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3269• Détaillées par le chroniqueur Brandon Smith, quelques réflexions peu rassurantes sur les origines, les buts et l’avenir de la vague-Woke qui continue à déferler sur l’américanisme-occidentalisme comme une sorte de bolchévisme postmoderne. • A le lire, on comprend que les Russes, les Chinois et autres multitudes des BRICS ne veulent pas en entendre parler. • Une vision moins pessimiste est d’observer que cela va si vite, avec l’appui massif de tous les grands conglomérats US, d’une façon si visible, qu’ils finiront par faire naître une contre-révolution avant de l’emporter.
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Le commentateur indépendant Brandon Smith, qui a une excellente position de notoriété dans la presse dissidente US, développe, sur son site ‘alt-market.us’ le 18 juin, le thème des rapports du mouvement Woke (wokenisme, LGTBQ, etc.) et du Big Business qui est un de ses premiers soutiens, et financièrement son appui massif. Ce constat critique vient de loin : en avril 2013, l’excellentissime commentateur antiguerre et libertarien Justin Raimondo (décédé depuis), qui était lui-même homosexuel et un des artisans des droits des homosexuels, avait dénoncé avec violence la ‘Gay Pride’ de San Francisco et la direction de ce qui serait les LGTBQ comme complètement aliénés et subventionnés par le Big Business. Brandon Smith situe en 2016 la mise en place du développement maximal du soutien de la puissance des grandes entreprises US aux mouvements Woke, avec notamment une pénétration maximale du show-business, du monde du cinéma et de Hollywood (Disney, Netflix, etc.)
La thèse de Brandon Smith est qu’il s’agit du développement d’un mouvement de type communiste (bolchévique) qui va se poursuivre malgré la perte considérable de profit, notamment du fait du soutien financier du gouvernement. Effectivement, le mouvement Woke touche également les bureaucraties du pouvoir fédéral américaniste, qui acquièrent une autonomie grandissante à mesure que les pouvoirs politiques (exécutif et législatif) se détériorent et se désintègrent dans leurs luttes internes et leurs corruptions.
Smith s’en prend surtout aux réactions du public, qu’ils jugent insuffisantes, sinon indifférentes, et surtout très sceptiques devant la notion de guerre culturelle alors qu’il (le public) est en très forte majorité contre les absurdités déconstructrices du mouvement woke...
« Je me rends compte qu’il y a des gens qui refusent de s’engager dans quoi que ce soit de politique. Certains d’entre eux n’aiment pas s’impliquer dans quelque conflit que ce soit. D’autres se considèrent comme « au-dessus de tout » et supérieurs à quiconque consacre du temps à la politique, aux questions sociales ou aux « théories du complot ». Cela ressemble davantage à un mécanisme d’adaptation pour ceux qui ne comprennent pas la nature complexe de la division civile.
» Oui, il est plus facile de fermer les yeux sur ce qui se passe et de prétendre que le chaos est aléatoire, mais le fait est que notre civilisation évolue et se désagrège rapidement et c’est intentionnel. TOUT LE MONDE sera affecté par ces conditions et conséquences, qu’il croie ou non à la guerre culturelle. »
Son inquiétude et son pessimisme fondamental poussent Brandon Smith à une conclusion plutôt catastrophique, tenant pour acquise la victoire du mouvement Woke dans son entreprise de subversion sociale et sociétale.
« C'est là tout l'enjeu de la guerre culturelle. Il y a ceux qui veulent embrasser le système dystopique (principalement les gauchistes) et ceux qui voient ce système pour le mal qu'il est vraiment. Il y a ceux qui veulent perpétuer le culte de l'éveil et ceux qui le boycottent. Les sceptiques qui restent ignorants de cette guerre n'ont pas d'importance ; ils sont des déchets flottant sans but sur les marées de l'histoire. Ils s'en moquent aujourd'hui, mais ils s'en soucieront dans un avenir proche, lorsque leur liberté de choix disparaîtra complètement. »
Sa conclusion est logique, notamment par rapport à des références anciennes où des changements considérables, – dits “de progrès”, – ont eu lieu sans que ceux qui s’opposaient à leur principe n’y prennent garde. La question est de savoir si le mouvement Woke connaîtra le même succès. Sa puissance est formidable, ainsi que la rapidité de sa progression, mais aussi le contenu de plus en plus fou et grossier de ce qu’il impose. Ces avantages peuvent se retourner contre lui. Les exemples du passé où certains “progrès” ont été effectués sans que ceux qui s’y opposaient sur le principe se mobilisent contre eux répondent à une situation d’évolution assez lente. Cette lenteur empêchait que l’on vit la réalité et les effets les plus destructeurs de ces “progrès”. Avec le Woke, les choses vont tellement vite et elles sont tellement mises en évidence (cette mise en évidence est même leur moteur principal) qu’il est bien possible que leurs effets forcent à une résistance qu’on n’a pas connue dans le passé, dans le même cas. C’est d’ailleurs la démonstration qui est faite avec la chute radicale des fréquentations des films-Woke, chez Disney et chez Netflix notamment.
