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Article : “Gorba le Grec” et son destin

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Surprise?

M

  19/05/2012

Voilà, c’est fait! Monsieur Hollande a promis à Monsieur Obama de tout faire pour maintenir - à prendre littéralement - la Grèce dans l’€... Et la tête dans l’eau.

J’aimerais savoir à quel point l’énarchie brillantissime est infestée - et infectée - par Gladio. Ceci, vraisemblablement, sans en avoir la moindre conscience. Nous avions les séropositifs. Nous avons maintenant les gladiopositifs. Ce qui n’a rien de positif.

L'avancement des choses selon jacques Sapir.

GEO

  20/05/2012

http://www.marianne2.fr/Bank-run-en-Europe_a218530.html

La situation économique dans la zone Euro continue de se dégrader rapidement.

En Grèce, avec la double annonce de la suspension des négociations avec le FMI et de la suspension des prêts de la BCE aux banques, le « bank run » modéré que l’on connaît actuellement peut à tout moment s’amplifier et devenir incontrôlable. Il faut se souvenir qu’en Russie, en 1998, ce fut un « bank run » qui sonna la fin pour le système économique eltsinien. En 5 jours, les banques étaient exsangues et le gouvernement contraint de déclarer un défaut et de laisser flotter le Rouble, ce qui aboutit à sa dévaluation de 50%.

Si le système bancaire grec s’effondre dans les prochains jours, il n’y aura plus d’arguments (autres que politiques) pour refuser un défaut et une sortie – à terme – de l’Euro.

En Espagne, l’adjudication aujourd’hui d’une somme de 2,54 milliards d’euros s’est faite dans de mauvaises conditions. Les taux à 4 ans sont montés au-dessus de 5% et les taux à dix ans atteignent 6,3%. Le rapprochement rapide des taux « courts » avec les taux « longs » est un symptôme indubitable d’une crise de liquidité. L’Espagne est, désormais, dans la même situation que début novembre dernier. La dégradation de la note de 16 banques espagnoles est logique quand on sait que le pourcentage de crédits qui ne sont pas remboursés atteint désormais 8,1% de l’encourt total. Encore, ce chiffre est une moyenne. Dans certaines banques, on atteint des taux de plus de 10%. Le pays est coincé entre une récession qui provoque un taux de chômage historique et une crise bancaire massive, qui vient de l’insolvabilité des ménages. Ceci avait été annoncé en septembre dernier. La solution est que l’État prenne à son compte les dettes privées, mais la somme atteint désormais de 170 à 250 milliards. Sous la menace d’un « bank run » qui peut se déclencher très rapidement, le gouvernement ne pourra plus tergiverser et devra demander rapidement à bénéficier de l’aide européenne (FESF).

La situation espagnole se traduit par une aggravation rapide de la crise en Italie (ou les taux à 10 ans ont atteint 5,8%), au Portugal (déjà sous perfusion du FESF) mais aussi de la France, dont l’écart des taux avec l’Allemagne a atteint aujourd’hui 1,4% (142 points de base).

La mécanique de la crise de l’Euro s’est bien remise en marche (en fait dès la fin du mois de mars). Cette crise s’accélère et devient généralisée avec la concomitance des problèmes grecs et espagnols. Si un « bank run » survient en Espagne, ou si le même mécanisme s’accélère en Grèce, la question d’un effondrement a très court terme de la zone Euro ne pourra plus être éludé.

Faute de réponses structurelles, aujourd’hui impossible tant pour des raison politiques qu’institutionnelles, une dissolution ordonnée de la zone apparaît comme la seule solution susceptible de préserver l’avenir et de permettre la survie de mécanismes de coordination monétaire.

Non la Grèce ne sortira pas

Marie Caroline Porteu

  22/05/2012

de l’euro et encore moins de l’UE ...

Chypre Vingt mille soldats israéliens seraient déployés à Chypre
par Gerard Fredj

C’est ce qu’affirment les médias turcs, estimant que l’état hébreu cherche à protéger ses projets futurs dans la région en matière d’énergie
L’agence Anatoli news – réputée plutôt sérieuse -, rapporte que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou et son homologue chypriote Demetris Christofias se sont rencontrés pour discuter et mettre sur pieds ces projets communs.

Netanyahou aurait proposé qu’Israël prenne à sa charge les dépenses liées aux infrastructures d’extraction de gaz dans la zone maritime chypriote.
En échange, il aurait été demandé au Premier ministre chypriote que 10 000 israéliens – et leurs familles – puissent venir travailler dans ces installations, ce qui porterait à 30 000 le nombre d’israéliens dans la zone.
Leur présence poserait alors un problème de sécurité que Netanyahou a proposé de résoudre en déployant 20 000 soldats israéliens qui protègeraient les personnels mais également les installations, et seraient basés à Limassol – le plus important port de commerce de la méditerranée, et la seconde ville de la partie grecque de l’ile de Chype.

De son côté, Demetris Christofias aurait demandé au dirigeant israélien de convaincre les hommes d’affaires israéliens de cesser d’investir dans la partie turque de l’Ile.

Israël et la république de Chypre ont découvert de larges gisements dans la zone exclusive maritime de l’île et envisagent très sérieusement de coopérer pour extraire ce gaz et l’exporter ers les marchés européens et asiatique.

http://www.israel-infos.net/Vingt-mille-soldats-israeliens-seraient-deployes-a-Chypre-8778.html