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588William Matthews, de Defense News, accorde un certain crédit à la théorie selon laquelle on préparerait le remplacement de Donald Rumsfeld par son adjoint, n°2 au Pentagone, Gordon England.
La nomination de England était bloquée depuis huit mois. En décembre, Bush l’avait nommé unilatéralement (pour un an) selon la procédure de “recess appointment”. Le 6 avril, sans bavure ni trompette, England était confirmé par la commission des forces armées du Sénat de John Warner. Le même Warner avait fait un intense lobbying auprès des adversaires de la confirmation, en promettant les habituelles compensations (contrats du Pentagone pour leurs États, pure “pork-barrel politics”).
« Is it time to start a Donald Rumsfeld resignation pool? More and more Pentagon watchers say it is. [...] They say a freshly confirmed England makes a stronger candidate to step up from the No. 2 job. (...)
» The vote surprised Senate staffers and England allies alike. [...] England’s appointment comes as pressure builds on Bush to shake up his administration. With midterm elections looming, congressional Republicans hope he can reverse his plunging popularity before it takes them down too. »
Mis en ligne le 18 avril 2006 à 08H02