Comme dit Smith, il est très probable que les esprits hystériques qui font la promotion du mouvement-Woke vont effectivement avoir la même réaction que les bolchéviques les plus durs qui, une fois au pouvoir, accusaient les gens refusant ou soupçonnés de refuser d’être suffisamment communistes des plus grands péchés, – essentiellement celui de n’être pas communistes, –jusqu’à l’élimination physique. Dans le cas du Woke, certes, on dénoncera et on dénonce d’ores et déjà chez les manipulateurs le goût subversif du public refusant les nouvelles normes Woke. Mais c’est là que se pose le problème.
Les USA sont ce qu’ils sont, mais ils n’ont ni un appareil policier adéquat, avec les mœurs révolutionnaires de liquidation systématique des bolchéviques du temps de la Tchéka. Lorsqu’on en arrivera (tr ès vite, selon la rapidité du mouvement) à cette réaction de menace contre ceux qui ne sont pas Woke, il n’existera pas (pas encore ?) d’appareil policier semblable à celui du temps de Lénine, et les citoyens US seront beaucoup mieux armés (au propre et au figuré) pour se défendre à cet égard que ne l’étaient les Russes.
Le gros problème, aujourd’hui, pour tout mouvement collectif humain, surtout ceux qui veulent imposer des conditions de contrainte, c’est l’extrême rapidité des événements, et leur connaissance très rapide qui va de pair du fait de la formidable puissance du système de la communication. Cela laisse peu de temps, sinon pas de temps du tout, d’organiser des structures policières oppressives et idéologiquement orientées assez puissantes et assez radicales pour parvenir à un résultat collectif satisfaisant, en même temps que cela alerte plus rapidement les personnes qui en sont les victimes. Par contre, bien entendu, cette vitesse et cette accélération doivent renforcer les antagonismes et les mouvements séparatistes, toujours si féconds aux USA, d’autant que se poursuivent les mouvements d’autocritique politique par rapport aux lieux où l’on habite, avec des transferts volontaires de population vers des États où leurs conceptions politiques sont beaucoup plus fortement représentés.
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Je regardais récemment une vidéo de certains de mes commentateurs de cinéma préférés dans laquelle ils déploraient la mort apparente du secteur des salles de cinéma. Ils ont cité une longue liste de bombes à succès récentes, avec une certaine confusion quant aux raisons pour lesquelles tant de films échouaient. En particulier, ils avaient prédit que le film « Furiosa » (un film féministe d’appât et de changement conçu pour remplacer le personnage masculin le plus populaire de Mad Max) fonctionnerait relativement bien. Pourtant, le film a mordu la poussière de façon épique. Ils étaient perplexes quant à la raison pour laquelle cela s'était produit.
Ils ont avancé de nombreuses théories sociales et économiques pour tenter d’expliquer pourquoi tant de grosses aubaines budgétaires perdaient de l’argent. Ils ont bien sûr suggéré que l’événement Covid aurait pu pousser les gens à s’adapter aux services de streaming comme étant la meilleure option. Ils ont noté que les cinémas peuvent être plus frustrants en raison des clients bruyants. Ils ont essayé d’appliquer certaines théories économiques à la situation (ces théories étaient trop simplistes et douloureuses, mais ces gars-là ne sont pas des économistes alors je les ai laissé dire).
Cependant, lorsque le concept de guerre culturelle a été brièvement abordé, ils l’ont immédiatement rejeté.
Ils ont agi comme si cela ne faisait pas du tout partie de l’équation ; un simple élément marginal des « appâts à clics » essayant de créer quelque chose à partir de rien. L’idée selon laquelle les gens boycottent Hollywood par principe était trop difficile à gérer pour ces critiques de cinéma. Et je dois dire que le niveau d’illusion requis pour ignorer les effets de la guerre culturelle me paraît ahurissant. Si vous ne comprenez pas la guerre culturelle, alors vous ne comprenez pas ce qui se passe en Amérique (et dans de nombreuses régions d’Europe) aujourd’hui.
Je me rends compte qu’il y a des gens qui refusent de s’engager dans quoi que ce soit de politique. Certains d’entre eux n’aiment pas s’impliquer dans quelque conflit que ce soit. D’autres se considèrent comme « au-dessus de tout » et supérieurs à quiconque consacre du temps à la politique, aux questions sociales ou aux « théories du complot ». Cela ressemble davantage à un mécanisme d’adaptation pour ceux qui ne comprennent pas la nature complexe de la division civile.
