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Les premiers actes d’Obama ont largement réduit l’importance du poste qu’occupe Hillary. En effet le choix de Joe Biden comme vice-président, la nomination d’envoyés spéciaux en Afghanistan et au Moyen-Orient sont autant de restrictions au pouvoir d’Hillary.
Pour continuer à exister politiquement, elle doit retourner à ce qui a fait d’elle une First lady de premier plan et une candidate sérieuse aux primaires.  Elle est trop fine pour se contenter d’attendre les échecs de Joe Biden et des envoyés spéciaux. Elle sait qu’elle doit apporter quelque chose de positif à la diplomatie américaine bien mal en point.
Dès lors son attitude me semble tout à fait logique.

ménopausée peut prendre les poses qu’elle veut, il est à douter que quiconque s’y intéresse vraiment.

Le système se débobine.
Les petites ambitions politiques des uns des unes et des autres deviennent des préoccupations très provinciales.

À noter, fin février, l’Iran va mettre en marche une unité de production d’électricité à partir d’énergie nucléaire fournie par la Russie.

À cela, les Bibi, les Billy et leur hillarante Barbie n’ont rien à redire.