François Jéru
13/12/2013
En 1792-93 la « guillotine permanente » était matérielle un triangle d’acier pendu à une poutre, portée par deux poteaux. Les pirates-estrangleurs planqués en des hôtels particuliers, fermés au 99,99%, avaient financé cet engin.
En 2008-13 la « guillotine permanente » est également matérielle, l’infrastructure télématique formant Central-Banking supranational, cosmofasciste (cosmoTotalitaire), infrastructure dont le Nomos jurififi n’est pas même celui de corsaires-pillards attendant Lettres de Marque d’un Roy. Les pirates-estrangleurs ont incognito financé les infrastructures d’incarcération des peuples [ BIS-1930, IASB, Carteles IG_Farben, WB-1945, FMI-1945, Traité Giscard 1973, Euroclear, ECB, IIF, etc. ].
la « guillotine permanente » est si parfaitement à sa place que la question dune comptabilité morbide nimporte guère. Il y a du symbolisme, il y a lunicité, la centralité de la chose qui liquide, le claquement sec du couperet qui tombe, de l’échéance d’intérêt et de dette (ou garantie), et les proclamations sacralisées de la civilisation “Défense de la démocratie”, de l’UE ... la croissance pour un nombre toujours plus réduit de netSlaves rentables. Les supposés “non rentables” ... selon le Nomos BIS & IASB doivent impérativement être portés sur l’une des listes “coupes sombres” intitulées “Plans Sociaux RSE”, responsabilité sociale d’entreprise ou “Plans Sociaux de Bonne Gouvernance” selon les “Group_of_Four_(audit)- Best Practices”.
Citation
la Révolution semble ainsi se résumer, grosse de sang et de massacres certes, mais remarquablement svelte, concentrée en une construction à la fois efficace et symbolique, comme si tout se passait ici et nulle part ailleurs, et comme si, pourtant, il était déjà écrit que nul ny échappera jamais La ferraille et la matière, qui ne peuvent mieux sexprimer que dans lacier froid de « la guillotine permanente », et bientôt dans la puissance de larme qui ne cesse plus détendre le poids de sa force et sa capacité de brisance, installent leur empire sur le monde.
Ajustons à 230 ans d’intervalle :
La prétendue civilisation XoffSystem (supra_G20) semble ainsi se résumer, grosse de sang et de massacres certes, mais remarquablement svelte, concentrée en une construction à la fois efficace et symbolique, comme si tout se passait dans les cénacles NWO ( Comité des 300, Trilatérale, CFR, Bilderberg, Davos, Reichsbank-BoE-FED-BdF-BRI supra RiiA-OSS) et nulle part ailleurs, et comme si, pourtant, il était déjà écrit que nul ny échappera jamais. Sarko : Le NWO vous l’aurez que vous le vouliez ou non [xxx]. La ferraille (hardware) et la matière de faussaires (logiques 0-1), qui ne peuvent mieux sexprimer que dans le froid acier harddrive de « la guillotine permanente », dans la puissance de larme cyber qui ne cesse plus détendre le rythme de sa force et sa capacité de brisance, renforcent leur empire vorace sur le monde.
eden-saga.com/fr/mythologie-grecque-les-titans-l-age-d-or-le-regne-de-cronos
La ferraille hardware-software en inversion de toute éthique élémentaire, monopolisée hors des lois parlementaires, hors des lois natioPatriciennes ou populaires, plate-forme truquée de racketteurs systemiques en casino mafieux incontrôlable est faussement dénommée ‘Marché’. Le Marché est demi-Dieu. La libre circulation des capitaux du Marché est demi-déesse.
Cet Olympe supra_G20 ordonne sa liturgie; il est le centre inspirateur de la danse macabre du Système Ubak. La chorégraphie est menée par livresse du sang et la musique hystérique des spreads générateur du maximal Cumulative discounted cash flows in the long run.
Les écrans des valeurs ‘spot’ majestueusement trônent, le mot est dit, au coeur des TV Studios of Daily News. Emissions de zig-zags souverainement fous, fondés sur une infrastructure de cinglés.
Personne ne voit plus le départ du projectile. Celui-ci, lobus, le supplément de dette, le complément de non rentable, devient chose en soi, évoluant dans son univers, choisissant son objectif dans notre univers, mugissant et hurlant en plongeant vers lui sans quil ne se garde de rien. . . . lidéal de puissance
«
sous un bombardement lent et continu, qui semble méditer de nous tuer à petit feu ».
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