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1109Cette fois encore, une fois de plus, nous nous trouvons, à 48 heures de la fin de la donation de juin 2014, dans une situation où il nous faut encore insister auprès de nos lecteurs pour solliciter leur soutien, pour parvenir à maintenir le rythme de soutien nécessaire pour ce domaine. Il nous reste ces 48 heures (un peu moins, et même presque exactement entre 43 et 42 heures heures puisque ce message est mis en ligne passé minuit, dans la nuit du 29 au 30 août, à notre habituel petit matin de travail) ; il nous reste ces 43-42 dernières heures et nous ne sommes pas encore entré dans la zone située au-delà de notre minimum minimorum, notre minimum de survie de €2 000.
Nous insistons comme le faisons désormais avec force sur cette formule du “minimum de survie”, selon les définitions de référence du 1er mars 2011, dans le texte de lancement de cette nouvelle forme d’intervention en faveur du site, exclusivement par soutien volontaire de ses lecteurs : «…les montants de €2.000 et €3.000, qui constituent pour nous les sommes permettant respectivement un fonctionnement minimum des fonctions essentielles du site et un fonctionnement plus aisé de ces fonctions». Nos activités de fonctionnement n’ont cessé de progresser, c’est-à-dire malheureusement de nous coûter, et votre soutien est encore plus nécessaire ce mois-ci que le précédent écririons-nous comme formule symbolique. Le “minimum de fonctionnement” est vraiment un “minimum de survie” et tout doit être fait pour le dépasser très largement.
Nous conservons pour terminer cette formule rituelle qui put avoir une certaine fadeur à cause de son usage, mais qui retrouve, à l’instant où nous la renouvelons, toute sa vérité dans notre esprit. (Au contraire avions-nous déjà ajouté en parlant de cet aspect de la chose, et précisons-nous à nouveau en complétant la formule, elle exprime d’autant plus cette vérité qu’elle est devenue le rite d’une tradition.) Cela revient à vous dire, certes, “Merci à ceux qui sont déjà intervenus, merci par anticipation à ceux qui vont sans aucun doute le faire. Merci à ceux qui ne comptent pas intervenir et qui seraient peut-être sur le point de le faire, merci à ceux qui ne font rien parce que nous ne désespérons certainement pas de les convaincre de faire quelque chose.”
Mis en ligne le 30 août 2014 à 05H46 (23H45)