Ni ANDO
29/10/2010
Julian Assange a récemment promis de publier bientôt sur Wikileaks des séries de documents confidentiels sur la Russie et sur la Chine. Que l’on attend avec intérêt (qu’il n’oublie pas la France !). On voit à cela qu’il n’est point seulement le pourfendeur maniaque du régime de Washington, mais plutôt un trublion utile qui retourne contre le système à la fois sa technologie et le miroir qui révèle toutes les béances de ses “valeurs” en carton-pâte.
Max JAMES
06/11/2010
je n’ai pas trouvé de traduction
http://www.veteranstoday.com/2010/11/02/national-security-alert-f-35-stealth-fighter-spy-cover-up/
Ilker de Paris
19/11/2010
“On” cherche des ennuis à Jullian Assange, la “justice” suédoise a décidé de le poursuivre pour viol. Bien entendu, on ne peut savoir le fond de l’affaire mais que Assange soit l’homme qui ait révélé des documents qui met à jour ce que tout le monde savait mais faisait comme si de rien n’était (ce qui pointe un certain état d’esprit : ce n’est pas la vérité qui compte mais l’état de l’opinion publique qui marche à la publicité etc), documents qui nuisent, fragilisent, discréditent la guerre (de toute manière illégitime) en Afghanistan ou Irak, donc que ce soit cet homme contre lequel quelque chose d’aussi grave qu’une accusation de viol soit faite, n’est certainement pas le fait du hasard.
“On” cherche donc a faire taire un homme qui révèle la vérité, dans d’autres pays non-occidentaux, ce genre d’hommes est considéré comme un héros auquel on attribue un prix (Nobel par exemple), que les médias encensent, quand le pouvoir non-occidental lui cherche des ennuis.
Dans ce cas, les mêmes médias ou ignorent Assange ou essayent de le discréditer, et quand à un prix (Nobel) ? On attribue celui de la paix à un Président en guerre.
La vérité, la justice dans toute cette histoire ? En fait, on a affaire à un une sorte de mauvais théâtre, où des acteurs parés de vertus sortent des lapins de leur chapeau pour un public fatigué et las, qui n y croit plus, mais qui ne sait pas regarder ailleurs.
Mais il est évident (visible) que cet exigence de vertu a de moins en moins cours, et qu’“on” ne va plus jouer aux gentils, au “juste” bien très longtemps. Bref, une page de l’histoire morale (très feinte au demeurant) se ferme sous nos yeux, pour quel avenir ?
Pour poster un commentaire, vous devez vous identifier