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Article : Communication versus complot, ou “qui gagne perd”

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instabilité

Arrou Mia

  04/05/2011

de la vérité en surfusion, labilité de l’humeur, réarrangements entre amis de l’histoire la plus récente quand ils la composent eux-mêmes ou croient la fabriquer. Espiègle, elle s’en revient vers eux chargés des variantes les plus diverses, entachées du SOUPçon.

Certes, mais peut-être gît-elle là, tout simplement, la raison première:
http://www.washingtonpost.com/national/with-bin-ladens-death-us-sees-a-chance-to-hasten-the-end-of-the-afghan-war/2011/05/03/AF3TlNjF_print.html
ie en finir avec l’engagement armé terrestre en Afghanistan.

Quelle bouffonnerie !

Pascal B.

  04/05/2011

Pour blinder la narrative, pour que le monde entier soit persuadé qu’un événement exceptionnel avait (bien) eu lieu, il y eut l’invraisemblable témoignage en direct que constitue la projection du film dans la salle prévue à cet effet.

On s’y serait cru avec les participants retenant leur souffle, les yeux exorbités et tout le tintamarre de circonstance.

Après ça, comment le pékin lambda irait imaginer que tout ça c’est trop parfait pour être réel !  Et puis ce corps jeté à la mer ; qu’est-ce que c’est que ce bordel !

Mais pour penser à ça, il fallait d’abord se défaire de la scène obsédante de 13 pontes réunis à la maison blanche pour assister eu déroulement de cette formidable opération ... dont semblait dépendre le sort du monde ... pendu au regard puis aux lèvres de Obama ayant buté Osama !

Quelle histoire à dormir debout ! Faut vraiment être américrétinisé pour gober ça sans piper mot !

ben Laden ou son spectre

Pascal B.

  05/05/2011

ce n’est pas tant Ben laden qu’il fallait supprimer que son spectre aux yeux de l’opinion public; car mort ou vivant, ben laden occupait la scène depuis neuf ans. comme dans les séries,, les scénaristes savaient qu’à un moment donné il faudrait le faire mourir.

Peu importe que ce soit pour de faux ; du moment que comme dans les films, les gens y croient ! Sauf que là le film dure depuis longtemps, depuis le jour où il s’est substitué imperceptiblement à la réalité !

Dans le cahier des charges, il fallait une mise en scène finale qui glorifie America and his president. America is back. Le bien a terrassé le mal. On en oublierait presque l’enlisement en Afghanistan ...