JEAN-YVES BOURDIN
21/04/2009
Gorbamatchev ou Gobamatchev, on reste dans la Gogobamania, à mon sens.
Gorby n’était pas un réformateur, c’était un liquidateur, conscient de son fait. La classe qui le soutenait avait décidé de l’utiliser pour changer de camp, et faire sa révolution par le haut.
Obama est un réformateur, lui, il veut tout changer pour que rien ne change. Il reste fiable, solidement dévoué à son camp, et ceux qui l’utilisent ne sont nullement décidés à passer au socialisme.
Je sais bien que c’est l’histoire qui fait les hommes, et non le contraire. Mais quand même…
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