ph.del
09/12/2008
et si le “non” de ces 200 présentait un lien même ténu, lointain et indirect avec l’esprit de rébellion qui étreint la Grèce…?
et si la Crise - celle qui souffle là, maintenant et partout où le regard se portera, celle qui suivit “la longue attente de la crise”, qui en fut le prodrome, par dérivé et précipité financier interposé - n’était que le prélude à une rébellion plus ample, à un “non” plus vigoureux parce que désanchanté?
Il pourrait être passionnant de chercher à esquisser les formes mais surtout les effets de ce “non”, qui s’il devait se vérifier, pourrait éventuellement présenter l’effet (pervers?) de sauver le système malgré lui.
merci pour vos commentaires pertinents
Stephane Eybert
12/12/2008
Bush etait le cheerleader offert par la dollarklatura de Wall Street aux americains bon teint. Sa mission a ete de les distraire, comme un chauffeur de salle ou de studio tele. Ses producteurs lui ont meme fournit tout ce qu’il faut en effets speciaux avec la superbe mise en scene du grand mechant loup, un beau jour de Septembre 2001. Il est vrai qu’il n’avait pas le choix. Et en fin de journee ce jour de Septembre, il montait sur les barricades pour faire danser la foule espectative. C’etait l’epoque ou l’on pouvait encore se permettre de faire la fete.
Mais aujourd’hui, devant la pauperisation de cette amerique bon teint, accompagnee de cette fatigue imperialiste, il faut offrir un autre theme a cette populasse, nouveau public qu’il faut maintenant “raisoner”. Car cette derniere n’est plus si blanche ni si riche. Elle sait qu’elle ne dansera plus. Alors le cheerleader s’adapte et change de couleur, tel le cameleon.
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