Eric Lorio
22/03/2007
C’est article est très intéressant. En effet, la psychologie -et la sociologie- sont éclairantes dans cette situation.
Rappelons nous que si nous ne pouvons changer une situation, il est plus aisé -à court-terme- de changer la perception de la réalité. Washington est ici expert.
Néanmoins, comme dans toute crise grandissante, la quête du sens devient chaque jour plus cruciale malgré ce travail sur la perception (et de ‘belles’ techniques d’influence.
Et comme Bush ne peut contrôler la totalité du système Réalité-Perception-Réaction, cela présager pas mal de mouvement dans les mois à venir.
Et plus on attend, plus cela risque de bouger fort!
http://www.lorio.eu
Campagnol
24/03/2007
Si on examine cette question sous un autre angle, on arrive aux mêmes conclusions : ça va bouger.
L\‘homme est un animal social, comme les autres primates et d\‘autres mammifères. L\‘individu dominant (le chef, le président) prend les décisions, bonnes ou mauvaises (Irak), les autres s\‘inclinent. La seule valeur qui compte, c\‘est la survie du groupe, qui passe par la soumission au dominant (pensée unique). Les soumis sont récompensés (médailles, promotions). Si un individu isolé ou même un petit groupe veut mettre en avant d\‘autres valeurs ou contester une décision, soit il est chassé du clan (mise à l\’écart), soit il doit défier le dominant pour prendre sa place, et c\‘est un rude combat qui débute (élections, destitution ou coup dans l\‘eau).
Au fond, c\‘est l\‘origine animale de l\‘homme qui le pousse à agir de cette façon. Peut-être est-ce son humanité, sa spécificité d\‘homme qui malgré tout, dans certains cas, les pousse dans l\‘autre sens.
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