Oui, il est plus facile de fermer les yeux sur ce qui se passe et de prétendre que le chaos est aléatoire, mais le fait est que notre civilisation évolue et se désagrège rapidement et c’est intentionnel. TOUT LE MONDE sera affecté par ces conditions et conséquences, qu’il croie ou non à la guerre culturelle.
Le monde du cinéma peut paraître frivole aux yeux de nombreux conservateurs, mais il m’a toujours fasciné car il constitue une fenêtre parfaite sur les conflits culturels. Le cinéma est censé être une expression de la mythologie moderne, mais il peut aussi être un regard sur les influences idéologiques derrière le rideau. Il est souvent utilisé comme véhicule de propagande de l’establishment.
L’échec total des efforts de Disney pour imposer le culte Woke dans Star Wars en est un bon exemple. Leur dernière série, The Acolyte, est peut-être la production Star Wars la moins performante de tous les temps. L’émission décrite comme “des sorcières lesbiennes moralement relatives dans l’espace” est un désastre de propagande DEI (‘Diversity, Equity and Inclusion’, désignant l’intégration de la philosophie ‘Woke’).
La réponse de Disney et des médias ? Blâmer le public, les consommateurs, au lieu d’admettre qu’ils ont créé un mauvais produit dont personne ne veut. Ils disent que vous devriez vouloir le regarder. Si vous ne le faites pas, alors il y a quelque chose qui ne va pas CHEZ VOUS.
Il ne s'agit pas seulement de films. Presque toutes les grandes entreprises se sont engagées dans une guerre Woke depuis 2016 environ et ont poursuivi sans relâche leur mission visant à faire de l’extrémisme d’extrême gauche l’idéologie dominante dans le monde occidental. Au point même qu’ils sont prêts à perdre une grande partie de leur clientèle dans le processus (Bud Light en est un excellent exemple).
L’insurrection des entreprises contre les consommateurs n’a jamais été aussi évidente qu’en juin, déclaré unilatéralement “Mois de la fierté” par une armée d’entreprises internationales et d’organisations à but non lucratif. Ne vous y trompez pas, la “Fierté” n’est pas une initiative populaire ni un règlement de griefs. La communauté LGBT n’a aucun grief légitime et elle jouit exactement des mêmes droits que tout le monde en vertu de la loi. Le mois de la fierté n’est pas une question d’égalité, c’est une question de pouvoir et de contrôle culturel.
DEI désigne la même chose ; un effort des entreprises pour injecter de la politique dans la vie quotidienne des travailleurs comme des consommateurs jusqu’à ce que la rhétorique soit tellement ancrée dans l’existence de chacun que personne ne remet plus en question sa validité.
Presque personne n’a demandé le mois de la fierté. Presque personne n’a demandé de DEI. La plupart des gens s’en moquent. Pourtant, chaque année depuis plusieurs années, les entreprises et des éléments importants du gouvernement imposent ces idées à la population et nous disent que c’est quelque chose que nous devrons adopter si nous voulons être considérés comme de « bonnes personnes ».
C’est sur cet argument que je souhaite me concentrer : l’idée selon laquelle les entreprises dictent désormais la moralité au public comme si elles étaient les arbitres de nos normes sociales.
À un moment donné (il est difficile de déterminer exactement quand), les entreprises ont adopté un nouveau mantra, une nouvelle façon d’envisager les affaires. Ces entreprises ont toujours cherché à inciter les gens à acheter des produits, souvent par le biais d’un marketing malhonnête et manipulateur. Ce n’est pas de cela que je parle.
Dans notre nouvelle ère, les entreprises ont décidé que les produits n’avaient plus besoin de plaire aux acheteurs. Ils ne sont plus liés au goût du client, c'est le client qui est lié au goût qui lui est imposé. En d’autres termes, s’ils proposent un produit selon une conception Woke, alors le client doit acheter ce produit et l’aimer inconditionnellement, sinon ce client est qualifié d’ennemi.
Il s’agit d’une juxtaposition grotesque de la relation traditionnelle entreprise/consommateur. J’ai longtemps expliqué que les entreprises ne sont pas des entités de libre marché mais des constructions socialistes agréées et protégées par les gouvernements. Cependant, ils se souciaient au moins de rendre les consommateurs heureux afin qu’ils puissent réaliser des bénéfices et continuer à fonctionner. Ce n'est plus le cas.
Aujourd’hui, les entreprises traitent les consommateurs comme des esclaves dans une plantation. Il faut leur dire quoi manger, quoi boire, quoi aimer, quoi détester et quoi penser. Il suffit de regarder ce qui se passe lorsque les consommateurs s’opposent à l’idéologie Woke ou à la DEI dans le marketing d’entreprise ; dans presque tous les cas, cette entreprise, ainsi que les médias de l’establishment, ATTAQUENT leurs clients en les qualifiant de racistes, fanatiques, misogynes ou fascistes.
