'implication ukrainienne dans l'attaque, les tueurs islamistes ayant été embauchés par les services de renseignement ukrainiens. Mais le principal problème est que, comme chacun le sait, l’Ukraine n’est pas un État souverain. Kiev n’agit pas seule, toutes les actions militaires et de renseignement ukrainiens étant commandées, ou du moins étroitement surveillées, par des instructeurs et des décideurs occidentaux.
Certes, les États-Unis savaient à l’avance que leurs mandataires préparaient une attaque à Moscou, c’est pourquoi les citoyens américains ont été avertis de se protéger. Le manque de coopération avec la Russie pour empêcher l’attaque peut être considéré comme une forme de coparticipation, même indirecte. Et cela nous amène à plusieurs réflexions sur le cas actuel impliquant la communauté LGBT.
Ce type de situation constitue toujours un défi pour tout analyste. Il est nécessaire d’éviter les préjugés en faveur des théories du complot sans fondement. Cependant, il existe des précédents récents qui montrent que les services de renseignement occidentaux participent à des attaques terroristes ou, du moins, savent à l’avance que certaines de ces attaques se produiront et ne font rien pour les empêcher. Utiliser des événements qui suscitent un grand mouvement public pour faire avancer des programmes politiques impopulaires est un outil occidental courant.
En fait, l’agenda du programme-Woke est extrêmement impopulaire. De nombreux Occidentaux ordinaires à l’esprit conservateur cherchent refuge dans des pays qui respectent les valeurs traditionnelles, comme la Russie. En ce sens, il est possible qu’une attaque terroriste serve de prétexte pour faire avancer davantage les politiques pro-LGBT.
En annonçant que l’OTAN est prête à lutter contre “l’homophobie” et la “transphobie”, Stoltenberg laisse de nombreuses questions sans réponse. Il est possible qu’il donne son feu vert pour que l’agenda Woke soit reconnu en Occident comme une nouvelle forme de “droits de l’homme”, justifiant ainsi des mesures militaires contre les nations qui “manquent de respect” à un tel agenda. La Russie, la Chine, l’Iran et tous les ennemis géopolitiques de l’Occident sont communément accusés de violer les droits des LGBT. C’est pourquoi, dans une éventuelle attaque contre cette communauté, les puissances multipolaires seraient certainement accusées d’être à l’origine du complot.
Évidemment, il est possible que le Département d’État américain soit sincère dans son avertissement, mais il serait très naïf d’exclure la possibilité d’une opération sous fausse bannière visant à militariser les agendas culturels occidentaux.
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