Jean-Paul Baquiast
23/08/2012
Ce que vous ne dites pas, cher Philippe, c’est que le chroniqueur-historien de l’époque que vous êtes devenu doit passer des heures et des heures à identifier, sélectionner et interpréter les sources intéressantes offertes par l’internet…ceci avec le sentiment déprimant que l’essentiel lui échappe peut-être. C’est donc toute une vie, hors de toute distractions, qui s’y trouve consacrée.
Votre mérite n’en est que plus grand. Mais on comprend bien que la plupart des gens refusent cette ascèse et se satisfont de la lecture de quelques journaux rassurants, tels Le Monde.
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