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Outre les rappels déjà écrits dans cet article sur la manipulation des FOULES voire les “false flags” ou “happenings terroristes”, je tiens à souligner que nos tergiversations sur toutes ces histoires de liberté d’expression sont fondées sur les prémisses des temps réformés puis modernes-libéraux : l’homme est doué de raison et de libre arbitre pour en user au mieux.

Or cette prémisse est intégralement FAUSSE

Non seulement, nous savons qu’en tant que FOULE il n’a pas 2 de QI mais les réflexes des moutons de Panurge, mais il y a pire et je dois vous livrer mon amère découverte :

Même pris individuellement, même avec un QI standard (100), le simien standard commence par imiter avant de réfléchir; conséquence : il s’enferre d’abord dans un faisceau de conditionnements accourant de tout son environnement naturel et humain….la fameuse condition humaine.

Dans ces conditions, il n’est jamais LIBRE en SOCIETE. JAMAIS.
c’est Pasolini qui m’a soufflé cette conclusion outrancière mais j’en étais pas loin…

angoulmois.hautetfort.com/archive/2015/02/24/argent-sadisme-absolu-pasolini.html

Bien évidemment, il pâtit quand même aussi des “progrès” accomplis dans le dressage des foules et le “lavage” des cerveaux individuels, sans parler des manipulations des sévices spéciaux et de la “puanteur” (  puanteur = « smrad » en russe, sur les initiales de moyens de publicité de masse, d’agitation et de désinformation ).

Mais la question de sa LIBERTE est fondamentale : la prendre pour acquise, c’est non seulement admettre les prémisses de la société libérale-libertaire mais c’est faire fausse route métaphysiquement.

LIBERTÉ D’EXPRESSION : dans le bloc de constitutionnalité, c’est la première des libertés, la liberté y étant elle-même le premier des quatre droits de l’homme d’août 1789, avec la propriété, la sûreté et la résistance à l’oppression.
« Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la loi. » Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, article 10, proposé par Boniface Louis de Castellane (1758-1837, emprisonné sous la Terreur) et l’évêque Jean-Baptiste Gobel (1er septembre 1727 - mort guillotiné le 13 avril 1794).
« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme ; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi. » Déclaration ..., article 11, proposé par le duc Louis-Alexandre de La Rochefoucauld d’Enville (1743 - tué le 4 septembre 1792 par des volontaires qui faisaient la chasse aux aristocrates).
La liberté d’expression doit donc valoir pour tous, et pour tous les sujets, même les croyances subjectives (religieuses notamment). À défaut, ce ne serait qu’un privilège. Cette liberté est, bien au delà de son aspect de démocratie politique, la condition de l’objectivité de la connaissance et de la transmission non dogmatique des savoirs.