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3809Alors que la direction du parti républicain, notamment avec le leader de la majorité du Sénat Mitch McConnell, tente de clore la séquence de contestation par l’acceptation du ‘président-Biden’, des affirmations de résistance ont toujours lieu. Le fait est remarquable dans la mesure où l’intervention de McConnell en tant que chef de la majorité et parlant ès qualité en séance publique devant ce même Sénat, indiquait aux sénateurs républicains qu’il y avait là presque une obligation de discipline interne à suivre cette voie de l’acceptation du ‘président-Biden’. On a, là aussi, un exemple de plus de la perte de légitimité et d’autorité de toutes les instances dirigeantes du Système.
En, effet, un jour après cette déclaration de McConnell a eu lieu l’une des plus puissantes, sinon la plus puissante contestation de l’élection, de son résultat, etc., avec l’affirmation extrêmement explicite, lors d’une audition d’une commission du Sénat dans le chef d’un sénateur parlant ès qualité lui aussi, de fraude massive et de ‘vol’ (ou d''anaque’) de l’élection. L’attaque, ou la contre-attaque c’est selon, est le fait du sénateur du Kentucky Rand Paul, accusateur impressionnant, fonçant sans faiblir, à la manière d’un Patton sur le champ de bataille. Ses paroles ont une force de conviction et d’indignation, sinon de colère, dont on ne peut pas ne pas ressentir l’effet :
« “Les tribunaux n’ont pas statué sur les faits. Ils n'ont jamais examiné les faits”, a déclaré le sénateur du Kentucky.
» “La fraude a eu lieu. L’élection a été volée à bien des égards et la seule façon d'y remédier est de renforcer les lois à l'avenir”, a-t-il déclaré.
» “Je pense qu’il est important que nous examinions cela et que nous comprenions ce que les tribunaux disent et ne disent pas", a déclaré Paul. “Les tribunaux n'ont pas dit qu'il n'y avait pas de fraude. Les tribunaux n'ont tout simplement pas statué sur la fraude ou n’ont pas voulu en entendre parler”.
» En 2020, des secrétaires d'État ont changé les lois électorales sans l'approbation du corps législatif, a-t-il dit, et de ce fait il y a eu une vingtaine d'États qui ont accepté des bulletins de vote après le jour du scrutin et ont envoyé des bulletins de vote “sans la volonté du corps législatif”.
» “Nous ne pouvons pas simplement dire que cela n’a pas eu lieu. 4 000 ‘personnes’ qui ont voté au Nevada étaient des non-citoyens, et nous allons simplement l’ignorer ? Et dire : ‘Oh, les tribunaux ont décidé des faits’”, a-t-il observé, en se référant à des témoignages précédents.
» “Les tribunaux n'ont pas décidé des faits. Les tribunaux n'ont jamais examiné les faits”, a-t-il dit. “Les tribunaux n’aiment pas les élections, et ils sont restés en dehors en trouvant une excuse, de forme ou non, pour rester en dehors”. »
Bien entendu, tous les zombies-Système, nos chers ZZ (ZélitesZombies), ne diront pas un mot, ne taperont pas une seule lettre sur les beaux claviers des beaux ordinateurs que leur fournissent les plus grands journaux de la presseSystème, aux USA et ailleurs. Ils sont de cette immense catégorie enrôlée sous le drapeau (falseflag-masquéCovid) de la fraude et du simulacre instituées en ‘vérité officielle’, qui tient aujourd’hui le haut du pavé et verrouille absolument le mensonge-totalitaire qui règne dans nos démocraties. Comme l’exprime un article de WMD.com, présentant un autre article, absolument remarquable, sur le sujet :
« Leni Friedman Valenta et Jiri Valenta du Centre d'études stratégiques Begin-Sadat ont écrit dans un article publié par le Gatestone Institute que pour une grande partie de la nation, “les tentatives de coup d'Etat sont désormais sanctifiées et légitimées par l’élection, – que beaucoup estiment avoir été “arnaquée”, – de l’ancien vice-président Biden”.
» On peut certainement comprendre ce que ressentent les républicains maintenant que les principaux conspirateurs impliqués dans les tentatives de coup d’État se sont appropriés le gouvernement par l'intermédiaire de leur figure de proue, l’ancien vice-président Biden", ont-ils écrit. »
Pour notre compte, nous passons outre en conseillant de ne pas trop argumenter mais simplement d'affirmer que là est la complète désagrégation, la catastrophe de la fraude, du simulacre et de la bêtise pure ; et jugeant que l’extraordinaire grossièreté mensongère de leur narrative finira par leur peser si lourdement qu’ils s’effondreront.
