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En ces temps troublés il conviendra de ne pas s’en tenir à l’intuition basse, chaque peuple va être tenté de rejouer ses mythes fondateurs.

Quand Eschyle au vautour dispute Prométhée,
Quand Juvénal défend Rome aux tigres jetée,
Quand Dante ouvre l’enfer aux tyrans qu’il poursuit,
Ces hommes sont pareils à l’antique euménide ;
Leur face, qu’illumine une lueur livide,
Semble un masque d’airain qui parle dans la nuit.

Comment ne pas voir que les Grecs sont en train de nous rejouer le mythe de Prométhée, le système (ZE-US), intelligent, a déjà jeté Pandore dans les bras d’ Epiméthée (celui qui ne réfléchit pas) lien.

Déjà les visions manichéennes l’emportent : Celui qui demande à entrer en religion doit savoir que les deux principes de la lumière et de l’obscurité ont des natures absolument distinctes… lien

St Augustin lui même fut séduit lien

Bien où mal, il faut choisir : L’œil était dans la tombe et regardait Caïn

Et pourtant en cette ère de globalisation, certains peuples nous disent que Bien et mal procèdent d’une même illusion

Par la pensée sans pensée
Dirigez votre attention vers l’intérieur
Afin d’examiner l’étincelle divine.
Lorsque votre pensée ne peut aller plus loin
Elle retourne à la source
Où la nature et la forme
Le noumème et le phénomène
Ne sont pas doubles mais un
Maître Isan

Il nous faudra donc de l’intuition Haute, pas d’inquiétude tout cela se fera en LIVE ...

anti-civilisation, anti-culture systematique contre le 99%
Peu est à conserver, les mythes nécessaires sont manquants;
———
sont en train d’introduire un bouleversement du monde qui va renverser deux siècles, et sans doute plus, – jusqu’à cinq siècles de notre Histoire marquant l’ambition la plus folle, la plus extrême, la plus aventureuse d’une raison humaine tombant dans la piège de la puissance de la matière et y sacrifiant jusqu’à l’âme de l’être
Pas de sortie possible sans remonter au moins à 1000 avant Jesus non crucifié.

Message pour l’auteur. (Il manque une page contact au site ...)

Cet article axé sur l’origine du mal et le parallèle avec Rumsfeld m’a tout de suite fait pensé à cette série d’article de Laurent Guyenot sur la double imposture du 11 Septembre.

http://www.egaliteetreconciliation.fr/_Laurent-Guyenot_.htm

En espérant que la réputation sulfureuse du leader du site hébergeur ne soit pas un frein à la lecture, il y a 4 parties très détaillées dans cet article qui sont comme un écho à votre article ou il détaille une double imposture sur le 9/11 et sur Kennedy.

Cet évènement est majeur et est même fondateur, un signe de l’effondrement du système (pour nous) ou de sa mutation vers un futur meilleur (pour eux dans les 2 sens du terme). Je ne veux pas rentrer dans le babillage des “théorie du complot” ou de la stigmatisation d’un peuple ou d’un pays, pas du tout, mais cet article met en mots, le niveau de complexité de la pensée du mal (anticipation d’un 1er niveau de “complotistes” avec une redirection vers l’état/armée US pour cacher les réels commanditaires ?), du nombre de petites mains coopérant (des sayanims du mal pas d’Israël uniquement), son absurde et simpliste message explicatif de l’évènement (Al Quaida).

Je lis aussi en ce moment les Essais de Michel Drac qui explique la même chose que vous avec son cheminement à lui sur l’utilisation des théories raciales/racialistes, de la monnaie/dette et des systèmes économiques (Capitalisme/Soviétisme) qui nous amène vers l’homme nouveau post moderne (cf votre article récent sur Google).

Pour finir, ma grille de lecture du monde n’est pas métaphysique mais modestement énergétique et ma vision du “Mal” est que nous ne vivons qu’une transition vers un monde sans le peuple (devenu inutile après la fin de l’Histoire - cf Georgia Stones) mais avec une élite entourée de robotique. L’accélération récente vient de la prise de conscience (Rapport Meadows ?) de ces élites que la falaise énergétique notamment pétrolière était beaucoup plus proche qu’imaginée au départ.

Il y a urgence pour eux car sans énergie abondante, pas de contrôle, pas de fin de l’Histoire.

Source : quelques traductions sur mon blog, http://versouvaton.blogspot.fr/2014/11/traductions.html (Bardi, Tverberg), les vidéos du très pédagogue JM Jancovici (hors nucléaire :-))

Et j’espère que ma modeste contribution financière de ce mois ci vous permettra de continuer à nous éclairer de vos lumières.

Le MAL ou source de tous les maux, je l’ai identifié, à l’échelle préhistorique, en note de la vidéo intitulée “Métahistoire”: il s’agit du FEU.

M. GRASSET le compte au nombre des trois étapes importantes (thermodynamique) dans le “déchaînement” prométhéen de la Matière.

