Ni ANDO
30/10/2009
SOROS est l’un de ces commensaux du système qui craignent, plus que tout, sa remise en question. Le gigantesque parasitisme économique que représente la finance anglo-saxonne trouve en Soros l’un de ses plus emblématiques représentants. Ce que veut Soros c’est que rien ne change quitte à substituer un acteur (les EU) par un autre (la Chine). Mais ici les choses sont un peu plus complexes qu’une partie d’échecs. Cette proposition ne montre en en fait qu’une seule chose: la profonde méconnaissance que des personnages comme Soros ont du monde tel qu’il est réellement (et en particulier une incroyable ignorance de l’histoire). A trop regarder CNN ou FOXNEWS on finit par perdre le sens du réel.
Roger Leduc
31/10/2009
En 2007, Libération annonce la création de lEuropean Council on Foreing Relations (lE.C.F.R), sous le patronage du milliardaire, Juif et sioniste, Georges Soros.
Beaucoup ne savent pas que lEuropean Council on Foreign Relation, cest le prolongement européen du C.F.R , (Council on Forein Relations), tête pensante avec le R.I.I.A, le Royal Institut for International Affair. Ces deux organisations, enfantées après la Première Guerre mondiale par la société secrète Round Table qui regroupe la Fabian Society, lordre de Yale (Skull and Bone) et le groupe Bilderberg dont les dirigeants sont membres du cercle intime du C.R.F.
Quelques détails pris sur Wikipedia concernant le C.R.F. et le groupe Bilderberg :
CFR
Conseil des relations étrangères
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Council on foreign relations
Domaine d’activité : relations internationales
Création : 1921
Personnes-clés : Richard N. Haass, Président
Gary Samore, directeur
Orientation politique : atlantiste
Siège : New York
Chapitres : plus de 100 aux Etats-Unis
Nb membres : 4200
Publications : Foreign Affairs
Site Web :
cfr.org
Think tank
Le conseil des relations étrangères (Council on Foreign Relations ou CFR) est un think tank américain, ayant pour but d’analyser la situation politique mondiale et de conseiller le gouvernement des États-Unis en matière de politique étrangère. Fondé en 1921, il est composé d’environ 4 000 membres (4 254 en 2004) issus du milieu des affaires, de l’économie et de la politique.
Sommaire
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1 CFR et gouvernement Obama
2 Modus operandi
3 Influences politiques
4 Livres
5 Notes et références
6 Liens externes
CFR et gouvernement Obama [modifier]
Un grand nombre des membres du gouvernement Obama sont membres du CFR : Tom Vilsack à l’agriculture, Ken Salazar à l’intérieur, Robert Gates à la défense, Timothy Geithner au trésor, etc.
Modus operandi [modifier]
En fonction des analyses menées, le CFR publie le magazine Foreign Affairs et propose des résolutions (de type politique, militaire ou autre) au gouvernement américain. Il exerce une influence certaine sur le rôle que jouent les États-Unis sur la scène internationale.
Il siège à New York, et possède des bureaux à Washington DC.
Aussi, étant donné son influence, son opacité et la discrétion que lui concède les médias, et bien qu’il soit aujourd’hui quelque peu éclipsé par le think tank néoconservateur PNAC, certains voient en lui le véritable organe décisionnel de la politique étrangère des États-Unis, et de fait, au vu de la puissance américaine dans le monde, l’un des plus importants lobbies au monde. Beaucoup de membres du CFR sont également des Bilderbergers, tandis que d’autres sont membres de la Commission Trilatérale, autant de groupes régissant l’économie et la géopolitique mondiales.
Influences politiques [modifier]
Certaines personnes, telles le cinéaste Aaron Russo1, qui fut ami de Nicholas Rockefeller, prétendent que les intérêts défendus par le CFR sont ceux des principales multinationales, arguant par exemple que la famille Rockefeller y a joué un grand rôle. De ce fait, certains considèrent que le pouvoir de cet organe est, d’une part, trop important, et de l’autre, qu’il n’obéit qu’à une minorité de personnages très riches.
Le CFR contrôle aujourd’hui l’administration américaine au terme d’une inflitration progressive de toute la branche exécutive du gouvernement américain : Tom Vilsack à l’agriculture, Ken Salazar à l’intérieur, Robert Gates à la défense, Timothy Geithner au trésor, etc. Certains avancent aussi que les membres du CFR contrôlent la CIA. Jusqu’à présent, tous les directeurs de la CIA auraient été membres du CFR, de même que la plupart des présidents depuis Franklin Roosevelt ainsi que les militaires les plus hauts gradés.[réf. nécessaire]
Un courant culturel américain de type a élaboré une véritale mythologie autour du CFR, en avançant que ce dernier est contrôlé par un groupe de personnes issues des sociétés secrètes d’étudiants des universités de Yale et Harvard : le Skull and Bones et le Scroll and Key. Ces personnes, après leur prétendue intégration dans un groupe d’élite appelé « JASON Society », seraient élues par leurs pairs pour constituer le comité exécutif du CFR.
