nol
11/08/2009
” (En passant, on notera quil nétait alors nulle part question, ni du Mandchurian candidate, ni de la marionnette de Wall Street, ce qui montre une singulière prescience et un art extraordinaire de limprovisation à la lumière de ce quon nous décrit aujourdhui du montage, quon supposerait venu de loin, qui nous a imposé BHO à la Maison-Blanche.) “
Hillary ou Barak, peu importe finalement. Le “petit jeune” a fait une campagne brillante, un beau modèle du genre, dont on gardera de “fond memories” : tant pis pour la vieille.
Parmi ceux qui tirent les ficelles, certains, beaux joueurs, ont payé à d’autres leur pari perdu, c’est tout.
Comme pour la crise financière, certains aux Etats-Unis ( l’Europe ou la France n’en parlons pas, à ce stade d’adoration béate on frise la bêtise pure) ont averti de la personnalité et des antécédents plus qu’ambigüs d’Obama. Peine perdue, bien sûr.
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