David Vernichon
26/06/2013
Je le fais de nouveau aujourd’hui, mais voilà de nombreux mois que je ne vous avais pas soutenu. D’une part parce que je n’étais pas forcément en fonds.
Mais surtout parce que je ne suis pas forcément d’accord avec certaines des choses que vous exprimez : par exemple j’ai eu l’impression à de nombreuses reprises que votre admiration des russes débordait largement d’une reconnaissance de leur “influence structurante”.
Et comme ils ne sont, après tout, que des gens agissant dans leur intérêt bien compris (=des salauds comme tous les autres), je ne vois pas pourquoi béer d’admiration devant eux.
Bref, je ne suis ni américanophile ni sinophile, et je ne vois aucune raison non plus pour être russophile. Ou phile de qui que ce soit d’autres d’ailleurs.
Si je me trompe j’en suis désolé. Et si je m’exprime mal aussi, je n’ai certes pas votre plume ni votre clarté d’expression (encore que… pas toujours, mais ce sont sûrement mes propres limites intellectuelles qui me freinent…).
Néanmoins je pense que vous méritez d’être soutenu, raison pour laquelle je l’ai fait, je le fait aujourd’hui, et je le ferai certainement à nouveau dans le futur.
Stephane Eybert
26/06/2013
Et c’est chose rare. La conversation avec ce Monsieur David Vernichon doit etre quelque chose de fort plaisant. Quand a moi, je suis quand meme un petit peu russophile, mais ca n’a rien a voir avec la politique et plus avec la culture et les gens.
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