Christophe
30/08/2016
A la lecture de cet article, j'ai pensé aussi à henry Miller et à son constat dans "Le cauchemar climatisé" :
''J’avais l’impression de marcher dans le sillage d’un géant en folie qui avait semé la terre de ses rêves hystériques. Si seulement j’avais vu un cheval, ou une vache ou même une chèvre décharnée en train de mâchonner des boîtes de conserve, quel soulagement ç’aurait été. Mais on ne voyait rien qui appartint au règne animal, végétal ni humain.''
Je pense aussi à Mario Soldati "Amérique, premier amour" et à sa critique des italiens d'amériques qui ont l'air italien, mais ne sont plus que des ectoplasmes, des représentations d'italiens.
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