Hashem Sherif
29/07/2008
Vous écrivez:
Les Européens ont à sarranger dune psychologie américaniste malade, avec les conséquences multiples quon sait: irrationalité, enfermement et cloisonnement de lanalyse engendrant notamment une impuissance opérationnelle générale à travers les conditions absurdes quimposent les conceptions occidentales (américanistes) (....) Les Européens, qui ont eux-mêmes leurs travers divers plus ou moins inspirés de laméricanisme mais nont pas ce bellicisme exacerbé comme état de leur psychologie, etc., etc.
La question qui se pose désormais est de savoir si Sarkoland est toujours en Europe.
CdC
29/07/2008
à ceci:
‘Les Européens, qui ont eux-mêmes leurs travers divers plus ou moins inspirés de laméricanisme mais nont pas ce bellicisme exacerbé comme état de leur psychologie’
il est au moins une raison, la dernière guerre mondialisée depuis le sol européen a laissé quelques traces. Elle les a conduit à modifier leur politique de domination des zones hors leur territoire ‘national’ qu’ils contrôlent économiquement et même militairement de façon notable dans plusieurs pays d’Afrique.
La question reste posée de définir l’entité Europe de mêm que l’entité USA, fondues dans un agrégat qui se nomme (se pronom réfléchi) la ‘communauté internationale.
Les UsA ont abandonné toutes les fonctions régaliennes accolées habituellement comme attribution à une Nation ou un État, et les nations européennes dont le Royaume Uni puis la France entreprennent le même déshabillage fonctionnel.
Ajoutons à cela les tailles critiques de certaines multinationales qui ont inspiré ‘la globalisation’ et effectivement, nous ne savons plus de qui est le Président de la ‘France’, du CAC40 comme aiment à le dire avec un peu de justesse le peu d’opposants qu’a suscité la récente élection d’un fils d’émigré à la tête de Total, pardon de la France.
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