Exocet
06/04/2009
Les termites (..) attaqueraient ils encore la ligne maginot pour y voir leur propre reflet?
Dans ce cas ,l’échec est à la mesure du no man’s land…
Crapaud Rouge
06/04/2009
“se grimer en Churchill, ajoutant lirresponsabilité à lerreur par la tromperie acceptée en tant que telle, comme si elle nétait pas tromperie. Dégoût ou nausée, au choix, pour ce système” : c’est la conclusion la plus pessimiste et la plus lucide que j’aie pu lire sur le G20. Comme elle nous ramène au virtualisme, je commence à me demander si ce mode de fonctionnement ne serait pas de type psychotique, et dores et déjà installé à demeure comme une psychose. Quun même principe, celui de la concurrence, permette de justifier toujours plus de « soupline » pour les uns et toujours plus de rigueur pour les autres, (http://www.lesechos.fr/info/finance/afp_00136043-banques-les-europeens-demandent-un-assouplissement-des-normes-comptables.htm), quil pousse tout le monde à sassoire sur la morale et tende à se substituer au « principe de réalité », me semble typique de la psychose, caractérisée par « une désagrégation psychique (ambivalence des pensées, des sentiments, conduite paradoxale), la perte du contact avec la réalité, le repli sur soi » (Petit Robert).
dalembert
06/04/2009
Munich & communication:
Comparez les photos des participants à la conférence de Munich avec celle du dernier G20.
Elle est pas belle, la vie ?
Moktar Ama
06/04/2009
...notamment quand vous citez les médias attribuant la hausse du marché au résultat du G20 (ou à la confiance des élites compte tenu de la belle manifestation d’unité qu’ils voulaient au G20) .
En effet, ne pensez-vous pas que le vote de la nouvelle règlementation comptable US (après un lobbying féroce de wall street), qui soulage immédiatement les bilans des banques du pays (en leur permettant de revenir à la côte-au-modèle maintenant que celle-ci est supérieure presque partout à la côte-au-marché des actifs notamment les pourris) , ne soit le facteur principal (et négligé médiatiquement) de la hausse de marchés jouant ici la survie du systême ?
On a effectivement l’impression que BHO est coincé entre Wall Street et une volonté profonde d’arriver à changer quelque chose (ce qui ressort par l’iconoclasme de certains propos).
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