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550Rappelez-vous qu’en mars 2003, Wolfowitz affirmait que l’année d’après, le pétrole extrait du sol irakien, dans une ambiance festive et démocratique, permettrait de payer tous les frais possibles de reconstruction et dégagerait encore des bénéfices. Ce type (Wolfowitz) a été mis à la tête de la Banque mondiale, pour honorer les compétences qu’il a montrées dans cette occurrence comme en d’autres.
Aujourd’hui, l’Irak arrive péniblement à extraire 1,9 millions de barils par jour, contre 2,6 millions/jour produits peu avant l’invasion, du temps de Saddam. L’action des saboteurs et des diverses actions de la résistance sont dévastatrices et rendent l’industrie pétrolière déficitaire. En voici le court rapport qu’en fait l’Agence d’information du Koweit (
» Issam Jihad, Spokesman for the Iraqi Oil Ministry said the ministry experts have estimated the loss at USD 6.25 billion, while 138 security and technical personnel lost their lives in a series of 186 sabotage operations carried in 2005.
» Operations to set oil fields ablaze cost the ministry about USD 400 million, while above USD 2.7 billion were lost in operations against crude oil pipelines. Destroying petrochemicals pipelines also cost over USD 3 billion, he concluded. (end) mhg. »
Mis en ligne le 19 février 2006 à 13H49
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