eric basillais
19/03/2015
Que son acception (double du par l’étymologie du mot HYPER) soit excès de désordre ou niveau supérieur “au dessus” du désordre, l’HYPERDESORDRE reste, à mon avis, dans la famille du MAL.
La tentation est grande d’identifier l’auto-destruction de l’hyperpuissance du bloc BAO comme une d’acte d’anti-Système.
Mais sur ce point, la logique du principe de Kaczynski (mon blog) ou la description de la fin du cycle par Guénon ne laissent pas d’espoir :
C’est l’auto-destruction du MONDE MODERNE dans sa TOTALITE (BRICS et tous félons compris) qui constitue l’hyperdésordre au sens où vous le redéfinissez ici.
La dislocation géopolitique et les retournements incessants d’alliances sont bien un désordre au carré, qui se retournent contre leurs auteur au besoin; mais qui ne constituent pas l’OMEGA du désordre s’ajoutant à lui-même.
L’autodestruction énoncée Traditionnellement par Guénon, mais relevant logiquement du principe de Kaczynski, ne peut qu’être une Inversion du processus SPATIALEMENT partout ( isotrope), sans préférence aucune pour tel ou tel acteur historique.
La Métahistoire est aveugle.
eric basillais
20/03/2015
“Le redressement de l’INSTANT ULTIME doit apparaître, de la façon la plus exacte, comme un RENVERSEMENT DE TOUTE CHOSE par rapport à l’état de SUBVERSION dans lequel elles se trouvaient immédiatement avant cet instant même.” (R. Guénon);
L’hyperdésordre étant un concept “local”, il ne peut qu’annoncer le KHA-os qui est ce REDRESSEMENT de l’instant ultime du CYCLE.
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