Christian Feugnet
06/08/2018
Quand çà veut pas savoir çà s'enfuie la téte dans le sable , les déserts de sables , terrain de prédilection . Point faible , un grand coup de pied réaliste dans les fesses , çà leur remet la téte en place . Méme les déserts sont occupés d'innopportuns . En Iran et Russie y en a à foison qui dérangent ( vocation historique détestable) dans la priére quiéte et satisfaite d'elle méme ..
Christian Feugnet
06/08/2018
çà veut pas voir et çà veut pas entendre non plus . Peut penser que Russes et Iraniens n'aient pas prévus l'attitude ?
EricRobertMarcel Basillais
06/08/2018
Peut-être que ce qui est publié est volontairement tronqué : examiner à ciel ouvert la vérité-de-situation, d'un point de vue pragmatique et guerrier n'est pas "professionnel".
Reste qu'on apprend effectivement beaucoup, et de Morgulis, et de Saker.
Je recommande l'analyse politique d'une option sur cette guerre, de Pat Buchanan
Would War with Iran Doom Trump?
August 3, 2018
• 900 Words
EricRobertMarcel Basillais
06/08/2018
"l'emploi du nucléaire dans une « guerre limitée » représente une rupture du tabou de la stratégie de prévention. Cette rupture ferait alors intervenir plusieurs acteurs multipolaires, compte tenu de la pluralité des puissances concernées par l'issue d'un conflit général.
Le pluralisme stratégique, conventionnel et nucléaire, interdit, dans ce cas, une modélisation rationnelle de l'échange nucléaire et fait de l'incertitude plus radicale, la maîtresse inconditionnelle du conflit, dans l'établissement d'une relation rigoureuse entre multipolarité et dissuasion.
La seule question qui demeure, est à la fois paradoxale et limpide et se décline ainsi : « Peut-on limiter un conflit nucléaire ? »"
Source :
https://editionsbios.blogspot.com/2018/07/multipolarite-et-dissuasion-peut-on.html
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