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Article : Hystérie & hallucination aux commandes

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Affabulationisme/determinisme-narrativiste

Serge Laurent

  20/04/2022

Grace à internet, nous sommes abreuvés de faits, plus ou moins vrai, et nos médias se vantent de les vérifier et de leur donner du sens pour aider leur public à comprendre le monde complexe et sans cesse en mouvement.

Cela conduit à investiguer pour dénicher des faits qui appuient la narration. Par exemple, des faits qui "prouvent" que les russes mentent seront exposés car cela a du sens : les russes sont menteurs. Par contre, les mensonges des américains n'ont pas besoin d'être mis en lumiére car, en général, "on peut leur faire confiance". En effet, présenter des faits à rebrousse-sens pourrait provoquer une certaine confusion chez le lecteur.

Cette maniére de trier les faits et de ne pas enqueter sur les sujets "anecdotiques" permet de gagner du temps et de l'argent.
De plus, elle apporte une forte plus value au publicet aux annonceurs par les émotions positives qu'elle suscite.

Parfois, cette belle mécanique s'enraille et un fait incontournable déboule à rebrousse-sens. Il doit être présenté au public car les médias ont le devoir d'informer avec objectivité. Les défenseurs de la démocratie exigent donc des enquétes. Parfois, celles-ci aboutissent à la condamnation d'un individu subalterne qui a pris une mauvaise décision de façon solitaire en raison de circonstances difficiles. Mais en général, la justice ne parvient pas à des conclusions définitives.

Il arrive parfois que le sens se retourne. Cela conduit parfois certains à continuer quelque temps dans un sens qui ne fait plus consensus. C'est pourquoi, il est préférable d'éviter ce genre de tête à queue. En général, le retournement s'opére dans une période ou l'attention se porte vers d'autres sujets. Provoquer un questionnement morbide ferait fuir le public vers des occupations plus distrayantes.

Le sens est généralement donné par le New York Times ou bien Le Monde sur des sujets mineurs. Il y a parfois un entre deux où il n'y a pas de consensus et où la presse se débat dans le flou. Des discussions animés ont alors lieu jusqu'a ce qu'un consensus n'émerge. Mais ce genre de situation est plutot rare et ne concerne que des sujets périphériques.

Eh bien inaugurons cher Monsieur : Un Kon et à plus forte raison un Zombie, ça ose tout et le plus que tout, l'immonde intégral !

patrice sanchez

  20/04/2022

Nous en sommes arrivés à l’extrême phase terminale de l’idéologie matérialiste/transinhumaine, totalement héminégligente de toute pensée saine et spirituelle innée … et en mode zombification achevée !
“ L’homme supérieurement allumé par la foi absolue en sa toute puissance intellectuelle ” qui, depuis cinq siècles, voulut se prendre pour dieu ou satan et  qui est sur le point de se voir asséner un retour de manivelle cataclysmique, immanent et cosmique des particules élémentaires créatrices de réalités, des particules élémentaires n’obéissant qu’à l’amour comme tant de prophètes nous l’avaient démontré ! Des prophètes … et un Messie caché comme j’en fais la révélation et la démonstration avec la présentation de mon manuscrit évolutionnaire sur ce Mystique et ce Messie si incompris que fut Friedrich Nietzsche :
Présentation de mon livre : Providence personnelle nietzschéenne, au nom de la renaissance des âmes soeurs éternelles.: 
https://drive.google.com/file/d/19nSh4JukyztL-x7mzYLb7Vh_pl651f1J/view?usp=sharing
 

Comme d'habitude, ils mentent

Jean-Claude Cousin

  21/04/2022

Bonjour !
A l'instant j'avais noté que le Saker Francophone relatait un fait à la fois important et dérisoire, tant il ressemble à d'autres.

Le journaliste français Georges Marlbrunot, commu depuis bien des années maintenant, a constaté que les soldats étatsuniens non seulement sont là,  sur le terrain en Ukraine, mais ce sont eux qui contrôlent tout, assistés par leurs collègues grands-bretons qui eux aussi, sont là depuis le début.
Quand la doxa anglo-saxonne claironne que "Le Royaume-Uni comme les États-Unis ont affirmé publiquement que pas un seul soldat ne mettrait « pied sur le sol » ukrainien", il est manifeste qu'à nouveau c'est inexact.
Une amie de longue date (plus de vingt ans) a eu l'occasion, en mission pour Antenne2 comme cela s'appelait alors, de travailler avec Georges, qu'on a connu otage en Syrie autrefois. Un homme sérieux, qui sait peser ses mots. Mais quelqu'un connaît-il un vrai fait corroborant les dires des offciels anglo-saxons ? Hum…