ZC
22/01/2018
N'y -a-t-il pas quelque chose de profondément diabolique dans les évenements qui se déroulent et qui échappent à tout entendement humain, du moins d'humains doués de raison et capables de mettre de la raison sur des situations aussi agitées soient elles.
Il me semble qu'aucune analyse, prospective ou conclusions n'atteint l'objectif de contribuer à présenter une certaine cohérence aux circonstances que nous vivons ou dont nous sommes témoins, voire simplement spectateurs.
Un an de commentaires sur Trump n'a fait avancer la compréhension du phénomène, ni n'a permis de prévoir quoique ce soit des desseins funestes qui l'animent.
Pour notre propre sécurité mentale, nous adhérons peu ou prou à "DC LA FOLLE".
Ils sont fous ou il est fou, voila une explication médicale claire, mais de quelle folie est-il ou sont-ils atteints?... Est-ce curable? Cela me ramène à une histoire drôle, dont je n'avais pas mesuré la profondeur :
Il s'agit d'un "fou" qui se prenait pour un grain et qui avait donc la phobie des gallinacés.
Après une longue et efficace cure dans un asile, il est convaincu de sa propre réalité: il est bien un homme; prêt donc à afronter le monde, il revoit son thérapeute pour un dernier entretien:
"alors mon bon, vous savez maintenant que vous êtes un homme, n'est-ce pas?"
"Ah ça oui, et merci de m'avoir soigné, je me sens beaucoup mieux, mais quand même une dernière question: la poule elle, elle sait que je suis un homme?"
Alors, Lavrov serait bien inspiré de ne pas croire que l'on peut se soigner de la russophobie, cela fait trop pongtemps qu'elle dure et aucun psychaitre n'est en mesure de lever l'inquiétude feinte ou réelle des fous qui peuplent l'asile "OCCIDENT" et qui se posent sans cesse la question, quand les russes nous mangeront-ils?.
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