Ils diront que si un groupe de clients n’aime pas un produit en raison du message politique, alors ils ne veulent pas de ces personnes comme clients. Ils montrent fièrement la porte à ces gens. Puis, lorsque leurs produits échouent et que leurs ventes implosent, ils blâment une fois de plus les « fanatiques et les racistes ».
Bien entendu, le premier réflexe de chacun serait de souligner que ces entreprises s’autodétruisent. Vous ne pouvez pas traiter la majorité de vos acheteurs comme des lépreux contagieux et espérer continuer à générer des bénéfices. Finalement, ces sociétés disparaîtront. J’aimerais pourtant suggérer trois théories alternatives…
• Théorie n°1 : J'ai beaucoup parlé dans le passé de l'ESG (“Environmental, Social, corporate Governance”) et de son échec en tant qu'outil de consolidation du pouvoir. Les globalistes, par l’intermédiaire de groupes comme le Council For Inclusive Capitalism, pensaient pouvoir unifier les entreprises sous l’égide des prêts ESG, puis les utiliser comme monopole d’influence pour faire pression sur le public afin qu’il se soumette aux idéaux Woke. Ce public a résisté à ce programme et l’a dénoncé.
Et si l’ESG n’avait été qu’un coup d’essai ? Et si le véritable objectif était de devenir totalement communiste – faire des gouvernements et des banques centrales la principale source de financement ESG ?
En d’autres termes, que se passerait-il si ces entreprises savent quelque chose que nous ignorons et s’attendent à ce que les gouvernements finissent par intervenir et les sauver avec un plan de sauvetage perpétuel ? Toute entreprise qui suit la ligne en matière de politique progressiste est sauvée. Toute entreprise qui ne le fait pas est laissée à elle-même et s’effondre.
• Théorie n°2 : Et si les grandes entreprises agissaient comme si elles n’avaient pas besoin de satisfaire les consommateurs parce qu’on avait dit aux dirigeants d’entreprise que le système allait s’effondrer à court terme ? Et s’ils avaient abandonné leur mandat de rechercher des profits et étaient devenus des colporteurs de propagande parce qu’ils savent que les profits n’ont plus d’importance ?
Si l’économie était sur le point de subir une déstabilisation semblable à celle de la Grande Dépression (ou quelque chose de pire), cela pourrait alors expliquer pourquoi les PDG d’entreprises ont laissé leurs produits et leurs relations publiques dérailler.
• Théorie n°3 : Il est également possible que le concept de client en tant que serviteur sous contrat de l'entreprise soit une étape médiane vers un avenir orwellien – l'idée de « l'économie du partage » promue par le Forum économique mondial. Et si l’habitude d’essayer de faire honte aux consommateurs pour qu’ils acceptent le produit qu’ils obtiennent avait pour but d’acclimater la population à une culture dans laquelle le libre choix du marché disparaît complètement ?
Dans l’économie du partage (construite autour d’une société sans numéraire), le gouvernement fournit tout alors que vous ne possédez rien. Le principe de la propriété privée s’évapore. Dans ce type d’environnement, le public devrait se contenter de la nourriture qu’on lui donne, du logement qu’on lui donne, des outils qu’on lui donne, du travail qu’on lui donne, des divertissements qu’on lui donne, etc. (Situation assez semblable à celle qui est décrite dans le film ‘Soleil vert’.)
Lorsque les gens reçoivent quelque chose, on s’attend à ce qu’ils en soient reconnaissants, peu importe ce que c’est. Autrement dit, l’économie du partage engendrerait une mentalité d’esclave dans laquelle chacun devrait se contenter du peu qu’il possède. S’ils se plaignent, eh bien, ce sont des petits monstres ingrats dont il faut s’occuper, non ?
C’est ainsi que le monde de l’entreprise traite le public MAINTENANT. Imaginez ce que seront les choses au cours de la prochaine décennie si nous permettons à cette tendance de se poursuivre ? Les entreprises ne peuvent pas nous forcer à acheter leurs déchets DEI aujourd’hui, mais et si demain les gouvernements leur donnaient ce pouvoir ? Et s’ils devenaient les seuls fournisseurs ?
C'est là tout l'enjeu de la guerre culturelle. Il y a ceux qui veulent embrasser le système dystopique (principalement les gauchistes) et ceux qui voient ce système pour le mal qu'il est vraiment. Il y a ceux qui veulent perpétuer le culte de l'éveil et ceux qui le boycottent. Les sceptiques qui restent ignorants de cette guerre n'ont pas d'importance ; ils sont des déchets flottant sans but sur les marées de l'histoire. Ils s'en moquent aujourd'hui, mais ils s'en soucieront dans un avenir proche, lorsque leur liberté de choix disparaîtra complètement.
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