Selon les théoriciens de la conspiration, le CFR contrôlerait également la grande presse, car la plupart des grands journalistes américains en seraient membres. La question du contrôle de la presse par les intérêts privés hors du cadre de la théorie du complot a été étudiée de manière plus générale par Noam Chomsky et Edward Herman dans un modèle de propagande.
Groupe Bilderberg
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Le groupe Bilderberg, ou conférence de Bilderberg, ou encore Club Bilderberg est un rassemblement annuel et informel d’environ 130 membres, dont la plupart sont des personnes d’influence dans les domaines des affaires, des médias et de la politique. Les participants sont essentiellement américains ou européens.
L’idée de la création de ce groupement date de 1952. Depuis 1954, cette conférence réunit sur invitation environ 130 personnalités diverses issues du milieu des affaires, des études académiques ou politiques de différents pays. Ses membres, des hommes politiques, des industriels, des banquiers, et des journalistes, s’appellent eux-mêmes les « Bilderbergers » ou « groupe Bilderberg ». Dans ce contexte, aucune source valable n’étant réellement vérifiable, il convient d’être très prudent. Du fait du caractère très confidentiel des conférences et de sa non-médiatisation, le groupe a longtemps été considéré par certains comme une société secrète. Parmi les reproches émis à l’encontre de ce groupement, on notera la crainte de voir une structure collégiale abritant un petit nombre de personnes influentes et puissantes prendre des décisions importantes en économie ou en politique sans aucun contrôle démocratique par des tiers. Le groupe Bilderberg demeure toujours aujourd’hui l’un des dossiers du conspirationnisme. Depuis la chute de l’empire soviétique, les amateurs de théories du complot attribuent notamment à ce puissant lobby l’orchestration de la mondialisation économique.
Une belle brochette de Juifs sionistes (et partisans), aux ramifications internationales. Les organismes subordonnés au C.F.R existent dans toute lEurope et une grande partie de lAsie, Chine et Inde comprises, depuis plus de soixante ans.
Je crois personnellement que lhistoire derrière lHistoire, lhistoire secrète, est dune importance capitale dans la partie déchec qui se joue actuellement. Soros nest quun pion, mais je crois quil ne faut pas sous-estimer ceux quils représentent… et qui avancent le pion.
Francis Lambert
06/11/2009
... ce paradoxe qui ne cesse d’interpeller l’épargnant/contribuable sur le dos duquel tout semble reposer. Le marché redoute plus que tout au monde la matérialisation des premiers signes d’embellie sur le front de l’emploi et de la consommation car cela annoncerait la fin de l’argent gratuit. (...)
Wall Street veut bien d’une “reprise” mais à condition qu’elle soit laborieuse, fragile et surtout très lente. Infiniment lente de telle sorte que l’argent demeure gratuit le plus longtemps possible, afin aussi que les spéculations tous azimuts alimentées par les flux financiers dégagés via le carry trade puissent se dérouler dans des conditions de visibilité optimales.
Le pari sur une amélioration de la conjoncture n’est qu’un alibi. Les marchés espèrent tout le contraire, (...)
D’ailleurs, à part Warren Buffet, qui vient de s’acheter un réseau ferré pour 44 milliards de dollars, aucun financier de Wall Street n’investit ses excédents de cash dans “l’économie réelle”.C’est bien trop aléatoire, beaucoup trop long et très mal vu de la part des agences de notations.
La preuve, Berkshire Hathaway risque de perdre sa notation triple A suite au rachat de la compagnie de chemin de fer Burlington Northern Santa Fe. Encore une preuve que la logique des marchés déraille !
Extrait de “L’argent des plans de relance n’atteint pas l’économie réelle” par Philippe Béchade 2009/11/06
http://www.la-chronique-agora.com/articles/20091106-2257.html
pierre vaudan
09/11/2009
Bonjour,
Dans plusieurs interventions, vous parlez des Etats-Unis comme d’une construction anti-historique, un assemblage utilitaire, sorte de conglomérat dont les habitants seraient plus actionnaires que citoyens bref, d’un Etat imposteur.
Il me semble que ces définitions pourraient également s’appliquer à Israël et je souhaiterais votre point de vue sur le sujet.
Suivant de près l’évolution du conflit israélo-palestinien depuis des années, il me semble qu’il y a là un aspect des choses qui peut expliquer en grande partie la paranoïa dans laquelle baigne le gouvernement actuel, mais aussi le caractère historiquement belliqueux d’un Etat sans doute peu sur de lui-même de par la faiblesse de sa légitimité historique justement.
Bien à vous
pierre vaudan
georges dubuis
12/11/2009
L’homme du ressentiment hargneux TYPIQUE sous haute pression identitaire est arrivé LA, les lecteurs du figaro sont désespérés, ils cherchent eux aussi une nouvelle niche pour aboyer ou pour qu’on aboie a leur place, c’est ca aussi la CRISE.
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