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Article : Hiroshima, point-zéro du G7

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Shakespeare avait compris.

Denis Monod-Broca

  23/05/2023

La violence est contagieuse.

Le monde qui se dit libre a vaincu le nazisme qui vénérait la force et, contaminé, il vénère la force à son tour, comme le faisait son adversaire vaincu. Comme Macbeth. Et 78 ans après, à Hiroshima, il revient sur les lieux de son crime suprême. 

Il est aveugle, il méconnaît les ressorts de sa propre action. Il célèbre la paix tout en alimentant la guerre. Il se croit innocent tout en multipliant les crimes. Il se croit libre, bien qu'asservi à ses émotions.

Formidable régression ! au nom du progrès…

N'avons-nous donc rien appris ?

uniparti radical

Koui

  23/05/2023

Au USA, les "socialistes radicaux" menés par un vendu au parti comuniste chinois se disputent avec les "nazis" menés par une marionette de Moscou. Mais que ce soit l'un ou l'autre c'est la même politique. il vont finir par s'etriper sur le sexe des trans-anges.