jean-jacques hector
18/11/2013
Vous dites:
“Ici, limpression est très forte dune absence de freins et même simplement de contrôle à certaines tendances de lesprit dominant et aux actes qui en découlent, et aussi dune impossibilité à la fois psychologique et opérationnelle, bureaucratique et législative, de revenir en arrière une fois les mesures mises en place.”
Ouais…Si on veut…
Lorsqu’il s’agit de revenir en arrière notre président-poire n’hésite pas longtemps dés lors que la “populace” montre les crocs.
Idem pour les lois nationales édictées par l’état providence en 1945, que la loi, toujours elle, sait révoquer sans état d’âmes pour complaire aux puissants malgré les rues envahies par millions.
Si la peur du gendarme est le commencement de la sagesse pour le vulgum pecus, la peur du docteur Guillotin pourrait rendre le sens commun à nos maîtres, ça c’est déjà vu.
jean-jacques hector
18/11/2013
Ces faits troublent-ils le sommeil de nos droitsdel’hommistes institutionnels ?
Où sont les pourfendeurs du vrai goulag, le méchant, le russe ?
Le barbarie à visage humain est en villégiature au Maroc et les maîtres penseurs ont pris leur retraite semble-t-il.
Jean-Paul Baquiast
18/11/2013
Je suis persuadé que ces pratiques pénales inadmissibles en Europe survivent aux USA parce que, comme l’indique le NYT d’ailleurs, les victimes en sont en grande majorité des Noirs. Les Blancs, toujours racistes au fond d’eux-mêmes, s’en réjouissent (inconsciemment, si l’on veut). Quant aux Noirs “établis” ils ne veulent pas protester, pour ne pas se mettre socialement en danger.
mumen
18/11/2013
A qui profite le crime ?
Au système pénitentiaire étasunien. A qui appartient le système pénitentiaire étasunien ?
Même plus la peine de chercher des liens qui montrent, qui disent, on sait que c’est comme ça que ça se passe. Les prisonniers rapportent : par les subventions et comme main d’oeuvre bon marché.
La messe est dite.
Ils ne décrivent pas le monde comme il est.
dominique
21/11/2013
L’article du NYT est traduit sur le site LGS avec le titre “Le goulag Étasunien : La perpétuité sans remise de peine pour le vol dun uf” http://www.legrandsoir.info/condamnes-a-la-mort-lente.html
et un renvoi à l’article de Dedefensa
Schlachthof 5
21/11/2013
Malgré ce que pensent d’aucuns, le phénomène de privatisation (et de dé-légitimité) du secteur public est en cours dans tous les États du bloc BAO et pas seulement aux USA.
Privatisation de l’enseignement (universités financées par le privé), privatisation des administrations communales à la mode anglo-saxonne (ex: en Suisse la tentative de Berterlsmann Horizons et débats.ch), privatisation des services pénitenciers, privatisation de la voie publique (les sociétés privées gèrent les amendes de parkings ou d’infraction au code de la route - et bientôt les constats d’infraction eux-mêmes)...
Les difficultés budgétaires orchestrées dans toutes les administrations publiques européennes permettent à ces mêmes entreprises multi-nationales d’avoir la main-mise sur toutes les activités régaliennes et de déconstruire ainsi, subrepticement, la Société - vers une Société Corporatiste ?
Pour le matérialiste, l’homme vaut le poids de son utilité dans l’économie globale de la ruche ou de la termitière.
Le jardin de Vieux Jade
Pour poster un commentaire, vous devez vous identifier