Nous donnons un complet crédit aux déclarations du sénateur du Kentucky, témoignant devant une commission convoquée pour une audition spéciale par le sénateur républicain Johnson, autre ‘dissident’ qui se fiche des consignes de McConnell. La puissance des déclarations de Rand Paul nous le fait comparer à une sorte de Patton législatif, dans la mesure où Paul ne prend aucune précaution, nommant directement et sans la loindre équivoque ‘un escroc un escroc’, comme l’on dit “un chat un chat”.
Au cours de la même audition, on a pu entendre un élu démocrate affirmer que l’élection était « la plus honnête » de l’histoire de la démocratie américaniste, que les bruits de fraude étaient le résultat d’un complot et d’une ingérence également russes, – Russiagate ressuscité à la manière de Jésus. On a donc là les deux faces de la médaille commémorative de la Grande Crise de l’Effondrement du Système. Le contraste est extrêmement et clairement mis en lumière par l’extrémisme extraordinaire des faussaires-ZZ, comme sont les démocrates soutiens de Biden. Contre eux, il y a l’activisme qui s’affirme antiSystème, de plus en plus affirmé de la part de certaines individualités ; ici, un Rand Paul qui s’appuie sur le legs de son père, l’ancien député Ron Paul qui fut pendant un quart de siècle au sein du Congrès un des plus prestigieux experts en matière de lois et de légitimité des puissances publics.
C’est la puissance même de ces affrontements, et la libération de la parole des dénonciateurs de l’énorme arnaque du 3 novembre, qui nous fait effectivement croire que, malgré les coups de sifflet finaux type-McConnell, la séquence crisique de l’élection du 3 novembre va se poursuivre et enfler. Parmi les perspectives qui renforcent cette idée, on trouvera notamment :
• Une interview de Sandy Powell à Epoch Times montre que l’avocate et ancienne procureure qui travaille en indépendante pour l’équipe Trump veut être plus active que jamais. Elle veut que toutes les machines à voter/frauder Dominion soient confisquées et contrôlées pour que l’ampleur totale de la fraude soit confirmée ; elle estime que Trump devrait agir dans ce sens, et pour d’autres initiatives, en décidant l’application du décret présidentiel de septembre 2018. (Ce décret lui donne des pouvoirs spéciaux pour enquêter et procéder à des mesures de contraintes en cas d’indices d’une intervention de pouvoirs extérieurs aux USA dans les élections US. Il peut également nommer un procureur spécial pour enquêter sur tous les aspects de l’opération de vote incriminée.)
« Powell, qui a déposé de nombreuses plaintes pour les élections de 2020, explique que [la technique des] machines de vote Dominion est de compter chaque vote Biden à une valeur de 1,25 tout en réduisant la valeur des votes Trump à 0,75.
» “Ils augmentent donc automatiquement de 25% les votes pour Biden... au lieu de compter un vote pour un seul, ce qui est tout ce qu’un vote devrait jamais compter selon la règle ‘un homme, un vote’. C'est notre règle standard et de longue date, la seule façon dont la votation peut fonctionner dans une république démocratique”, a-t-elle déclaré. “On peut voir dans certains des relevés, que c’est exactement la façon dont s’est opérée la tricherie”.
» Powell a déclaré que le décret de Trump “lui donne toutes sortes de pouvoir, – de saisir les actifs, de geler les choses, d'exiger la saisie des machines”.
» “En vertu des pouvoirs d'urgence, il pourrait même nommer un procureur spécial pour examiner la situation, ce qui est exactement ce qui doit se passer”, a-t-elle déclaré. “Chaque machine à voter dans le pays devrait être confisquée dès maintenant.” »
• La description par Jeremy D. Mayer des possibilités de manœuvres de retardement de l’enregistrement de l’élection de Biden au Congrès, à partir du 6 janvier 2021. Mayer décrit (dans ‘The Hill’ du 16 décembre 2020) l’application de certaines lois oubliées depuis plus d’un siècle, donnant effectivement des droits de vérification, de consultation supplémentaires des grands Électeurs, etc. Il va même jusqu’à envisager un “scénario de cauchemar” où il n’y aurait pas de président en place à partir du 20 janvier et où le pays sombrerait dans un chaos institutionnel complet, entre le Sénat républicain voulant mettre le vice-président Pence comme président ad interim, la Chambre ne voulant entendre parler que de la Speaker Nancy Pelosi. L’aspect remarquable de ces hypothèses qu’on croirait émises par une sorte de ‘fou de Trump’ à la recherche d’un moyen épique de faire en sorte qu’il reste à la Maison-Blanche, est que l’auteur Jeremy D. Mayer, – professeur de droit à la Schar School of Policy and Government de l’université George Mason et coauteur de ‘The South and the Transformation of U.S. Politics’, – est un adversaire inconditionnel de Trump. Il ne cesse d'ailleurs de le proclamer tout au long de l'article, tout en décrivant les hypothèses de blocage avec presque une jouissance extatique et sardonique.
Mis en ligne le 17 décembre 2020 à 14H30