Stephane Eybert
21/01/2009
Le destin de l’americanisme est ecrit. Non, il ne s’agit pas la d’une volonte divine. Mais de quelque chose de beaucoup plus terre a terre, pire meme, d’historique, cette dimension sale encombrante.
Cette histoire qu’on avait voulu morte et enterree fait son grand retour et pas par la petite porte.
Ainsi, elle s’impose de nouveau et elle dictera a Obama chacune de ses, pardon, de ses, paroles.
Obama n’aura qu’a attendre le moment qui lui est dicte par l’Histoire. Ni trop tot, ni trop tard.
Cette chef d’orchestre va nous offrir un beau spectable.
Exocet
21/01/2009
L’on aurait presque crut entendre dans le discours d’investiture d’Obama des propos métaphorés et solidaire.. de celui d’un Capitaine de Clipper s’apprêtant à franchir la longitude du Cap Horn, comme le trait d’union de deux univers. En ces temps immémoriaux d’un monde qui reculait les limites de l’impossible , les hommes et leurs cargaisons se sacrifaient au travers de terribles sacrifices.Comme vous le dites , le terrestre et ses basses besognes nous raméne bien loin ou trop proche de chacun de notre métabolisme du possible…Les USA vont t’ils se soviétiser encore plus dans leur sanctuaire artificiel ou dissoudrent leurs chaines dans les encaustiqueurs du Res Nullius.. ?
Stephane Eybert
22/01/2009
Obama had to repeat his pledge because he didn’t spell it out correcly the first time.
That’s a big crack in the myth of the savior of the econonmy.
People’s iconic figurehead is now dented.
They’ll have to stop getting high on Obamajiruana.
The crisis can now truly unfold…
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