Philippe Le Baleur
22/11/2013
Ici nous sommes confrontés à la rude tâche d’expliquer le concept “inexplicable”.
Par nature, et par complexité, ce concept mérite sa place dans le bestiaire de Dedefensa, parmi les “Déchaînement de la matière” et autres “Dissolution”.
D’abord, pour ne pas froisser les rationalistes -et les éditorialistes prudents!- il faut dépouiller l’Indicible de sa personnalité; qu’on n’aille pas nous bassiner avec l’icône naïve du Diable, et nous ridiculiser comme “conspiracy theorist”. L’Indicible sera donc un concept philosophique.
Ensuite, pourquoi ne pas plonger tout de suite dans les profondeurs ultimes de la jungle du Système, fosse pleine d’intermédiaires politiques, de relais d’influence, de businessmen, de militaires, et puis des pantins, des decoys, des marionnettes, des dummys, des scapegoats, des hommes de paille à la pelle?
Tout au fond du trou, pour ainsi dire dans les enfers, il y a le principe qui anime le Système, une entité indicible, que l’on peut définir par ses actions dans notre monde. Cette entité non matérielle, immortelle, non humaine, semble avoir un goût prononcé pour le désordre, mais juste chez les autres. A l’intérieur, l’Indicible aime au contraire un ordre de fer, une structure rigide fa
Philippe Le Baleur
22/11/2013
Un ordre de fer, fait pour résister à toute pression.
... Mais il y a des lois naturelles, comme l’entropie. Générer l’entropie, c’est à dire une tendance au désordre à l’extérieur, et tenter de garder la vie et l’ordre intérieur (entropie négative, ou néguentropie, car ce concept est vivant, personnel ou pas), cela requiert une dépense considérable d’énergie, une tension qui s’accroît au fur et à mesure où la conscience populaire des êtres humains monte vers plus d’information et plus d’esprit.
Indicible, c’est inexprimable par définition. Cela s’adore soi-même, et cela ne peut pas se supporter. Cela aime l’ordre et le désordre. Cela veut un pouvoir absolu, mais cela hait le pouvoir des autres.
Si l’on en reste à un concept philosophique, c’est un hiatus permanent entre toute paire d’opposés, une “entropisation”, comme vous dîtes.
Mais si c’est une personnalité, c’est un TDI, ou trouble dissociatif de l’identité. Le traumatisme qui a conduit à cette situation mentale est la tension entre l’amour du genre humain, et une haine indicible, incontrôlable du genre humain.
Comme le dit JR Tolkien, l’Indicible, c’est Morgoth, librement traduit des runes nordiques par l’expression: “ennemi du genre humain”.
sylvain michelet
22/11/2013
Kennedy
Food for parano : trop de coïncidences relient les assassinats des présidents Lincoln et Kennedy ! Les deux hommes furent élus à un siècle décart (1860, 1960). Leurs assassins, nés en 1839 et 1939, les atteignirent à la tête et furent eux-mêmes abattus avant dêtre jugés. Leurs successeurs, nés en 1808 et 1908, sappelaient tous deux Johnson, avaient été sénateurs démocrates dun État du Sud et moururent exactement dix ans après eux. Leurs femmes, dont chacune avait perdu un enfant lorsquelle habitait la Maison Blanche, étaient présentes sur les lieux du crime, où elles leur avaient cependant conseillé, par pressentiment féminin , de ne pas se rendre. Laffaire se corse aussi de coïncidences croisées : la secrétaire de Lincoln sappelait Kennedy, et celle de Kennedy, Lincoln ! Alors que Lee Oswald tira sur Kennedy depuis un entrepôt et se réfugia dans un cinéma (movie theater en anglais), John Booth tua Lincoln dans un théâtre et se cacha dans un entrepôt. Même les chiffres sen mêlent : les noms des présidents, vice-présidents et assassins ont, par paire, le même nombre de lettres. Kennedy et Lincoln : 7 lettres ; Andrew Johnson et Lyndon Johnson : 13 lettres ; John Wilkes Booth et Lee Harvey Oswald : 15 lettres. Mais qui a pu monter cet incroyable scénario ?
Source : Encyclopédie Time/Life de l’Extraordinaire
Dominique Larchey-Wendling
22/11/2013
Geraldo Lino
22/11/2013
I just remind you about the important helping hand that the SDECE intelligence agency gave in 1968 to the elucidation of the JFK murder, with the book “Farewell America”, written by a team of its experts under the pen name of James Hepburn. The general structure of the plot is all there, and in general it coincides with the result of the investigation that was being made in parallel by New Orleans DA Jim Garrison, who by the way had access to the book.
Jean-Paul Baquiast
22/11/2013
Que l’on parle d’Indicible, ou de Système (Système US pour la domination du monde), nous ne pouvons que nous persuader, cher PG, qu’il n’est pas moribond ou en crise, comme vous le suggérez parfois, mais au contraire plus fort et polyvalent que jamais. Voyez par exemple qu’à la domination toujours actuelle de la CIA, du FBI et du CMI s’ajoute le véritable filet qu’a étendu sur les intelligences du monde un web américain dominé par les diverses NSA (dont le faussement innoffensif Google), filet destiné à capturer et neutraliser ceux qui s’opposeraient à cet Indicible.
Certains diront: mais ce Système n’est pas si puissant que cela, puisqu’il laisse s’exprimer des opposants multiples, dont vous-même. Je répondrai que ce type de défense est ancien: laisser dire les opposants pour mieux les connaître et les désarmer - y compris un jour les leaders à coups de drones. Comme ils ont fait avec Kennedy en son temps.
En tous cas, merci pour nous avoir fait connaitre le livre que vous commentez. Je ne le connaissais pas et vient de le commander. ..Chez Amazon of course.
olivier taurisson
22/11/2013
Ou bien la Vérité indicible du monde? Effet naturel du déchaînement de la matière, effet du dérèglement de la matière, fission de l’atome oblige, seconde dissolution de l’âme humaine, Fukushima pour preuve, notre terre ne supporte plus l’irrationalité de l’homme…et nous sommes tout près de l’irréversibilité de l’auto-destruction promise,l’Indicible avance à grands pas sous couvert de la Cécité du genre humain.
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