L’interpolation de la l’HISTOIRE linéaire et de la Métahistoire ( ou disons, la Métaphysique à l’œuvre dans le processus historique courant) me fait songer à un érudit de la Belle Époque, fréquenté par toutes sortes d’écoles politiques anti-système aujourd’hui : René GUENON.

Une de ses œuvres, peut-être la plus pertinente ici, est “le règne de la quantité et les signes des temps”.

Il y développe l’idée de décadence comme fin d’un cycle cosmologique sous la forme paradigmatique de la substitution de la quantité à la qualité.

On notera le passage depuis quelques décennies de la sélection par le LATIN/GREC à celle par les Maths / Physique et c’est un Polytechnicien latiniste qui parle.

Mentionner la domination de la MONNAIE est superflu.

Enfin, la Mathématisation du MONDE est une réalité de laboratoire. Ceux qui la pratiquent sont évidemment conditionnés : mais c’est triste venant de cerveaux sensés être plus intelligents que les autres.

Les motivations sociales, culturelles jouent alors à plein.

Une note d’espoir : nombreux sont ceux qui quitte ce monde des chiffres. En dehors de ma pomme, totalement inconnue, on peut citer Alexandre Grothendieck (FRANCE) et Théodore Kaczynski (USA).

Snowden est à sa manière un de ceux-là, mais à un niveau opérationnel.

Sur un plan symbolique et réel : le FEU désigne la matière en mouvement voire en transmutation si ce mouvement concerne les partie structurantes intimes de ladite matière ( réaction chimique, atomique…).

Il est la forme archétypale de l’énergie dans notre mental : c’est à dire du TEMPS.

La MONNAIE désigne ce qui est FIXE. C’est une réserve symbolique de TEMPS, dans un monde où tout ce qui apparaît provient du TEMPS ( de production ou service).

Pour revenir aux considérations sur la Matière selon les GRECS et les Romains, je voudrais m’inscrire en faux, compte tenu de notre science actuelle de la Matière, de l’Energie, de l’Espace et du Temps (sans parler du Spin):

Même si notre non-civilisation fonctionne sur des schémas philosophiques totalement dépassés, la Science du XX siècle a découvert la Matière ( les autres concepts cités) comme des MANIFESTATIONS à notre niveau d’un autre niveau de réalité à la fois physico-mathématique et IMMATERIEL : la fonction d’onde des réalités quantiques par exemple. Ou le le VIDE quantique par un autre exemple.

Cela n’invalide pas les vues anciennes : cela donne à voir le lien entre deux niveaux de LA REALITE que nous concevons, logiquement, comme distincts ( l’esprit et la matière : dualité) alors qu’ils relèvent, in ULTIMA, d’un Monisme différencié ici-bas.

Concrètement, la suppression de la l’instrument monétaire sera un préalable à l’extinction du MAL.

en.wikipedia.org/wiki/List_of_Ig_Nobel_Prize_winners#2002

Bank_of_Credit_and_Commerce_International, one “most corrupt” financial empire.


In 1992, december : Report of senators John Kerry & Hank Brown to
Joint recipient of the 2002 Ig Nobel Prize in Economics, along with many other companies involved in accounting scandals, “for adapting the mathematical concept of imaginary numbers for use in the business world.”

All companies except for Arthur Andersen were forced to restate their financial reports due to false or incorrect accounting. Andersen was the accounting firm most identified with the scandals, having been indicted on criminal charges stemming from its actions as auditor of Enron. All companies are U.S.-based unless otherwise noted (Pakistan, UK, Australia) and Gazprom2002-“Russia”

René Thom:

"D'un être -ou objet- on distingue classiquement son existence, son Dasein, le fait que l'être occupe une certaine portion d'espace-temps, et son essence, c'est-à-dire la totalité de ses aspects, de ses qualités. L'attitude matérialiste, traditionnelle en Science, consiste à dire que l'existence précède l'essence (en fait, l'existence implique l'essence); le modèle de la théorie des catastrophes va à l'encontre de cet axiome, car il présuppose que, dans une certaine mesure, l'existence est déterminée par l'essence, l'ensemble des qualités de l'être. On peut y voir une résurgence du schème aristotélicien de l'hylémorphisme: la matière aspirant à la forme."

Citation à rapprocher, selon moi, de ce qu'écrit PhG:

"En fonction des événements que nous vivons et de notre interprétation, apparaît la possibilité d’une appréciation selon laquelle la matière est “l’essence du mal” alors qu’elle n’est que substance par définition. On peut concevoir que le “mal” usurpe la notion d’essence et monte une mystification qui fait prendre la substance pour l’essence (l’un des sens du mot “persiflage”du XVIIIème [Voir notre numéro du 10 juillet] est “mystification”). Le mouvement de déstructuration montre sa logique perverse: il est la marche vers une soi-disant essence qui n’est qu’une substance informe, il veut se faire passer pour une évolution vers le bien alors qu’il est l’exact contraire. C’est le piège diabolique où se débat notre “deuxième civilisation occidentale”, qui mérite alors absolument d’être qualifiée de “contre-civilisation” puisqu’elle est ainsi l’archétype du contraire de la civilisation, comme son évolution est elle-même l’archétype du contraire de la marche vers le bien.»